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14 mars 2011

LETTRE OUVERTE

HERISSON__toile   Herisson_008

À ceux qui renonceraient SANS SE BATTRE

 

Article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme  "Tout individu (...même un petit mammifère)a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit"

Si un homme te dit qu'il a faim, ne lui donne pas un poisson, apprends-lui pêcher (Confucius)

 

            La pensée ci-dessus de Confucius nous va comme un gant et s'adresse plus que jamais à notre communauté.

 

            En effet, depuis notre repli forcé, (prémédité et voulu pour mauvaise raison d'état  par entende entre vulgaires larrons en foire à Evian un certain 19 Mars 1962),dans ce que l'on pensait être notre pays, nous sommes considérés comme des assistés comme ils disent, pour cause de réception de miettes dites compensatrices, sur nos modestes avoirs spoliés et volés par des escrocs et voyous de grands chemins .

 

            Il est vrai que « nous », nous n'avions pas de LICRA, de MRAP, SOS racisme et autres ONG (Organisations Non Gratuites) affiliées.

 

            Alors quel sens donner à cette pensée Confucéenne ? Et bien, à mon modeste avis, tout simplement que nous avons appris à compter uniquement sur nous-mêmes, à nous battre avec nos moyens propres, avec l'aide de nos dévoués dirigeants d'associations de repliés, avec notre rancune, avec notre ténacité et notre courage hérités de nos grands-parents,  avec nos raisons de réclamer que JUSTICE nous soit enfin rendue, et toutes ces qualités sont celles qui font de vrais et bons Français, sans baguette de pain  sous le bras et sans béret sur la tête, certes, mais avec nos claouis bien en place.

 

             Nous sommes capables d'aller chercher et de prendre ce qui nous appartient en tant que créanciers d'état et nous allons le prouver dés le prochain referendum.

 

            En avril 2007 Nicolas Sarkozy nous avait dit : « C'est plus qu'un engagement, ce sera un honneur de défendre votre cause. »  Et il avait ajouté: « Je veux sortir d’une situation où nous sommes depuis trop longtemps, dans laquellel’État promet constamment de faire un peu plus sans jamais tout à fait faire ce qu’il fautet les Rapatriés espèrent à chaque élection ce qui n’arrive jamais ou qui arrive si tard que les déceptions et les rancœurs s’en trouvent aiguisées. Ensemble nous ferons bouger les choses, je m’y engage » 

 

            Tu parles! Sermon d'ivrogne et de faux-cul, oui !  Nous l'avons eu dans l'os et bien profond. Oui, nous avons tous cru que ces paroles avaient foi de serment. Chez nous, on appelle  cela « du brometche » Tous les amateurs de pèche à la ligne connaissent cette expression. Pour les non initiés, cela signifie : balancer des restes de nourriture ou des bouts de poissons morts dans l'eau pour appâter et faire venir le poisson en l'incitant à mordre à belles dents. Nom de Dieu, mais n'est-ce-pas ce que nous avons fait? On s'est fait blouser d'une façon éhontée, malhonnête  et innommable  par un boni... menteur, pour lequel tout était bon pour arriver à la première marche du podium. Pour moins que cela, on pendait les manipulateurs et les escrocs sur la place publique à l'époque de la conquête de l'Ouest aux U.S.A.

 

            Et surtout ne me sortez pas des arguments du genre « nous sommes trop vieux pour nous battre »

            Seul le linge vieillit. Et même si nous vieillissons, tout le monde est logé à la même enseigne, mais certains de ces vieux avons su garder la fougue qui nous a toujours animé dans tout ce que nous avons entrepris.

 

            En nous résignant, nous ferions le jeu de ces actuelles  figures de proue politico-politiciennes qui sont destinées à devenir des figures de poupe bien plus vite qu’ils ne le croient.

 

             Alors et pour que leurs rires se figent sur leur face compassée de faux jetons,  jouons nous aussi les maquignons et  accordons nos suffrages à ceux qui s’engageront autrement qu’avec des paroles en jurant sur l’honneur, la main sur la Bible et face aux Franco-français à revoir leur copie en matière de respect  des promesses, de façon à ce que ces dernières deviennent enfin une réalité et non plus une utopie.

 

Exigeons des actes notariés de leurs sermons et qu’ils soient  portés à la connaissance  de la nation, des médias et de la France Française, quoi !.

 

            En nous résignant, nous ferions le jeu de nos ennemis  « intimes ». Dites-vous que si nous sommes devenus vieux, nous avons conservé nos réflexes de  castagneurs. Nous l'avons prouvé quand besoin s’est fait sentir et partout où l'empreinte de nos pieds... noirs subsiste encore, même en notre ex-Algérie Française devenus algérienne par la grâce d’accords complices entre mafiosi et  voyous de bas étage.

 

LE HÉRISSON  VOUS SALUE BIEN

TOUJOURS A VOTRE SERVICE

 LE HERISSON

Retour coups de cœur.

 

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17 mars 2011

LE MAL DU PAYS

         Marine Le Pen donnée par un sondage en tête au premier tour de la présidentielle, je crains le pire pour le révérend père président de la République, Nicolas Sarkozy du Chardonnet. Va-t-on le filmer, errant sur les lieux de mémoire vêtu d’une soutane noire ? Va-t-il transformer le Fouquet’s en lieu de pèlerinage pour people repentis ? Va-t-il remplacer le marathon de New York par le marathon de Saint- Jacques de Compostelle ?  Ce petit jeu cache une vraie trouille qui est une peur politique des conséquences de la maltraitance identitaire française depuis des années. Depuis vingt ans, peut-être plus, une certaine honte de la France a été cultivée, reléguant à une forme de racisme simplificateur toute revendication de dignité nationale, d’expression d’une histoire millénaire, de souhait secret d’être un peu respecté.

 

         S’il n’y avait Marine Le Pen qui ose exprimer haut et fort le non-dit d’une France  exaspérée d’être ignorée, croyez-vous qu’on s’intéresserait tout à coup à un peuple qui cherche à retrouver enfin une adresse à la poste restante de l’histoire, du mondialisme et d’une Europe déracinée ?  Un peuple qui aime son pays, ses paysages, ses traditions, sa Patrie, même s’il n’ose encore le dire par peur du rire, qui, d’où qu’il vienne, s’est fondu par le temps qui passe dans la Nation.

 

         Un peuple qui  cherche à faire respecter son héritage judéo-chrétien.  Oserait-on, aujourd’hui, évoquer « la France des racines », dont jusqu’alors on se foutait, s’il n’y avait en sourdine un besoin de ressourcement reconstructeur.

 

         La difficulté pour l’actuel pontife présidentiel, c’est qu’il ne suffit pas de visiter une cathédrale médiévale au Puy-en-Velay, de s’improviser le notaire d’un « magnifique héritage »  chrétien, pour être crédible dans cette posture.

 

         Trop de crachats impunis ont depuis des années souillé d’humiliations notre histoire ; trop d’atteintes à notre identité de tous les jours comme de tous les temps historiques nous ont été infligées : l’hymne hué, sifflé, le drapeau transformé en torche-cul,  notre langue estropiée,abandonnée, notre passé toujours en procès, notre diplomatie démonétisée,   notre culture judéo-chrétienne et notre amour des autres tournés en dérision, transformés en économie frauduleuse. Tout ce mal,  sans qu’on lève le petit doigt politique, associatif, judiciaire pour essuyer l’affront.

 

         Ce qui est extraordinaire, c’est qu’il faille que le président devienne potentiellement candidat pour découvrir qu’il existe en France des Français qui aiment la France et ses racines sans être racistes, xénophobes, ou même franchouiardement con !  Si l’identité, comme on dit, faute de mieux, avait été honorée comme il se doit, dans le respect réciproque des autres et par les autres,  serait-il nécessaire d’en faire un débat, d’en parler, d’en discuter ? L’ouverture de cette discussion est révélatrice d’une souffrance française : le mal du pays !

 

Libres propos de Gilbert Collard

Source: Nation Presse Info

 

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7 avril 2011

MAYOTTE - VERS UN LAMPEDUSA FRANCAIS

          Ce 31 mars, l’île de Mayotte est devenue le 101e département français. Un département qui vivra au rythme de l’islam, religion de la quasi-totalité d’une population dont plus de 60% ne parlent que le malgache ou le swahili. Cette décision a pour origine une promesse électorale du candidat Sarkozy, appliquée par une loi organique et une loi ordinaire promulguées le 7 décembre 2010. À aucun moment, on n’a demandé aux Français s’ils voulaient de ce nouveau département peuplé de 200.000 musulmans et payer de leurs deniers le coût de cette insolite opération.

 Vers_un_Lampedusa_Fran_ais

          C’est d’ailleurs parce que l’issue d’une telle consultation risquait d’aller dans un sens contraire à la volonté présidentielle que l’opération a été faite en cachette. En 1962, quand il fut décidé de donner l’indépendance à l’Algérie et donc d’amputer le territoire français des départements algériens, un référendum sollicita l’accord du peuple français ; de même quand on changea le statut de la Nouvelle-Calédonie. Pour Mayotte, rien de semblable: seuls les Mahorais ont été consultés par référendum. Le 29 mars 2009, ils ont ainsi répondu à 95% "oui" à la départementalisation, 39% du corps électoral s’étant abstenu.

 

          Les Français vont donc découvrir avec stupéfaction qu’à Mayotte, les fêtes musulmanes sont chômées, que les horaires de travail sont alignés sur ceux du ramadan et que leurs compatriotes mahorais qui le demanderont conserveront leur statut personnel, la justice devant alors leur être rendue par des magistrats français, non selon le droit français, mais conformément au droit coutumier! Certes, celui-ci est appelé à disparaître, mais de manière progressive, et qui sait combien de temps le droit français devra composer avec un statut personnel dérogatoire au code civil et à la laïcité, très proche de la charia, qui prévoit la polygamie ainsi que la répudiation des femmes? D’autant qu’à Mayotte, il n’y a ni état civil, ni cadastre; noms et dates de naissance y sont incertains, ce qui va évidemment favoriser l’obtention de faux papiers et donc l’immigration-naturalisation.

 

          Les Français vont rapidement constater que Mayotte est une pompe aspirante pour l’immigration régionale. L’immigration clandestine y est en effet considérable et incontrôlée, puisque, pour une population estimée à 200.000 personnes, on compte au moins 60.000 clandestins. En 2010, le nombre des reconduites à la frontière y a atteint le chiffre effarant de 26.405, dont 6000 enfants qu’il ne sera plus possible d’expulser après la départementalisation. Durant les vingt premiers jours de janvier 2011, 40 bateaux ont été interceptés avec au total 2000 personnes à bord.

 

          Les Comoriennes viennent accoucher à Mayotte d’enfants devenant automatiquement citoyens français, ce qui rend la famille inexpulsable. La maternité de Mamoudzou est ainsi la plus importante de France, avec 7000 naissances annuelles, 65 à 75% d’entre elles étant issues de l’immigration clandestine. Les avantages sociaux dont jouissent les Mahorais exercent déjà un attrait irrépressible pour les Comoriens; or, la départementalisation, qui va progressivement aligner les droits sociaux des Mahorais sur ceux des métropolitains, ne fera qu’augmenter cette attirance.

 

          À ces migrants de proximité s’ajoutent désormais ceux venant de la région des Grands Lacs et de toute l’Afrique orientale. Mayotte va donc servir de porte d’entrée vers la métropole, d’autant plus que les associations de soutien aux immigrés vont désormais y exiger le respect des procédures. Les expulsions de masse vont donc devenir impossibles. C’est donc un gigantesque Lampedusa que nos responsables politiques viennent de créer.

 

          Parlons vrai: pour beaucoup, la départementalisation, c’est d’abord l’alignement sur les prestations sociales françaises, puis l’attente des retombées de la manne européenne dès que l’île sera devenue Rup (région ultrapériphérique). Déjà, les revendications se font jour parmi les fonctionnaires et les enseignants d’origine mahoraise, qui exigent la départementalisation du système éducatif au plus tard au mois d’avril, avec l’indexation des salaires, la prime de résidentialisation, comme pour leurs collègues métropolitains détachés, la titularisation des contractuels, la reconstitution des carrières pour l’intégration dans le corps des professeurs des écoles. À terme, le coût annuel de Mayotte pour la France est estimé à environ un milliard d’euros. Le seul budget de l’éducation dépasse les possibilités locales de financement. En 2010, 81.506 élèves, dont les clandestins, étaient ainsi scolarisés. Dans le seul domaine éducatif, l’effort annuel de l’État atteint déjà plus de 260 millions d’euros et les besoins ne feront que croître.

 

          L’idée de faire de Mayotte un département français est donc totalement irresponsable. D’autres solutions existaient pourtant, qui permettaient de sauvegarder les spécificités mahoraises et de garantir l’appartenance de l’île à la France. Désormais, il est trop tard.

Bernard LUGAN

Directeur de la revue "l’Afrique réelle"

Source du texte : Valeurs actuelles

 

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10 avril 2011

HISTOIRE DU MOUVEMENT ALGERIANISTE

Documents transmis par Maurice Calmein.

 

Mars 2011
Algériens nous sommes, qué… !


Histoire de l’Algérianisme par Maurice Calmein (72 pages, illustrations)

*

Couv_Mouv_alg_rianiste*

                   Ce petit livre retrace toute l'histoire de la littérature française d'Algérie et du mouvement Algérianiste, depuis ses origines dans les années 1920 jusqu'à nos jours.
Outre une bibliographie sur le sujet et la liste des prix littéraires algérianistes d'hier et d'aujourd'hui, cet ouvrage reproduit également en annexe le fascicule L'Algérianisme publié en 1991 par Jo Sohet, alors président national du Cercle Algérianiste.


                   Quant au titre de ce livre, il n’est que la reprise d’une réplique célèbre du « poulbot algérois » Cagayous, héros turbulent et malicieux à qui l’auteur, Musette, fit dire à un quidam étonné par son accent algérois et qui lui demandait s’il était Français : « Algériens nous sommes… qué ! ». Car à cette époque de « l’Algérie heureuse », c’était bien aux Européens que s’appliquait le mot Algériens. Après l’indépendance, on le réservera aux occupants actuels de l’Algérie. Les Français exilés deviendront les Pieds-Noirs, appellation méprisante qu’ils relèveront avec fierté, comme un étendard. C’est cette culture pied-noir, originale et authentique, dont ce livre tente de raconter l’histoire.


                   Maurice Calmein est né en 1947 à Oran. En 1960, sa famille s’installe à Toulouse où, dès l’âge de 18 ans, il milite dans des associations de Français d’Algérie. Président de l’Amicale universitaire pied-noir, il rencontre Jean Pomier, l'un des fondateurs du mouvement Algérianiste, dont il devient l’ami malgré leurs soixante ans d’écart. Il fondera lui-même le Cercle Algérianiste quelques années plus tard.


                   Maurice Calmein est l’auteur de plusieurs livres sur l’Algérie, dont le roman Le Sel des Andalouses. Il a assuré l’éditorial de la revue l’Algérianiste pendant plus de dix ans.
Disponible sur les sites www.librairie-pied-noir.com  et www.editionatlantis.de  ou chez l’auteur.

Pour contacter l’auteur : Courriel : maurice.calmein1@orange.fr

 

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14 avril 2011

DE LA HONTE A LA NAUSEE

Nous, les "ultras"....

         ... c'est ainsi que nous a catalogués l'organisateur de ce colloque-bis de la honte,  n'entendons pas cautionner les manoeuvres collaboratrices de certains présidents d'associations de Français d'Algérie, soucieux de leurs intérêts avant ceux de notre communauté.

         Notre action, avec le CLAN-R, le RNFAA et bien d'autres encore, dès le mois d'octobre dernier, contre ce colloque "vers la paix des mémoires", avait permis de faire reculer les instigateurs de cette odieuse proposition. Aujourd'hui, ils récidivent. Ils tentent par tous les moyens de faire le jeu de l'Etat.

Le RNFAA monte au créneau.


VERS_LA_PAIX_DES_MEMOIRES

 

 

         L’entreprise de dénigrement de la France et de sa compromission n’est pas nouvelle. Mise à la poubelle il y a quelques mois, à peine, elle resurgit après ravalement de façades.

Les Maîtres d’œuvre de cette sinistre mise en scène sont les mêmes, ils ont seulement manipulé l’affichage afin que la réputation des acteurs renégats de la première distribution soient camouflés dans les ombres de cette nouvelle présentation de dernière minute.

 

         Que des historiens ou des histrions hémiplégiques libèrent leurs idéologies lénifiantes relèvent des finalités de l’enseignement de la matière en université.

Mais que des associations de Français d’Algérie, essentiellement préoccupées de l’indemnisation de leurs seuls adhérents depuis 1962 - non sans un certain succès appréciable - prétendent apporter une contribution « intellectuelle » à la recherche de cette « Paix des mémoires », au nom de la globalité des Français d’Algérie, est absolument inacceptable.

Certains prospecteurs infatigables des couloirs de ministères espèrent encore en une repentance, si honteuse soit elle, pour glaner quelques compléments de réparations.

 

         Faut-il rappeler, qu’en dehors de quelques habiles privilégiés, l’indemnisation des personnes possédant des biens en Algérie en 1962, a lésé de leurs justes droits, plus de 90% d’entre eux. Et que 90% de la population non propriétaire de biens agricoles, industriels, commerciaux ou artisanaux n’auront eu droit qu’entre 4 et 6 mois de subsistance, sans remboursement de leurs frais de « rapatriements », sans aucune aide au logement ou au rééquipement ménager.

 

         Ainsi 90% de la population native d’Algérie, avant 1962,  n’attendent aujourd’hui que la réparation des droits moraux qui leurs sont dus et de la reconnaissance des vérités historiques et de leurs responsabilités que la complicité gaullo-communiste cache depuis 50 ans.

C’est dire que la M.A.FA, que préside Jean Pierre SEROIN, ou que   l’A.R.M.R., que préside Mr Jean Félix VALAT et les compagnons qui les assistent, ne représentent qu’eux-mêmes ou leurs intérêts.

 

         Experts des affaires d’indemnisations et tout particulièrement silencieux quant à nos droits moraux, ils n’ont aucune compétence pour évoquer les drames de l’Algérie Française mais, surtout, aucune habilitation à représenter notre communauté.

 

         C’est dire, qu’au nom d’un COLLOQUE BIDON qui ne sert que leurs propres intérêts, ils compromettent les Français d’Algérie dans leur entreprise marchande dont la repentance honteuse de la France serait la monnaie d’échange.

 


        
Quand Jean Félix VALAT qualifie les opposants à ces indignes stratagèmes d’ultras , il faut lui rendre qu’il n’en a que la connaissance que la clique gaullo gauchiste en donne, étant bien entendu qu’il n’a jamais excellé que dans les lamentations qui accompagnent depuis 50 ans la réparation financière de son état. A ce sujet, il est choquant de voir Renaud BACHY, Président de la Mission Interministérielle aux Rapatriés, patronner une pareille entreprise de compromission.


         Parfaitement initié aux problèmes des Français d’Algérie, il est aujourd’hui le grand vizir chargé par le « grand » Mamamouchi de l élimination des témoins gênants que nous sommes.Après 4 ans d’exercice calamiteux du Pouvoir et la perspective du naufrage de la Méduse, il retrouve, comme à chaque période pré électorale, la haute main sur la manipulation du troupeau Pieds Noirs. Sans gêne, à l’invitation de présidents complaisants et subventionnés, il va de réunion de bistrots en réunion de cabines téléphoniques pour faire oublier les promesses non tenues par son employeur et annoncer, une fois de plus, un complément virtuel d’une indemnisation hypothétique prochaine. Pour autant,  il reste un adversaire déclaré de la reconnaissance des vérités historiques de l’Algérie Française et un négationniste des forfaitures et des impostures du gourou Charles De Gaulle.


         Il était un promoteur du premier colloque passé à la poubelle, le revoilà de la seconde affiche. Il conviendra de le rappeler le moment venu.

         Eu égard aux rapports privilégiés que le Député Elie ABOUD entretient avec Jean Félix VALAT, son absence du deuxième affichage du même exercice n’est pas de nature à laisser penser qu’il s’en serait retiré.

 

         Le Directoire du RNFAAMontpellier 12 Avril 2011


Source :  http://www.rnfaa.com/page164.php
ou
http://echodupays.kazeo.com/NOS-ACTIONS-EN-2011/COMMUNIQUE-URGENT-DU-RNFAA,a2199816.html

 

Retour "Tous les Communiqués"

 

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21 mai 2011

BOULET

Le hameau de Mouley-AbdelKader du département d'Oran est devenu Boulet en 1874 sur l'emplacement de Sfisef avec un territoire de 2332 ha de plaines et de montagnes.


A une altitude de 550 m, des températures de 10 °C au-dessus de zéro en hiver et des 40° C en été le village est situé dans une cuvette à l'est du djebel Oulad-Slirnan et au sud du djebel Guétarnia sur la route de Relizane au Maroc en passant par Mascara et Sidi-Bel-Abbès. Des sources abondantes y donnaient des eaux d'excellente qualité.

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Complément d'infos intéressantes

Retour Villes et Villages d'Oranie.

10 juin 2011

PELERINAGE NIMES 2011

Rien que des bâches, des parapluies et des imperméables... Ironie du sort, le ciel a longuement pleuré, sur le traditionnel pèlerinage de Santa-Cruz, organisé autour de la Vierge d’Oran, en souvenir du miracle de la pluie. Et si, comme le disent les fidèles "cette pluie lave nos péchés", il faut croire que Notre Dame du Salut avait fort à faire. On n’y voyait goutte, et la sono donnait des signes de défaillance, à l’heure de la procession guidée par Monseigneur Wattebled, évêque de Nîmes

 

Seul le carillon, composé des six cloches de Relizane dominant une cloche de Mostaganem, et retentissant pour saluer l’entrée de la vierge au sanctuaire, sonnait comme là-bas sur la colline du Mas de Mingue. Sur la grande esplanade, c’est devant un parterre clairsemé (les fidèles avaient trouvé refuge sous les préaux) que les pères Garcia, Bellegarde et Bruno, ce dernier ayant été ordonné ici même, concélèbrent la messe. Alors, avec une ferveur inoxydable, les enfants de l’Oranie ont prié comme au premier jour

 Procession sous la pluie

Article de José Bueno dans La Provence du 6 juin 2011

 Article pèlerinage Ascension 20110001

Quelques photos du pèlerinage 2011.

 Vierge 2011

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Annie Joubert

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LES GARDIENS

 

Là-bas, on montait en pèlerinage, parfois pieds nus en pénitence, sur la montagne de Santa Cruz. Ici, nous vivons dans la continuité", sourit Georges Massonie, au souvenir de son premier pèlerinage à Oran. Enfant, il était alors juché sur les épaules de son père. Aujourd’hui, c’est auprès de cette Vierge du salut qu’il passe son existence. "Je ne suis qu’un bénévole, le mari de la concierge." Avec Annie, donc, ils sont, depuis cinq ans, les gardiens vigilants du sanctuaire de Notre-Dame-de-Santa-Cruz. Plus bénévoles que salariés d’une association qui reconnaît les bonnes volontés.

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Lui, né à Oran, dans la rue de la Mina, est "tombé dans un bénitier" quand il était petit. En ce temps-là, elle vivait à côté de la commune d’Arzew. Mais tous deux partagent la même ferveur et vivent Santa Cruz au quotidien. Pour cela, ils ont quitté Bordeaux où, depuis 1962, la vie était devenue facile. Ils se sont éloignés de leurs enfants. À regret, mais portés par un attachement indéfectible. Georges, responsable d’une paroisse, n’avait pas résisté au besoin de faire venir Notre Dame de Santa Cruz en terre bordelaise. Avant de décider de venir à elle.

 

En charge de l’entretien des lieux (chapelle, musée, magasin, maison des visiteurs, bureaux, esplanade, parkings), 5 000 m 2 au total, ils sont surtout aux petits soins des pèlerins. Nombreux ! Car Santa-Cruz ne vibre pas seulement le jour du pèlerinage national de l’Ascension. Le sanctuaire, second site de pèlerinages de France après Lourdes, n’est pas réservé à la seule communauté des pieds-noirs. Ouverts à tous, ces lieux bénis reçoivent les scouts, les parachutistes, les séminaristes, les premiers communiants et autres centaines de fidèles qui y convergent à longueur d’année.

"À la belle saison, tous les dimanches, 150 à 200 personnes viennent passer la journée ici. Nous appelons cette démarche les pèlerinages d’un jour", explique le couple qui, à l’occasion, fait office d’hôtes de ces lieux.

"Les gens ont besoin de témoigner"

 

Annie Massonie, gardienne "Il faut savoir être à l’écoute, confie Annie, dont le regard chaleureux incite souvent aux confidences. Les gens ont besoin de se raconter et parfois de témoigner." Besoin de dire que Notre Dame qui, en 1849, chassa le choléra à la mer, continue de noyer les misères du monde. Annie et Georges sont toujours très émus à l’évocation de cette famille parisienne qui a laissé en ex-voto, dans la chapelle, le corset de cuir de sa petite fille malade des os. "Ils disent qu’elle a été guérie, ici, par la Vierge d’Oran", répète le couple, heureux d’accueillir chaque année la fillette débordante de vie.

Pour cette nouvelle Ascension, Georges aimerait réaliser un rêve : "À Santa-Cruz, où je suis venu dès l’origine, où je vis à demeure, je n’ai jamais rencontré une connaissance de mon enfance." Annie a eu plus de chance : elle attend aujourd’hui une foule de cousins.

 

Pour l’avenir, tous deux formulent le même espoir : "En voyant arriver des jeunes, on se dit qu’après nous, Santa-Cruz continuera." Nul doute que la Vierge d’Oran entendra leur prière.

 Claude sicsic.

 

Et puis c'est aussi les retrouvailles:

 Santa cruz Nîmes 2011

Retour à tous les pèlerinages de Santa-Cruz à Nîmes.

 

16 juillet 2011

CLAUDE NAL-LE SERMENT DE L'ORANE

 

Marseille, février 2017

Madame, Monsieur, Chers Amis, nous avons le plaisir de vous annoncer l'ouverture des réservations pour la onzième représentation de la pièce "Le Serment de l'Orane" qui aura lieu à Menton.

Nous serons très heureux de vous y accueillir.

 

Inscription Menton

 


 Claude_f_vrier

Marseille, le 20 octobre 2016

Madame, Monsieur,

à l'approche de Noël, nous sommes tous à la recherche d'idées de cadeaux !

Pour cette belle occasion, je vous propose mes ouvrages, ci-dessous, exonérés de frais d'expédition.

Les deux romans et le DVD de la pièce peuvent intéresser tout le monde, mais leurs caractéristiques historiques et pédagogiques s'adaptent plus particulièrement aux enfants et petits-enfants des familles Pieds-Noirs.

Ils seront enfin passionnés par la découverte sereine de leurs origines et par l'histoire de leurs parents ou grands-parents.

Notez que l'achat des trois ouvrages vous coûterait 50€ au lieu de 56€.

Vous pourrez passer de bonnes fêtes en Piednoirie.

Cadeau de noël 2016

Quelques avis de spectateurs et de lecteurs: 

pour "Un jeune homme d'honneur"

pour "Le Serment de l'Orane"

pour "Voyage en Piednoirie"

Merci de me faire part de vos propres commentaires, à l'adresse ci-dessous, si vous avez lu l'un ou l'autre des livres, ou si vous avez assisté à une représentation de la pièce. Merci également d'en parler à vos proches si vous avez apprécié ces ouvrages.

Claude Nal 04 91 82 01 37

Nouvelle adresse: c.nal@orange.fr

Ensemble du site: www.jh-dhonneur.fr

Bande annonce sur Youtube: "Le Serment de l'Orane"

Page Facebook : "Le Serment de l'Orane"

Claude Nal


 

LE SERMENT DE L'ORANE - 2012 

 

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Madame, Monsieur, Chers amis,

Depuis janvier, j'ai eu le plaisir de vous proposer quelques extraits, de mon livre  " Un  jeune homme d'honneur " en quelques lignes, et de nouvelles appréciations de lecteurs.J'espère que ces six extraits et les commentaires de lecteurs qui les ont accompagnés vous auront plu et que ce livre aura désormais une place de choix dans votre bibliothèque. Je vous remercie pour les recommandations que vous en ferez auprès de vos amis.

Merci de m'avoir suivi tout au long du semestre.

Pour l'avenir, l'écriture et le témoignage continuent. Je termine la mise en forme d'une pièce de théâtre en trois actes dont le titre - provisoire - est "Le serment de l'Orane" qui a pour thème l'Algérie et son histoire à travers le vécu de jeunes étudiants Pieds-Noirs. D'ores et déjà, je recherche des éditeurs et des gens de théâtre, amateurs ou professionnels, qui seraient intéressés par la mise en œuvre de cette pièce. Je vous propose un premier contact par courriel claude.nal@numericable.fr .

 

Extrait choisi pour juin 2011:

 

"Isabelle et le jeune homme d'Abidjan"

"Ils s’allongent un instant sur le sable et les souvenirs assaillent Nicolas. Il change de visage. Il pâlit en essayant de retenir deux larmes qui humidifient ses yeux. Isabelle, émue et inquiète, ne sait pas à quoi elles sont dues mais ces larmes, infimes, déclenchent une réaction presque maternelle. Elle se penche, passe ses bras autour des épaules de Nicolas, le couvre de baisers et enfin lui demande : 

« Qu’est-ce que tu as mon lieutenant ? »

Il sourit, s’excuse de sa légère faiblesse et explique que leur situation sur cette plage lui en rappelle bien d’autres d’une époque heureuse où il avait un « chez lui », des amis et de l’eau et du sable qui lui appartenaient. Il lui décrit la pêche avec son oncle, les levers de soleil sur la mer, les parties de ballon sur la plage avec ses copains et les filles avec lesquelles il se promenait les pieds dans l’eau comme ils viennent de le faire. Il lui dit combien il est sensible à ce bruit d’amour et de douceur que fait la mer en caressant le sable. Autant de choses qu’il ne connaîtra plus que sous d’autres cieux comme c’est le cas aujourd’hui.

C’est un grand moment d’émotion que Nicolas vient de faire partager à son amie. Elle sent combien il est proche d’elle pour lui faire ces confidences et elle en ressent un frisson profond qui lui donne la chair de poule. Après cet instant de communion, il ne peut y avoir que le silence pour le magnifier. Isabelle vient de comprendre en quelques mots et avec deux larmes minuscules, ce qu’est l’indépendance de l’Algérie pour tous ceux qui ont leur âge, pour tous ceux qui ont été arrachés à leur première vie et qui devront en construire une autre à partir de rien, à partir d’un autre sable que le leur, avec une autre eau que la leur."

"Du passé à demain avec Françoise"

"Au petit  matin leurs mains sont encore jointes et l’aube les surprend sur la corniche à contempler la mer et à regarder ensemble vers le sud comme si de leurs regards, juvéniles et amoureux, ils pouvaient espérer voir cette terre où ils sont nés et où ils ont vécu sans se connaître. Leur destin était de s’aimer ici et maintenant à l’endroit et au moment où doit commencer leur deuxième vie."

Extrait choisi pour mai 2011 :

 

" Le rêve est si beau !" 

"Isabelle est absolument splendide. Elle s’avance vers lui lentement, très lentement, avec un sourire radieux. Elle écarte les bras, fait tourner sa robe pour adresser à Nicolas un message muet mais très clair : 

« Je me suis faite belle pour toi ! Comment me trouves-tu ? » 

Encore une fois Nicolas se dit que les femmes ont l’art de donner de l’éclat à leur beauté. Sa robe virevolte autour d’elle, légère, colorée, mettant en valeur son corps de jeune fille dont les formes suscitent chez Nicolas d’indescriptibles émotions. Il regarde sa taille dont il pourrait faire le tour avec ses deux mains, ses hanches arrondies à souhait, ses jambes fines et galbées, son corsage rempli de vie. Elle continue à avancer alors qu’il ne bouge pas. Ils ont visiblement envie, tous les deux, que cette approche de leurs corps dure le plus longtemps possible. Il détaille son visage. Il aime les brunes c’est sûr, mais les cheveux d’Isabelle sont les plus beaux qu’il ait vu depuis longtemps ; depuis Oran sûrement. Elle les a relevés en chignon. Son cou est dégagé.

« Quelle belle allure ! », pense-t-il.

Il plonge maintenant dans ses yeux foncés, souriants, qui l’attirent tout autant que ses lèvres. Elle est à peine maquillée et les bijoux dont elle s’est parée sont simples. Ils ne font que souligner sa beauté. Ils n’y participent pas. Ce sont de petits ensembles métalliques auxquels sont accrochées des pierres colorées, comme on les fait beaucoup en Afrique : un collier, deux boucles d’oreilles et un bracelet ; le tout en argent. Les pierres sont azurées.

Elle aussi le détaille : il a mis les vêtements civils qu’ils ont achetés ensemble. Le pull qu’elle lui a offert  est posé sur ses épaules et les manches sont entrelacées sur sa poitrine. Il a de beaux cheveux blonds coupés courts, comme il se doit pour un officier. Son visage bronzé par le soleil du Ténéré est à la fois mâle et juvénile. Il est rasé de près, souriant, attirant.

Elle est tout proche maintenant. Il tend ses bras et prend ses deux mains pour la conduire jusqu’à lui très lentement « Je suis ébloui ! lui dit-il. Tu es radieuse, resplendissante, je suis plein de fierté à la seule idée de t’avoir à mon bras cet après-midi » 

Ils se retrouvent enfin dans les bras l’un de l’autre et ils peuvent alors échanger un baiser empreint de tendresse qui semble avoir commencé dès qu’ils se sont vus, avant même d’être l’un contre l’autre."

Extrait choisi pour avril 2011:

 

" Le désert de l'honneur"

Après le vent de sable : "Aux premières lueurs de l’aube, on aperçoit dans ce coin du désert des tas de sable qui bougent et qui commencent même à parler. Chaque homme est recouvert d’une épaisse couche de roche finement moulue. Une mouture constituée de grains brillants descendant lentement des couvertures qui collent à ces bipèdes maladroits dans leur tentative de retrouver un équilibre vertical. Ils se soulèvent lentement, l’un après l’autre, comme le feraient des méharis après avoir barraqué pour la nuit.

Le vent s’est tu. Le vent s’est couché à son tour, probablement las de ses jeux nocturnes. Grandval le premier levé, après Laouel bien sûr, commence à remuer ses couvertures … et son petit monde:

« Tout le monde debout ! Départ dans une demi-heure ! »

On secoue son sable, on s’étire, mais surtout on ne rouspète pas. Nous ne sommes pas dans une chambrée de caserne de la région parisienne. Nous sommes entre « gens du désert », presque entre nomades. Et dans le désert, les nomades ça ne discute pas, ça nomadise !"

 

Coucher de soleil sur le Ténéré : "Le soleil glisse à l’Ouest en faisant rougir le sable de l’horizon. C’est alors un spectacle grandiose que tous se mettent à admirer dans un silence de cathédrale. Le soleil est maintenant un immense cercle allant du carmin à l’orange. Il descend lentement, comme pour se faire mieux admirer. Au loin, tout le long de l’horizon, une bande brunâtre pailletée d’or absorbe l’astre comme pour lui éviter de se brûler au contact de ce sable qu’il a lui-même embrasé. Le soleil ne touche pas le sol mais il cache petit à petit sa splendeur dans cette couche où, semble-t-il, il va passer la nuit. Les couleurs s’estompent, l’or devient argent et le noir s’étend pour tout recouvrir. Les points de lumière parsèment le ciel du Ténéré et tous les regards se tournent maintenant vers un nouveau point lumineux bien plus modeste mais combien attirant. Le feu que le goumier vient d’allumer crépite et appelle au regroupement. C’est l’heure bénie du repos, du calme et de la convivialité. Laouel, heureux d’avoir pu respecter la ichâ, heure de la cinquième prière, celle du soir, a commencé sereinement les préparatifs du thé. Le repas est pris autour du feu. Tous, assis en tailleur à même le sol, évoquent la journée passée avec ses difficultés et les découvertes surprenantes qu’ont pu faire les uns et les autres, jusqu’à cet étonnant coucher de soleil."

Extrait choisi pour mars 2011:

 

" Amour et guerre" 

La plage est déserte. La lune est au rendez-vous. Le sable est encore chaud et la mer toujours tiède. Quel bonheur pour ces deux jeunes gens qui sont en train de découvrir ce que signifie l’expression « battre la chamade ». Leurs cœurs s’affolent. Ils n’en sont pas à leur premier émoi, mais à ce moment là ils découvrent des sensations nouvelles, profondes, presque effrayantes tellement elles sont nouvelles et profondes. Ils marchent dans l’eau. De nouveau leurs mains se rencontrent et leurs doigts s’entrelacent, mais avec plus de force que la première fois. Une grande attirance et une infinie pudeur les enveloppent. Ils ne parlent plus. Ils marchent dans l’eau. Nicolas, lentement attire son amie vers le sable sec et l’invite à s’étendre ; pour écouter la mer, lui dit-il. Et c’est vrai que ce bruit de l’eau sur le sable est la musique préférée de Nicolas. S’il existe une mélodie qu’il souhaite faire partager à Michèle, c’est bien celle-là.

«Écoute  comme c’est doux. Il n’y a rien de plus doux dans la nature que le bruit de l’amour de l’eau et du sable»

Sacré Nicolas, en quelques gestes tendres et en quelques mots, il a réussi à attirer sa charmante compagne contre lui. Cette mer Méditerranée et son sable ont toujours été ses complices, depuis son premier château de sable. Aujourd’hui encore, il sent combien il leur est attaché, combien il les aime. Michèle blottie dans le creux des bras de son jeune amoureux soulève son visage. Leurs yeux se rencontrent dans un rayon de lune. Leurs lèvres aussi. Un long baiser va ponctuer ce moment de bonheur juvénile mais déjà si mûr. Tout à coup Michèle se dresse.

«Tu entends ?  Ce sont des explosions. Regarde, il y a des lueurs qui apparaissent sur Oran. Ce sont des plastiquages ou des tirs de mortier.

C’est une nuit bleue, reprend Nicolas tout en serrant Michèle contre lui.»

Extrait choisi pour février 2011:

 

" D'eau et de sable "

         Le soleil est encore très bas au levant et ses premières lueurs caressent la peau et le sable qui restitue la chaleur douce de la nuit. Les premiers rayons donnent à la surface de l’eau des reflets dont les teintes vont du blanc argenté au mauve, en passant par tous les bleus et les verts d’une divine palette. La mer sort langoureusement d’un sommeil plein de douceur. On entend sa respiration ; le bruit léger de l’eau qui vient se frotter sur le sable, doucement, longuement, puis se retire en soupirant. Câlineries amoureuses que partagent, au réveil, des divinités cachées.

 

         La jeune femme, belle comme le jour qui naît, est allongée à même le sol. Sa tête repose sur une serviette en forme d’oreiller et sa respiration légère est au rythme de la vague. La vague qui pénètre le sable pour ne faire qu’un avec lui. La nature, d’eau et de sable, accompagne dans ses rêves celle qui est venue à sa rencontre pour lui confier ses pensées et peut-être ses espoirs d’un matin radieux. Le flirt de la vague légère et du sable fait entendre un bruissement d’une infinie douceur. La mer couvre le bord de plage, s’y mélange et se retire avec des soupirs qui invitent à tout oublier de la vie qui ne soit pas beauté, douceur, espoir. Les yeux fermés, la dame solitaire, sur son lit de sable, s’imprègne des odeurs, des bruits et de la tiédeur qui l’entourent.

Extrait choisi pour janvier 2011:

 

"Des chemins vers la vie"

Un dimanche de juin 1941, le père Dorval est sur le chemin qui mène au signal d’Apt, dans le Vaucluse. Il s’est levé avant le soleil. Il aime bien gagner cette petite course du premier levé qu’il a inventée entre le soleil et lui. Si la lumière du jour a pénétré sa chambre avant qu’il n’ouvre les yeux, il peste contre tout ce qui lui passe par la tête : sa femme bien sûr, le coup de gnôle qu’il a pris avant d’aller au lit, ce fainéant de coq qui dort au milieu de ses poules sans se soucier de la brièveté de la vie, … Aujourd’hui, rien de  cela : il a eu le temps d’enfiler son pantalon, sa chemise et son gilet dans le noir, et même son café a été avalé à la lueur d’une bougie. Il roulait sa première cigarette sur le pas de la porte, quand de timides lueurs ont commencé à descendre sur le village endormi.

Sa musette sur le dos et son fusil à l’épaule, il avance maintenant d’un pas décidé sur le chemin de terre, qui commence à grimper vers le ciel d’un bleu limpide. Les oliviers et les chênes laissent frémir leurs feuilles dans un mélange de verts très provençaux.

Il est au milieu de sa terre, au cœur de son pays, de sa Provence. Au lever du soleil, il n’y a pas d’endroit aussi merveilleux ! Aucune terre ne peut exhaler de pareilles senteurs. Il connaît chacune des plantes qui produisent ces parfums : le thym en premier, mais aussi les différentes sauges, le romarin, la sarriette et cette merveille que la nature a offerte à la Provence, et croit-il, seulement à la Provence : la lavande. Imprégné de ces odeurs qui embaument son pays, il se mettrait à croire que Dieu est venu sur place pour installer lui-même le décor, tellement il ressent de la perfection sur son chemin pourtant caillouteux, sec et pentu."

 

Appréciations de lecteurs (extraits parmi une centaine de commentaires):

 

Après une seconde lecture très satisfaisante, je considère qu'un "Jeune homme d'honneur" est bien davantage qu'un roman, c'est aussi le récit d'événements dramatiques de notre Histoire relativement récente. Ses belles illustrations et son site internet en font un ouvrage à caractère encyclopédique et interactif.

  Pierre D.

Bonsoir ! C'est entre mer et sable, au Portugal que j'ai emmené le roman. je l'ai dévoré. Bravo ! J'y ai retrouvé des ressentis et des odeurs de ma petite enfance ... enfouis. J'ai même pleuré.

  Jocelyne N-D.
 

Il existe de nombreux livres sur l'Algérie, mais c'est la première fois que j'en vois un sous forme de roman, et vous avez écrit un roman magnifique. Je le relirai en vacance.

  Daniel A.

Monsieur Nal bonjour,
Je tenais à vous dire que c'est avec beaucoup de plaisir que j'ai lu votre roman. J'ai pu à travers le récit de Nicolas revivre l'histoire de mes grands-parents ayant eux aussi vécu en Algérie. J'ai pu rêver, voyager, découvrir la vie et la beauté de certains lieux grâce aux descriptions si parfaites contées dans ce bel ouvrage. J'ai apprécié le vrai sens des valeurs si précieuses dans la vie dont vous avez si bien parlé. Félicitations et merci pour ce roman.

  Magalie M.

Toutes mes félicitations pour cette œuvre. Après près d'un demi-siècle, les passions laissent petit à petit la place à l'histoire. J'ai toujours été attiré par cette tragédie et ce dès le début. De plus, ma fille ayant épousé un pied-noir d'Oran, j'ai été plongé en plein dedans. Ma conclusion rapide : avec un peu plus d'intelligence de la part de nos dirigeants politiques de l'époque, nous devrions être toujours là-bas.
  Francis P.


... Je vous charge d'adresser à l'auteur mes félicitations pour son travail " de Mémoire " Amicalement.

  Monique C.

Roman agréable à lire. L'histoire est attrayante et l'atmosphère bien rendue. Roman qui m'a donné envie de découvrir certains lieux décrits.

Françoise G.

 

Bonjour Claude, Je viens de terminer votre livre que vous m’avez  gentiment dédicacé dimanche dernier à Antibes, vous avez réveillé en moi des souvenirs que je croyais avoir rangé définitivement ! Je dois vous dire que j’ai eu un immense plaisir à redécouvrir l’ambiance de l’Algérie de cette époque que vous avez su décrire avec une grande précision. Votre histoire est très intéressante, sa lecture est prenante et avec de nombreux rebondissements qui nous font voyager bien loin de la France et de l’Algérie. Les paysages, les hommes, les sentiments tout y est , pour un premier livre c’est une réussite. Bravo.
Merci pour ce bon moment passé avec cet officier de talent. Amicalement.

  Bernard B.

 

Félicitations à mon ami Oranais pour ce magnifique roman. Un texte qui fait Honneur à notre communauté. Des images, des sensations, un vécu qui nous rappelle tant de souvenirs, un hymne à nos convictions et à notre terre ... Bravo.

  Yves J.

 

"Ce roman relate avec précision tout un passé. Une enfance, une jeunesse, des moments de vie incomparables, privilégiés. Le style concis, sans fioritures, réussit à faire passer chez le lecteur de véritables émotions. A travers ce récit, autobiographique, des souvenirs rejaillissent, même ceux qu'on avait cru enfouis. Paysages, bruits, senteurs, inoubliables, instants vécus dans le bonheur ou la tristesse. La nostalgie est ce qu'elle est ! Claude Nal s'est inspiré de sa vie riche en aventures, débordante de bons sentiments . Il parvient par le biais de Nicolas Dorval à nous faire partager les étapes d'une existence hors du commun.

Odette P.

 

Votre livre m'a beaucoup plu. J'ai souvent été émue. Les sentiments sont bien rendus, y compris l'amour pour la Provence. On ressent aussi pleinement la dureté de la guerre d'Algérie et l'atrocité de ses conséquences. J'ai du mal à trouver les mots pour exprimer ce que j'ai ressenti. J'ai aimé l'ensemble. Je le relirai pour bien comprendre ce qui a pu m'échapper en première lecture.

  Marie P.

Nous refermons votre livre avec regret. Ce fut un beau voyage entre Oran et le Ténéré. Un passage en Provence, que nous venions de découvrir, avec un petit air de Pagnol "La gloire de mon père".
En lisant ce "Jeune homme d'honneur" nous n'étions plus dans l'ouest de la France mais voyagions avec vous. Mille merci ... Continuez de nous conter de belles aventures avec des personnages ayant le sens de l'honneur. Il en existe toujours, mais on n'en parle plus guère...

Catherine et Claude A.

         Bonjour Monsieur Nal.
Je me permets de vous faire part , de mes sentiments , après la lecture d’UN JEUNE HOMME D’HONNEUR ... C’est votre premier roman ? eh bien dites donc ! Je me suis régalé. Quant au sous-lieutenant Dorval, c’est un plaisir que de le suivre, de comprendre ses états d’âme , deviner ses interrogations . Le courage qu’il lui a fallu, la personnalité qu’il dégage à 21 ans, commandant une section, sachant que les soldats ne lui pardonneraient pas la moindre faiblesse en tant que chef. Nous vivons tout cela dans votre roman. Nicolas a aussi rencontré l’amour à Abidjan, sans lequel il ne peut y avoir de héros romantique. A Abidjan, où j’ai fait également escale dans la lagune. Nous y retrouvons l’ambiance coloniale de la société européenne . Le lecteur entend presque la musique de l’orchestre. Bref, pendant toute cette lecture , on est avec Nicolas , ressentant les mêmes émotions pour peu qu’on ait goûté de près à cette vie.

  J.P.C.


... pour mes amis du site du 3ème GT via notre journal interactif. J’avais prévu de parcourir au mieux ce roman que Claude NAL vient de me dédicacer, avant de vous le présenter sur le journal …
Mais ce serait trop vous faire attendre ! Et les premières pages m’ont de suite décidé. En effet, ce roman qui s’appuie sur des faits bien réels m’a paru d’entrée, d’un style libre agréable, coulé des plus sympathiques, un livre avec des senteurs ! Bref ce livre délecté avec le plus grand plaisir, nous laisse sur notre faim car le voyage de la vie du jeune Nicolas bien que déjà très remplie, n'en est qu'à ses débuts! Il est vrai que ''feu'' l'Algérie que le goût amer d'avoir perdu son pays ne s'oublie pas aussi facilement!!

  Alain B.

Le livre de Claude Nal, je l'ai bien apprécié, et plus particulièrement pour sa partie saharienne (même si je connais mieux les Touareg que les Toubou, ma géographie n'ignorait ni le Tibesti, ni l'Aïr). Yves S.

Claude, j'ai lu ton bouquin, je le trouve très bien écrit, beaucoup de "littéraires " de formation en sont bien incapables.

Il m’a donné en fait la sensation de lire deux œuvres:

- la première, un reportage sur une enfance et une adolescence à Oran qui par simple translation aurait pu être la mienne.( les pièces du pitchac s'étaient transformées en bouts de chambres à air, le twist avait succédé au rock, le Lycée quelques années avant..)

- la deuxième, du Frison Roche avec un clin d'œil vers le Désert des Tartares...

L'ensemble passionnant. Amitiés.

  Jean F.

 

Bonjour CLAUDE, j'étais dans les cent premières pages du livre "Un Jeune Homme d'Honneur" et déjà j'étais impatient de connaitre la suite. Les premières pages ont fait ressortir de ma pensée tous ces souvenirs depuis le cours préparatoire jusqu'au C.M.2 de l'école annexe d'instituteurs. Le paragraphe d'ORAN LA BELLE où tu énumères tous les jeux que nous avions dans le quartier. Dans la deuxième partie de ton roman le Sous-Lieutenant NICOLAS chef de section à 21 ans nous montre le sérieux et le patriotisme que nous avions dans cette belle ALGERIE. Ne pas être classé B.S.A. au recrutement était pour un garçon un déshonneur. Bravo pour toutes les missions effectuées dans cette partie d'Afrique, le fameux désert du TENERE. Tes explications et les détails sur les sorties en missions nous les vivons à tes côtés.

Encore un grand BRAVO pour ce merveilleux roman et au prochain. Félicitations sincères et chaleureuses.

  Joseph A.

 

Quand Nicolas embarque à MARSEILLE pour son autre vie (comme il dit) en AFRIQUE OCCIDENTALE et qu’il est nommé officier, tout cela est bien narré. Quant à ses flirts sans lendemain, quoi de plus naturel pour un jeune homme voyageant loin de tout. D’ailleurs, j’ai été très émue par cette fille “ BINTI“, fille du chef d’un village qui se donne à lui, afin de le remercier de l’avoir menée auprès de sa grand’mère mourante, au prix de la désobéissance militaire. C’est un geste humanitaire qui fait de lui un jeune d’honneur. En conclusion, je dirais que ce livre est une réussite ; en plus il nous fait comprendre qu’il ne faut pas oublier ces soldats français d’ALGERIE qui se sont battus et sacrifiés pour sauver notre pays. Félicitations.

  Nadine F.

 

Salut Claude,

Bien sûr, j'ai lu ton livre et j'ai été impressionné par ta capacité de mémoire et la précision de ton récit. Quant à la partie consacrée à notre Algérie, tous ceux qui ont vécu là-bas et ont connu, comme moi, l'exode, se reconnaîtront. C'est un beau livre, qui laisse échapper, dans la main qui le referme, quelques grains de sable du Désert. Bien amicalement.

  Roland B.

 

Félicitations Claude ... Je me suis régalée de tes descriptions sur la Provence. Je lisais avec l'accent, les odeurs, les bruits, les couleurs, comme si j'y étais. J'ai beaucoup aimé les séjours et les descriptions dans le désert : le sable et ces magnifiques couchers de soleil que tu décris. La vie militaire, eh oui l'honneur ... l'armée, les hommes d'honneur ... Mais, l'Oranie, "Oran la belle", je la gardais pour la fin ! Elle était belle notre ville ! beau notre pays perdu ... Les rues, les monuments dont tu parles, le balcon sur la mer " Boulevard Front de Mer" et La Corniche, Santa Cruz ... J'ai tout revisité avec émotion grâce à ton livre. C'est une belle réussite. Bravo !

  Rose Marie S-P.

 

Claude Nal a su mettre dans l’écrin de ce premier essai, tous ces parfums que l’on délecte comme un rayon de miel dont on ne voudrait pas perdre une goutte, pour nous amener de la Provence jusqu’aux confins de ces déserts que nous avons foulés nous faisant découvrir celui qu’il a appelé : « UN JEUNE HOMME D’HONNEUR »

  Alain B.

 

Bonsoir Claude. Je viens de terminer ton livre, je l'ai lu d'une traite et avec plaisir: grâce à Nicolas, de nouveau je me suis baigné à la cueva del agua, j'ai parcouru les préaux de l'annexe et du lycée Lamoricière, manifesté place des Victoires, avenue Loubet, et roulé dans le sable de nos plages. Si le vent du désert ne m'a pas emporté, l'aventure saharienne de Nicolas m'a rappelé avoir lu avec délectation Frison-Roche. Ton roman m'a offert une petite cure de jouvence. Merci" Nicolas".

  Jean-Luc M.

 

" Un mot pour vous dire combien j'ai apprécié le livre. J'en ai aimé le style, j'y ai retrouvé l'ambiance de ces années d'enfance et d'adolescence, années de bonheur, dans les mêmes paysages, " sur l'autre rive", dans l'insouciance entre famille et amis. De part et d'autre de la Méditerranée, nous partagions les mêmes valeurs. J'ai eu la chance de ne pas avoir eu à subir ces aléas de l'histoire où on est obligé de tout quitter, j'ai aimé le récit, avec les rappels historiques concis mais précis, de ces années difficiles qui ont bouleversé votre vie, et en même temps c'est un livre optimiste. Bref, je me suis régalée ! J'ai suivi Nicolas comme un ami tout au long du livre.

  Jacqueline P.

 

"essai romancé destiné à transmettre la période d'apprentissage d'une vie avec des détails techniques, historiques et géographiques, philosophique aussi. Les personnages, attachants et pittoresques, tous particulièrement positifs ... La lecture agréable se fait sans effort, les ambiances bien rendues ont parfois une petite connotation de Pagnol ou de Camus ... En refermant ce livre, on a envie de retrouver dans une suite le monde de Nicolas où l'on ne s'attarde pas sur les épreuves mais plutôt sur les moments magiques qui passent trop vite dans la vraie vie ... "

  Marie-Noëlle M.

 

" N'ayant pas les qualités littéraires de Claude Nal, je n'ai pas su trouver les mots pour traduire l'émotion et les divers sentiments que j'ai éprouvés en lisant son livre. Je saurai peut-être exprimer tout cela de vive voix...Encore bravo et félicitations à ce "Jeune homme d'honneur".

  Rose F. 

 

"J'ai lu le livre de Claude Nal. J'ai beaucoup aimé, surtout le passage sur Oran et sa découverte de la Provence lorsqu'il est enfant. Je ne sais pas si c'est sa biographie. Va-t-il faire un deuxième tome sur sa lancée ? Il a du mérite d'avoir écrit un si beau livre."

  Chantal M.

 

"Bonsoir. Je l'ai aussi beaucoup aimé et je garde sous la main pour relire également quelques passages. Mon seul regret : qu'il ne soit pas dédicacé parce que je n'ai pu vous rencontrer. Merci pour ces agréables moments. Cordialement."

  Jackie A.

 

"Un jeune homme d'honneur" a trouvé une place de choix dans mes lectures. J'ai lu ce roman certainement très autobiographique avec grand plaisir . Il était important pour moi d'avoir le regard d'un homme de mon âge, né sur cette terre d'Algérie . Nos chemins se sont croisés à Oran, dans cette période tragique d'avril 1961 à avril 1962. Je comprends le déchirement de la population "pieds noirs" mais quel prix aurait-il fallu payer pour garder français ce territoire ? Jeune sous-officier de l'armée de l'air j'ai cependant gardé d'Oran de bons souvenirs. Après une première lecture de ce roman, si peu roman mais historique, je vais analyser plus complètement certains passages. Belle écriture, belle construction, je voudrais bien avoir ce talent pour écrire moi aussi sur ma jeunesse et le séjour qui a sonné la fin de l'Algérie française.

  Jean-Claude C.

 

"Merci pour ce merveilleux livre... je me suis régalée !! Merci pour ce beau voyage dans les souvenirs. "LE SABLE ET L’EAU" : c’est toute ma jeunesse... Bien sur que la plage de Bouisseville est irremplaçable pour moi !... "

  Arlette B.

"A la lecture du roman je me suis promené dans mon enfance et pleins de souvenirs me sont revenus : j'ai fait le boulevard à St Eugène, dansé aux castors de Dar Beida et flirté sur la musique des platters. Nostalgie quand tu nous tiens.... "

 Jean-Paul D.
 

"Au début de ce récit, c’est une belle description des paysages de Provence et de la ville d’ORAN avec tout ce qui l’entoure (vie courante, mer, sable, etc…). On s’imprègne bien de l’atmosphère. Il n’en faut pas plus pour rentrer dans le livre et se mettre dans la peau de l’auteur. Et dès les premières lignes, on voyage, on s’évade ! Evidemment, les passages sur les affrontements sont terribles et on imagine bien cette existence effrayante, enfin l’horreur. Comme tout cela est bien décrit, cela passe tout seul et se lit très facilement. Toute cette histoire n’est pas ennuyante, car voyez-vous, dans les livres relatant des guerres ou des attentats que j’ai eu l’occasion de lire, je dois l’avouer, c’était un peu ennuyeux. Je peux vous le dire franchement, je me suis régalée en lisant ces lignes."

  Nadine F.

"Bonjour Claude. Merci pour ce beau roman qui est un peu le roman de notre vie. Nous avons le même âge que Nicolas et avons vécu en parallèle son épopée Oranaise : mêmes émotions, même ciel, même mer, mêmes jeux, mêmes odeurs, mêmes événements etc... Et la Provence : notre terre d’accueil que nous affectionnons particulièrement. Je souhaite à Françoise et Nicolas un bel avenir. Amicalement."

  Jocelyne E.
 

"Bonjour Monsieur Nal ! j'ai eu le grand plaisir et une vive émotion en lisant votre roman, d'autant plus que maman était Oranaise. Merci pour cette lecture pleine de fraîcheur et de tendresse."

  Annita S.

"Aux rythmes des vagues de la Méditerranée, je me suis laissée porter par le vent de la jeunesse, les souvenirs, à la découverte du Niger et d'une région, un véritable bijou que je demande à connaître : "La Provence". Un seul mot Merci ! "

  Ghislaine G.

" Le roman de Claude Nal est un hymne à l’Amour qu’il dit si proche de l’Amitié ! Ce Nicolas qui lui ressemble tant est un « Jeune homme d’honneur » … car dans l’Amour …il faut honorer : Ses racines … ses Amis … sa famille … l’être aimé ! Dans le joli château de Suze la Rousse, en Drôme Provençale, il y a un blason dans la Cour d’Honneur où il est inscrit : « Que l’Honneur, pas les honneurs »."

  Gérard D.

 

AVIS D'UN JOURNALISTE : "Un jeune homme d’honneur, oscille avec talent entre roman initiatique, roman historique et biographie romancée… le tout se mêlant pour une histoire vraie dans une fiction réaliste, et pour cause, la vie de Nicolas Dorval est très proche de celle de son créateur. Né sous la plume légère, précise et sensible de Claude Nal, son héros lui ressemble et vit de souvenirs qui nous plongent dans cette page de l’Histoire de France, sans pour autant porter de jugement. Un jeune homme d’honneur se lit avec curiosité et passion, sur les pas d’un héros ordinaire, sur les pas de l’auteur, sur les pas d’un Homme parmi tant d’autres, d’un Homme dans l’Histoire, d’un Homme dans sa vie, d’un Homme tout simplement avec ses forces, et ses faiblesses. Un jeune homme d’honneur, de Claude Nal, ne ravira pas seulement les amateurs d’Histoire, il ravira aussi les amateurs de belles histoires"

  Mickaël Tardu du Carrefour Des Cultures

 

"J'ai fini le livre et j'ai beaucoup apprécié. J'ai même relu les passages sur la Provence. "

  Brigitte B.

 

"Lorsque tu nous décris la Provence de tes ancêtres j'ai l'impression de sentir à travers les mots de ton livre les parfums de la lavande et autres plantes. "

  Odette A.

 

" ... il se lit avec bonheur, les mots provençaux lui donnent une saveur particulière (quels veinards, ces gens du midi, pour les odeurs, les couleurs, les paysages - enfin, ceux qui n'ont pas encore été massacrés, c'était sûrement mieux à cette époque-là), en bref, je conseille vivement sa lecture."

  Marie E.

 

Quel talent ! Merci Monsieur Nal pour votre "œuvre". Chers Amies et Amis, …  je vous recommande particulièrement « Un jeune homme d'Honneur » de Claude NAL.
C'est avec un pincement au cœur que je viens de refermer ce livre. En  effet, dés la première page, on est comme happé, pris en haleine et ce, jusqu'à la fin du roman. Une véritable  Histoire d'amour entre le narrateur et Oran. On est replongé dans cette ambiance Oranaise, où se mélangeaient ces senteurs, ces odeurs qui ont tant chatouillé nos narines autrefois.  BRAVO, encore BRAVO. Un livre, où l’on partage avec l’auteur passion et ferveur, et qui a tellement de relief, qu’un non voyant pourrait le lire comme du braille. Ce roman deviendra vite votre livre de chevet. J’en ai acheté deux pour des amis. Mes Félicitations à l'Auteur.

  Jack T.

 

"J'ai acheté et lu le livre de Claude un mot : MAGNIFIQUE ! Félicitations Claude Qu'il est doux de se replonger dans ses racines ..."

  Marie-Pierre C.

 

"... Je l'ai lu et je vous le recommande car il "PARLE VRAI". Il s'intitule: UN JEUNE HOMME D'HONNEUR. Il vous permettra de mieux connaître ce pied-noir de haut niveau."

  Pierre Salas - auteur de "Le beau ciel perdu à jamais"

 

                 

"Après la lecture de votre roman « un jeune homme d’honneur » nous vous adressons nos félicitations pour cette œuvre si agréable à lire. Nous en avons apprécié l’aspect « voyage et dépaysement» mais aussi son point de vue historique si particulier et intéressant car, et ce n’est pas le plus répandu, vue de « l’intérieur », par quelqu’un qui l’a vécu au quotidien et qui en parle en toute simplicité, avec ses joies et ses peines, ses espoirs et ses regrets. Ce témoignage sincère, sans haine et au contraire empreint de beaucoup d’amour, à travers une écriture laissant apparaître le plus modestement du monde, une grande noblesse d’esprit et un sens de l’Honneur qui nous a touchés. Très cordialement."

  Pascale C. et Sauveur B.


            Claude Nal habitait Oran Saint Charles ou son père tenait la ‘Brasserie Nal’ de Saint-Eugène, fréquentant l'annexe de Gambetta avant de rejoindre le Lycée Lamoricière nous présente son livre ‘Un jeune homme d’honneur’

N'attendez pas pour lire cette histoire  "D'eau et de sable"

                   Le temps passe ! Les souvenirs, malgré leur contour flou, sont toujours vivaces. Par période, ils deviennent envahissants avec leurs paysages, leurs bruits, leurs parfums. On se souvient des visages, des propos échangés, des sentiments éprouvés. La dimension du passé augmente et occupe un espace de plus en plus important dans le présent, mais aussi dans l’imaginaire.

                   Des questions nombreuses et préoccupantes engendrent des réflexions sur les événements vécus : était-il possible de modifier le cours des choses ? le « vent de l’histoire » était-il une réalité, ou un concept imaginaire, issu d’un esprit tortueux et vieillissant, pour en finir au plus vite avec un problème qui risquait de devenir insoluble : maintenir l’Algérie dans la France ou l’abandonner ?

                   Tout ceci est obsédant ! Il devient indispensable de « matérialiser », pour que ce vécu ne se déforme pas trop avec le temps, et ne disparaisse pas dans l’oubli définitif. Il faut en parler, mais cela ne suffit pas, car les paroles ne fixent pas les souvenirs. Alors, l’écriture s’impose. Les paysages et les portraits sont reconstruits par des mots, puis des phrases. La réflexion s’extériorise, comme mue par une pulsion, de la même manière que le fruit, arrivé à maturité, tombe soudainement de l’arbre. Ecrire, oui ! mais quoi ? et comment ?

                   J’ai décidé d’écrire vrai … dans une fiction ! La réalité d’antan et le fantasme s’entremêlent pour mieux passer du souvenir, plein de beauté et de douleur, à une nouvelle vie enrichie par les faits de jadis, mais aussi gonflée d’espérance, de créations et de joies nouvelles. Il n’était pas question d’écrire, avec aigreur, un nième livre sur l’Algérie en guerre civile, mais bien de parler de la beauté d’un peuple, et de sa jeunesse en particulier, avec sa grandeur d’âme et son sens de l’honneur. Les événements douloureux, la souffrance et le désarroi d’hommes et de femmes trahis et vilipendés, ne sont pas occultés, mais c’est à travers leur courage, leur esprit de résistants et de bâtisseurs que l’histoire est évoquée.

                   J’ai créé un jeune pied-noir : Nicolas Dorval, pour témoigner, et transmettre une période d’apprentissage d’une vie où les épreuves importantes sont supplantées par les moments magiques, et où la clarté domine. L’âme de Nicolas est imprégnée de la lumière du ciel : lumière éblouissante des jours d’Oran ou de Provence, mais aussi lumière de la croix du sud dans la nuit profonde du désert nigérien.

                   Nicolas vit, et évolue, dans des lieux réels. Il ressent des émotions que d’autres ont ressenties. Il s’exprime librement, avec conviction, douceur et poésie selon les sites et les personnages rencontrés. Seule la haine lui est interdite, et ses colères légitimes sont légères, compte tenu des douleurs endurées.

                   Il plonge intensément dans de merveilleux paysages, comme ceux du désert sableux et caillouteux du Niger, où il vit une aventure calme et excitante comme peut l’être un voyage en mer, avec ses moments d’enchantement et sa houle aux creux impressionnants. Il apprécie la noblesse des hommes et la beauté des femmes qu’il rencontre, et qui participent à la réalisation de son idéal de vie, car il sait leur prêter attention et partager avec eux l’amitié, ou l’amour … sur le sable ou sur l’eau.

                   Lentement, Nicolas sort de la tristesse et de l’isolement dans lesquels l’ont plongé "l’indépendance" et le "plan simoun" pour remonter la pente d’une vie bouleversée, surmonter les difficultés et atteindre sereinement le seuil d’une deuxième vie. Il est enhardi par l’amour d’une femme auprès de laquelle il retrouve le besoin de construire. Mais l’avait-il vraiment perdu ?

                   Au bout de tout, et malgré sa rancœur, son sens de l'honneur va le maintenir dans la fidélité à son pays, le pays où ses ancêtres ont tracé le sillon de son avenir ...

Visiter son site pour plus de renseignements et pour acquérir le livre. http://www.jh-dhonneur.fr 

Retour nos lectures.

18 septembre 2011

"HERISSON, Pages Choisies" LE LIVRE

NOUVEAU

Pages choisies couverture

          

                          Le hérisson vous "parle vrai" avec son amour de nos couleurs, de notre Marseillaise, du chant des Africains et des vrais français.

Sa franchouillardise  toujours à fleur de peau, parfois avec malice, souvent avec amour ou rabia, quelquefois avec nostalgie.

Mais toujours votre et à jamais.

Le recueil de "Hérissonnades"  est en vente au siège de

USDIFRA

Union Syndicale de Défense des Intérêts des Français Repliés

d’Afrique du Nord ex Française

http://www.pied-noir.eu/

Au prix de 25.00€ + 3.00€ (frais d’envoi)

 

LE HÉRISSON  VOUS SALUE BIEN

TOUJOURS A VOTRE SERVICE

 LE HERISSON

Retour coups de cœur.

 

17 février 2011

FRENCH LATINO

Gavino Jean-Paul et Michelle

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         Pour écouter, vibrer, danser au travers de musiques où le rythme est roi et dot les mélodies vous restent dans la tête bien après la fin du tour de chant, c'est cela l'expérience "French Latino"

Un père et sa fille

         Complices et complémentaires, Jean Paul Gavino et sa fille Michelle accompagnés des musiciens du groupe nous font partager une intimité artistique à la fois sensible et très riche. Les sentiments sont omniprésents et aide à sublimer les bonheurs ou les douleurs vécus pour apporter au public une émotion musicale qu'il n'a certainement plus connu depuis longtemps. "French Latino" une expérience immersive. Pour partager encore plus le spectacle avec son public, "French Latino" propose des représentations sous forme de dîners ou déjeuners-spectacles où il vous est possible de vibrer au son du groupe en partageant une généreuse "Paella" accompagnée de "Sangria" ou pour les moins gourmands autour d'une coupe de "Champagne".

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Infos/Réservations sur : www.frenchlatino.com

Contact téléphonique: 04 72 53 89 89

Contact mail: contact@frenchlatino.com

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19 février 2011

ESCROQUERIES, ARROGANCE ET SARCASMES

De gardiens de chèvres

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         On ne peut pas tout savoir, l’important c’est de savoir chercher (d’après Samuel Johnson)

         Savez-vous que nous, Français, donnons plus de 400 euros par  foyer fiscal pour venir en aide à des pays soi-disant  sous-développés ?

         La Banque mondiale  a investi des millions de dollars au Congo, au Nigeria, en Angola, au Cameroun et dans d’autres pays d’Afrique.

         Pourquoi et surtout pour qui ?  Pour la corruption organisée bien sûr ! Pour leurs dirigeants, lesquels viennent se pavaner en limousine de classe, dans les palaces européens pour profiter des bienfaits de la finance mondiale, en fermant les yeux sur le pouvoir d’achat de leurs sujets qui vivent avec moins d’un euro par jour et souffrent de malnutrition.

         Ceux qui hurlent que ces pays sont sous classés, devraient savoir (mais ils le savent bien ces …humanistes) que ces pays-là absorbent la moitié de l’aide accordée par la banque Mondiale aux pays, soi- disant pauvres, mais pas pour les malheureux, mais pour leurs présidents.

         Pendant ce temps, nous Rapatriés de force et Créanciers d’État, malgré les soi-disant accords d’Evian, sous serrons les dents depuis bientôt un demi siecle et avons la sueur au front, à chaque fois que le facteur sonne à notre porte pour nous remettre des « recommandés » provenant d’officines peu « recommandables » nous réclamant des indus, la plupart du temps prescrits ou rachetés à vil prix à nos créanciers

         Etant moi- même victime de harcèlements abusifs, j’ai décidé de faire une petite enquête en  puisant largement dans les informations qui pullulent sur la toile et apprendre à me défendre contre les vilenies dont une majorité d’entre nous sommes victimes journellement et par contre coup, en faire profiter ceux qui hélas, sont dans mon cas.

         Ces organismes de recouvrement y vont au bluff et nous harcèlent téléphoniquement, et cela que nous soyons sur liste rouge ou blanche ou par écrits péremptoires et menaçants.

         Sachez que le recouvrement public, ne se fait qu’en fonction d'une décision  de justice.

        Seul ce cas de figure permet à un huissier  d'engager une exécution forcée.

         Mais nous aussi, avons maintenant la liste rouge de ces escrocs: en voici quelques uns figurant sur Google (Rubrique "escroqueries par organismes de recouvrement douteux"

         Vous serez surpris de retrouver les noms qui circulent, noms parmi les plus notoires. En voici quelques uns dans le désordre figurant sur le who's who: entre autres (Je cite les Hoist, Effico, Soreco, Paypal, CFR, Coriolis, NCO Europe, Credirec, Intrum Justicia ...Etc.

         Comment utilisent-ils leur abus de pouvoir et comment agissent ces  malfaiteurs ?


         Le recouvrement privé exercé par des sociétés spécialisées, à la demande d'un créancier, organisme de crédit, opérateur de téléphonie, etc.


         Ce type d'intervention  ne relève que d'une vulgaire "mise sous pression" du client débiteur.


         Les officines de recouvrement pullulent aujourd'hui.

         Agissant sur mandat d'un quelconque fournisseur de biens ou de services, elles viennent sommer un consommateur d'avoir à payer une dette, le plus souvent réelle, mais parfois absolument infondée.


         Commencez par vous assurer de la réalité de la dette invoquée, afin le cas échéant, de tenter de négocier avec le seul créancier la décision de justice ou un aménagement de remboursement de créance.  Les pratiques de ces officines consistent en harcèlement par téléphone ou par courrier, menaces de toutes sortes. Que faire alors ?  RIEN, seul un juge peut rendre une décision exécutoire.

         A la limite si la somme due  est incontestable, tout créancier qui veut en obtenir le remboursement forcé doit s'adresser à la justice légale, pas à ces voyous.

         Mettez  fin au harcèlement en les menaçant de les mettre en demeure (par courrier avec AR)  créancier  et organe de recouvrement  d'avoir à cesser ses pratiques sous peine de poursuites pour :

                  - Abus de droit : article 1382 du code civil ;
                  - Atteinte à la vie privée : article 9 du code civil, et encore plus efficace l'article 226-22 du code pénal : sanction prévue = 5 années de prison.

         Si la dette n'est pas fondée les poursuites à engager relèvent de :
                  - l'escroquerie : article 313-1 du code pénal, sanction = 5 ans de prison,
                  - la tentative d'extorsion de fonds : article 312-1 du code pénal, sanction = 7 ans de prison.

         Les sommes réclamées sont à régler au seul créancier, et pas à l'organe de recouvrement (société ou huissier) lequel pourrait conserver l'argent à son profit ce qui serait de nul effet quant au règlement de la dette.


         Depuis plus de trente ans, les huissiers sont sortis de leur mission publique et se sont massivement reconvertis dans la lucrative activité du recouvrement privé, laquelle leur rapporte maintenant plus de la moitié de leurs revenus.


         Cette pratique est sanctionnée par l'article 433-13 du code pénal, qui punit  d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende le fait par toute personne :
                  1° D'exercer une activité dans des conditions de nature à créer dans l'esprit du public une confusion avec l'exercice d'une fonction publique ou d'une activité réservée aux officiers publics ou ministériels ;
                  2° D'user de documents ou d'écrits présentant, avec des actes judiciaires ou extrajudiciaires ou avec des documents administratifs, une ressemblance de nature à provoquer une méprise dans l'esprit du public.
Cet article 433-13 du code pénal, permet au consommateur victime de ces moins que rien, de déposer une plainte sur le fondement de ce texte légal.

         Si vous êtes harcelés plus d'une fois, essayez d'enregistrer leurs propos, demandez leur de vous écrire en joignant un document juridique émanant d'une juridiction et menacez les de déposer plainte contre eux et vous verrez leurs harcèlements cesser comme par enchantement.

         Abordons un autre sujet qui nous humilie et nous ridiculise à la face de l’Europe par le gardien de chèvres libyen Mouammar Kadhafi,  en visite officielle à Rome (la 4° en moins d’un an), sous le regard attendri et larmoyant de Berlusconi.

         Ne voilà-t-il qu’il se livre sur un ton doctoral et ironique à  un cours d’islam devant une assistance de call-girls recrutées par une agence spécialisée et rémunérées 80 euros +  une copie du coran.

         Il affirme en outre que cette religion devait devenir celle «de toute l'Europe». Trois d’entre ces filles se sont converties à l’islam, lors de cette cérémonie.

         Cette provocation de cette tête de nœud a quand même suscité quelque colère en Italie et « La Stampa » a assuré que les échanges commerciaux entre l’Italie et la Libye ne justifiaient pas des attitudes de clowns de bas étage.

         Berlusconi au cours de cette visite a offert à Kadhafi, le repas de fin de jeûne du ramadan, en présence de 800 invités.

         Pour mettre fin au contentieux colonial ils ont signé un traité qui prévoit notamment des investissements italiens de 5 milliards d'euros en compensation de la dite période dont la construction, pour environ 3 milliards d'euros, d'une autoroute littorale de 1 700 km en Libye.

         Messieurs les Kadhafi et autres leaders intégristes, vous avez du souci à vous faire et en attendant vous pouvez toujours aller téter vos chèvres et tondre vos moutons, avant que l’islam devienne notre religion en Europe ou dans le monde et quelque chose commence à sourdre dans les pays qui vous ont ouvert à tort leurs portes. Ils apprennent à les fermer et à vous renvoyer la racaille qui pourrit notre art de vivre et de penser.

         Nous portons dans notre cœur cinq grands ennemis de la paix : l’avarice, l’ambition, l’envie, la colère et l’orgueil. Si nous pouvions les bannir nous obtiendrions à coup  sur, une paix éternelle. (Pétrarque)

LE HERISSON  vous salue bien.

TOUJOURS A VOTRE SERVICE LE HERISSON

Retour coups de cœur.

3 mars 2011

BOUISSEVILLE

         Hameau côtier de la corniche oranaise, à l' Ouest d'Oran ou était construits de petits cabanons et des villas au bord de magnifiques plages de sable fin desservies par le Tramway des T.O.

         Ce village accueillait aussi des élèves en demi-pension ou en pension au Pensionnat Saint-Augustin.

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 01Situation

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Pensionnat Saint-Augustin

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Retour Villes et Villages d'Oranie.

25 juillet 2011

LETTRE OUVERTE A NOTRE FRANCE

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Il est devenu impossible de faire un film satirique sur l’histoire de France. Parce que les gens ne connaissent rien à cette histoire. Pour que ça marche, il faudrait leur offrir avant le film un autre film de trois heures qui leur raconterait les événements que l’on veut caricaturer. Jean Yanne, Pensées, répliques, textes et anecdotes

Il y a quelques mois, une chaîne de télévision, daignant enfin  donner la parole aux Repliés  qui parlaient devant des journalistes qui les écoutaient avec attention, ont rappelé et commenté notre diaspora qui n’avait jamais intéressé personne à ce jour.

Là, nous avons osé aborder le récit de notre vie là-bas et certains d’entre vous, Messieurs les journalistes présents, avaient peut-être compris notre attitude révélatrice du passé de la France en Algérie..

La presse n’a pas toujours été objective avec nous et ceci en contradiction totale avec sa déontologie de neutralité.

Elle a toujours rapporté ces évènements à sa manière et suivant sa perception ou la mouvance  idéologique à laquelle, elle, ou son journal appartenait.

Elle a interprété idéologiquement, plutôt qu’impartialement les évènements qui nous concerneraient.

De là, sont nés les malentendus, les discordes, les controverses.

Nous n’évoquerons que pour mémoire les massacres épouvantables d’Européens et de Musulmans, fidèles à la France, pendant la période de 1956 à 1959.

Pour mémoire et au risque de me répéter : Les femmes enceintes violées et éventrées ensuite avec leurs fœtus posés à leur coté, les hommes avec leurs attributs coupés, enfoncés dans la gorge, les enfants en bas âge cloués sur les portes avec leurs baïonnettes, et autres atrocités de même acabit et ceci grâce au FLN et à ses sanguinaires dirigeants dont certains sont encore au pouvoir actuellement en Algérie et devant lesquels on dresse servilement le tapis rouge quand ils viennent chez nous se faire soigner et dorloter dans nos hôpitaux et nos palaces. Chez nous, il est vrai, que  la rancune a toujours été à sens unique.

Toutes ces horreurs, vous en faites l’impasse et sans les ignorer (ce serait faire injure, à ce que vous appelez votre intellect) vous fermez volontairement les yeux ou regardez innocemment  dans d’autres directions.

Vous aviez choisi de vous attarder et de nous  reprocher  avec une lourde insistance d’avoir voulu organiser notre légitime défense en créant un mouvement qu’il vous a été très facile d’attribuer à l’extrême droite, je veux parler de l’OAS, que nous (ne vous en déplaise) avons toujours assimilé aux FFI, face à l’occupant germanique ; Et a partir du renoncement gaullien et de ses sbires aux paroles données sur les forums d’Alger et de Mostaganem, c’est à ces hordes germaniques, qu’à nos yeux sont devenus certains de ces soudards que vous nous avez envoyés. N’est-ce-pas Messieurs les salopards-barbouzards ? Mais vous les journaleux vous préfériez ignorer ces serments que vous connaissiez, vous préfériez faire l’impasse sur l’honneur qu’était le nôtre depuis 1830 d’être devenus « Français » et que l’on se batte avant tout pour sauver cet insigne honneur, au mépris de nos vies, celles de nos familles, notre travail et notre pays. Vous préfériez détourner pudiquement votre regard pour ne plus croiser le notre.

 Mais comment faire comprendre cela à des totems de bois autour desquels gesticulent des marionnettes en hurlant des imprécations. C’etait vous demander l’impossible, tant vous étiez engrené jusqu’à la moelle  de vos os dans votre idéologie partisane.

            La fusillade de la rue d’Isly est le produit d’un dérapage incontestable. Les massacres du 5 Juillet 1962 à Oran (notre Saint Barthélémy) , se sont déroulées sous le regard impavide et le flegme du Général Katz qui avait reçu l’ordre de ne pas intervenir et qui ne demandait sûrement pas mieux, tant sa haine des Français d’Algérie était de notoriété publique.

        Refaire l’histoire des Rapatriés, c’est aussi parler des valeureux harkis et supplétifs qui ont été torturés et massacrés eux aussi.

 Vous nous avez assimilés, tous,  à des colons qui ne représentaient en tout et pour tout que cinq pour cent de notre communauté. Environ 2.000 familles, car les petits agriculteurs n’avaient rien de commun avec les colons que vous méprisez tant, alors qu’ils ont aidé à la création d’un Eden qui embarrasse leurs nouveaux propriétaires par leur manque de savoir-faire et leur méconnaissance totale de ce qu’est et reste ce noble métier d’agriculteur.

 

"Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l'œil de ton frère et n'aperçois-tu pas la poutre qui est dans le tien ?".(Saint Luc, VI-41) ...

 

Cette maxime vous est destinée à vous messieurs les politiciens (provisoirement) encore en service, non seulement à vous mais aussi et surtout à la presse complaisante attachée à vos bottes.

 

Regardez plutôt, ici chez nous en France Métropolitaine, autour de vous les non-colons métropolitains, mais les vrais spécialistes en  escroqueries financières, aguerris au fonctionnement et au  maniement des manettes de la haute finance, au lieu de vous acharner sur des gens méritoires qui n’ont pour principal défaut  que celui de vous déplaire ou qui s’opposent à la vista que vous vous faites de vos valeurs. Des gens qui s’opposent à votre politique en écoutant la France profonde, nos doléances, les besoins des travailleurs et le trop plein d’immigration sauvage

Il est temps maintenant que les pendules soient remises à l’heure, et que nous sortions de notre silence.

Je ne sais pas si Dieu vous pardonnera la courte vision que vous fournissent vos œillères, en tous cas : pas nous et vous savez ce que nous vous disons ? Non, vous ne le savez pas…mais relisez Cambronne lequel selon la légende, sommé de se rendre au général Colville à Waterloo, lui aurait répondu d’abord :

« La garde meurt mais ne se rend pas ! » Puis devant l'insistance du Britannique, il aurait eu une réponse aussi énergique que concise, aujourd'hui connue comme le « mot de Cambronne » : « Merde ! »

Lorsque nous sommes arrivés entre Avril et Juin 1962, notre vie venait de basculer en quelques jours dans l’indifférence totale et sous le regard éteint et indifférent de ceux qui nous avaient plongés dans ce ghetto dans lequel nous nous débattons encore.

 

A notre arrivée forcée, nous étions divisés en quatre catégories :

-Ceux nés avant 1910, pour la majorité hélas, disparus depuis longtemps, minés par le désespoir et la misère, là où jetés par un sort innommable, ils vécurent leurs dernières années. Leurs dossiers d’indemnisations étaient leur livre de chevet. (Tu n’es plus là, Papa, pour me le confirmer, mais je t’ai vu tant de fois pleurer, penché sur ces maudits papiers)

-Nous, leurs enfants, nés au début des années 30 et quasi octogénaires à cette heure et nos propres enfants, cinquantenaires maintenant pour la plupart, avec toujours nos dossiers comme livre de chevet ou sous le bras et aussi  sous ceux du Comité des Droits de l’Homme de l’ONU depuis 2004 où une plainte a été déposée par notre principal syndicat qui vous donne à tous des sueurs froides, j’ai nommé l’USDIFRA et son vaillant chef de file, pour spoliation, contre les deux états responsables de notre situation, lesquels sont nos débiteurs pour un montant de 12,1 milliards d’euros, hors tous intérêts de droit.

 

Non, on préfère balancer ces milliards pour des conflits qui ne sont pas les nôtres et dont en s’en bas les claouis. Prenons le cas de la Libye par exemple, prés de 200 millions d’euros à ce jour. Les bombardements journaliers et les frappes au sol continuent. Le bilan financier s'alourdit pour la France :

 

En voici quelques éléments ( WIKIPEDIA):

-Porte-avion Charles de Gaulle : 50 000 euros/heure

-Rafale : 13 000 euros/heure

-Mirage : 11 000 euros/heure

-Missile tomahawk : 650 000 euros/unité

-Missile scalp : 770 000 euros/unité

-Missile AASM : 250 000 euros/unité :

 

Le conflit Afghan, en plus de la déroute financière causée par notre intervention, nous payons cash avec les vies de nos enfants (prés de 70 de nos p’tits gars qu’on décore ensuite en grande pompe dans le cour de l’Elysée, non sans s’être enduit au préalable, les yeux, de jus d’oignon pour les rendre larmoyants. Si vous saviez ce qu’en pensent leurs parents en cet instant, vous en rougiriez de vos simagrées et de votre cinéma d’opérette.

 

Pourtant l’Algérie (Toujours selon wikipédia) est riche, et serait largement en mesure de payer les Rapatriés d’Algérie comme prévu aux sinistres accords d’Evian jugez-en vous-mêmes :

Ses principaux gisements sont parmi les plus importants dans le monde. Généralement ils sont localisés dans le Sud. Selon Sonatrach, les 67 % de réserves en hydrocarbures sont situés dans les régions de Oued Mya et de Hassi Messaoud. Gaz à Hassi R'mel et le pétrole à Hassi Messaoud (huile). Illizi contient 14 % des réserves. Enfin, Rhourde Nouss renferme 9 % et Ahnet Timimoun 4 % et Berkine41. Les sites exploités pour pomper l'huile ou pour rechercher les hydrocarbures, actuellement, en Algérie, sont : Hassi Messaoud, Ain Amenas, Hassi R’mel, Stah, Rourde Nouss, Tin Fouyé Tabankort, Gassi Touil, Ohanet, Haoud Berkaoui, Hassi Berkine, Ourhoud, Mensel Lejmet Nord et satellites, Rhourde Ouled Djemaa, Touat, El Gassi, Ain Salah, Rhourde El Baguel42.

Une quantité de gaz a été localisée dans les régions de Tabankort, de Béchar, de Timimoun et de Reggane en 200943.

 

L'activité minière en Algérie est très diversifiée, on observe plus d'une trentaine de minerais qui sont exploités parmi eux :  fer, sel, zinc, plomb, baryte, marbre, or, tungstène, diamant, terres rares, métaux rares et pierres précieuses et semi-précieuses. Le fer se trouve à Ghare Djébilet et à Mecheri Abdlaziz à l'Est de Tindouf (35 milliards de tonnes à 57 % de Fe), Ouenza et Boukhadra, Djsbel Hanini à Sétif. Au Hoggar, il y a 730 000 tonnes de minerai d'or au gisement Tirek, Amessmessa en contient 3,34 millions de tonnes, les deux à teneur moyenne de 18 g/t, soit environ 2,4 millions d'onces d'or. Enfin, deux autres gisements sont à Tiririne et à In Abgui. La baryte représente 40 000 tonnes ; le plomb-zinc est exploité au nord du pays et le potentiel est de 150 millions de tonnes. La bentonite se situe dans les régions de l'Ouest à Maghnia et Mostaganem. L'Algérie a une grande quantité de sel soit en gemme (un milliard de tonnes) ou lagunaire dans les chotts et à l’est. Le gisement de phosphate se trouve à Tebessa (Djabel Onk), il renferme deux millions de tonnes. l'uranium est localisé au Hoggar44.

 

Le pays recèle plusieurs gisements aussi notamment de gypse, de calcaire, de sable, d’argile, de dolomie, des carrières d’agrégats, des gîtes pour la fabrication de ciments.

 

Alors, c’est maintenant…où jamais qu’il nous faut nous réveiller et nous acérer les griffes et les dents. Les seuls instants où nous devenons subitement importants est celui des échéances électorales.

Alors là, nous sommes les plus beaux, les meilleurs et la brosse à reluire est de sortie.

Vous rendez-vous compte, 2 Millions au moins de bulletins de vote de notre part, ç’ est quelque chose, non ? Surtout lorsque 44,5 millions d’électeurs inscrits doivent se déterminer sur l’un des deux rescapés du premier tour.

Bien sur, il faut compter sur les abstentions (pas loin de 20%), mais pas chez nous, car ce jour-là, nous répondrons tous « PRESENTS » !

Nous avions cru en vos paroles, Monsieur Sarkosy. Vous nous avez profondément déçus et nous zappons votre image que l’on voit trop souvent sur nos antennes à des endroits où vous n’avez rien à faire et nous jurons devant Dieu, de ne pas commettre cette même faute,…sauf si…… !

Nous y avons été pour beaucoup dans votre victoire,   car nous avions été séduits par les promesses de vos hérauts et leurs déclarations solennelles. Nous les avons encore cru, car nous ne demandions qu’à croire encore cette fois, en ces  promesses fallacieuses de concrétisation dont tous autant que vous êtes, nous abreuvez depuis plus de 45 ans quand vous attendez de nous en retour un vote massif en votre faveur.

Du coup nous devenons à chaque élection (Présidentielle, législative ou municipale) un objectif  de choix. Sans pression de personne, nous saurons en 2012, pour la présidentielle, où le glisser, cette fois, notre bulletin de vote.

Monsieur Sarkozy, vous allez probablement regretter d’avoir induit en erreur une catégorie de « vrais Français » qui avaient foi  en vous.

Vous allez regretter votre attitude et celle de vos sbires de vous acharner comme vous le faites journellement encore, envers notre communauté de Repliés d’Algérie (dont les CNAIR, Banques, organismes de recouvrement et Huissiers de pacotille), en font leurs choux gras.

Vous avez  face à vous des gens fiers d’être Français, très fiers d’avoir conservé intacte cette fibre patriotique qui a fait de nous par vos attitudes, vos fausses promesses et votre art consommé de la langue de bois, une infrastructure en béton, répondant en tous points aux normes parasismiques et para cycloniques.

Nous allons œuvrer pour ce que nous croyons être le bien de la France, son avenir et surtout celui de ses (de nos) enfants. Pour combien de temps encore, conserverons nous cette foi ?

Seul Dieu le sait et je pense du fond de mon cœur de chrétien pratiquant, qu’il nous le fera savoir en temps voulu.

 

Il ne suffit pas d’être le premier, il faut encore être le meilleur. Victor Hugo

 

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 LE HERISSON

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8 mars 2011

LA VAGUE BLEU MARINE

L’Association « Mémoire de l’Armée d’Afrique » communique :

 

 

            La campagne électorale des cantonales sur LUNEL semblant se focaliser essentiellement sur les candidats UMP et PS, nous informons les électeurs Lunellois que notre association, en collaboration avec le Cercle National des Combattants, a décidé de soutenir énergiquement et à l’unanimité, Joseph CASTANO, représentant le Front National.

            Notre camarade, n’est pas un inconnu. Natif d’Algérie, écrivain-conférencier, membre de la Société des Gens de Lettres de France et de l’Académie des Sciences d’Outre-Mer, cet ancien athlète de haut niveau, international militaire d’athlétisme, âgé de 64 ans, professeur d’Education Physique, œuvre depuis 1980 au rétablissement de la vérité historique sur la guerre d’Algérie et n’a de cesse de réclamer que justice soit rendue à un peuple trahi et une armée bafouée.

            Proche des préoccupations des Lunellois, il partage leur inquiétude et leur frustration au regard d’une communauté maghrébine qui ne cesse de croître, alimentant chez eux un sentiment de frustration et de pénalisation dans la gamme des prestations attribuées à cette dernière et dans l’attribution des logements sociaux. Dans le département, il s’associe à la crainte des parents face à l’insécurité croissante qui gangrène les établissements scolaires et se prononce pour la cessation des subventions aux associations communautaristes ou politisées. Il dénonce le gaspillage des finances publiques et veut en rétablir la morale. Enfin, il est favorable à la baisse des impôts départementaux, des services publics de proximité et à l’amélioration du réseau routier départemental.

            Porté par la vague bleu marine, Officier dans le cadre de réserve, Joseph CASTANO, se qualifie comme étant le candidat de la résistance à la régression sociale, à celle de l’immigration massive et incontrôlée, à celle des bandes des cités et à la dictature des marchés financiers. Sa suppléante est Reine Dimeglio, résidant à Lunel.

 

            Colonel Christian CIFUENTES, président de l’association « Mémoire de l’Armée d’Afrique » - e-mail : armeeafrique@orange.fr

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Retour FAITS DIVERS.

 

 

16 mars 2011

26 MARS 2011 PARIS

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Cérémonie de recueillement au Mémorial National de la guerre d’Algérie quai Branly  

(Face au N° 65)   

 Paris 7eme (Métro tour Eiffel)

À 14 H 30 le 26 MARS 2011

Seront associés à cet hommage les disparus, les Harkis, les victimes d’attentats, d’exactions, dont les premiers noms de cette longue liste sont désormais inscrits sur le Monument, rejoignant ainsi nos Morts de la rue d’Isly

A 14H50, heure précise de la fusillade, les drapeaux s’inclineront et la sonnerie aux Morts retentira pour tous les nôtres tombés en Algérie Merci de vous munir d’une fleur bleue,blanche ou rouge et de venir nombreux à ce Rendez-vous de la fidélité

A 18H30

En Mémoire des victimes du 26 mars 1962, du 5 juillet 1962 à Oran, des disparus, des harkis et pour tous ceux tombés pour la présence française en Algérie.

Une Messe de Requiem sera célébrée

en l’Eglise Saint Nicolas du Chardonnet

23 rue des Bernardins (métro Maubert-Mutualité)

 

Association des familles des victimes du 26 mars 1962 et de leurs Alliés

BP 20O27 - 95321 St Leu La Foret Cedex-

tel : 01 45 74 09 91

 

 

SITE DE L'ASSOCIATION - / - RAPPEL 26 mars 1962 rue d'Isly à Alger

 

 

Retour aux commémorations du 26 mars.

 

 

 

 

 

9 août 2011

ACCORDS D'EVIAN

POUR LES BASES MILITAIRES ET D’ESSAIS. SUITES DU 5 JUILLET 1962.

 

Articles essentiel  pour de Gaulle prévus par "La déclaration d'Evian " signée par la délégation française et Krim-Belkacem le seul représentant du FLN.

Texte dénié par l'Etat-major de l'ALN extérieur basé à Oujda qui va ravir le pouvoir au GPRA après le 5 Juillet. Ces clauses seront néanmoins scrupuleusement appliquées (alors que d'autres !!) Sur la base de quel  échange ? (non intervention de l'armée française !)

 

Article 1

- L'Algérie concède à bail à la France l'utilisation de la base aéronavale de Mers-el-Kébir pour une période de quinze ans à compter de l'autodétermination. Ce bail est renouvelable par accord entre les deux pays. Le caractère algérien du territoire sur lequel est édifiée la base de Mers-el-Kébir est reconnu par la France.

 

Article 2

- La base de Mers-el-Kébir est délimitée conformément à la carte annexée à la présente Déclaration. Sur le pourtour de la base, l'Algérie s'engage à accorder à la France en des points précisés sur la carte annexée et situés dans les communes d'El Ançor, Bou Tlélis et Misserghin ainsi que dans les îles Habibas et Plane, les installations et facilités nécessaires au fonctionnement de la base.

 

Article 3

- L'aérodrome de Lartigue et l'établissement de l'Arbal délimités par le périmètre figurant sur la carte annexée à la présente Déclaration, seront considérés pendant une durée de trois ans comme faisant partie de la base de Mers-el-Kébir et seront soumis au même régime. Après la mise en service de l'aérodrome de Bou-Sfer, l'aérodrome de Lartigue pourra être utilisé comme terrain de dégagement, lorsque les circonstances atmosphériques l'exigeront. La construction de l'aérodrome de Bou-Sfer s'effectuera en une durée de trois années.

 

Article 4

- La France utilisera pour une durée de cinq ans les sites comprenant les installations d'ln Ekker, Reggane et de l'ensemble de Colomb-Béchar-Hamaguir, dont le périmètre est délimité dans le plan annexé, ainsi que les stations techniques de localisation correspondantes. Les mesures temporaires que comporte le fonctionnement des installations à l'extérieur de celles-ci, notamment en matière de circulation terrestre et aérienne, seront prises par les services français en accord avec les autorités algériennes.

 

Article 5

- Des facilités de liaison aérienne seront mises à la disposition de la France dans les conditions suivantes :

- pendant cinq ans sur les aérodromes de Colomb-Béchar, Reggane, In Amguel. Ces terrains seront ensuite transformés en terrains civils sur lesquels la France conservera des facilités techniques et le droit d'escale

- pendant cinq ans sur les aérodromes des ’’Bases B’’ (dans le texte officiel d'Evian référence inconnue !) 

 

Pour mémoire

Nous avions écrit  il y à quelques années au sujet de la prise du pouvoir en Algérie" Non les carottes n'étaient pas cuites" pour l'ALN extérieure et l'Oranie était plus près qu'Alger ! Avec ses willayas 3et 4 regonflées hostiles à Boumediene (3 mois et des combats pour entrer à Alger) Donc 1er étape prise du pouvoir à Oran avec prétexte rétablir l'ordre; ALN pas prévue par Evian donc nécessité non intervention des  troupes Françaises. En contrepartie possible l'accord pour les bases d’essais militaires  et pas d'enclave Européenne autour d'Oran-Mers-El-Kébir, cette éventualité était inexistante à Alger (évoquée il est vrai par l'OAS  Oranie) était crainte par l'état-major ALN d'Oujda. Oran avec les environs était la région la plus "européenne d'Algérie" évidemment la question reste posée ? Mais les effets furent bien ceux-là!   Maintenant il est difficile de refaire l'histoire mais c'est un autre débat !

J-F PAYA

 

Additif/ Mars 2011

Selon des informations nouvelles /Origines Ex secrétaires militaires à l’Etat-major ALN d’Oujda en 1962; craintes non fondées mais latentes dans ce milieu très "marocanisé" d’une possibilité "d’Enclave Européenne" de facto autour de la ville d’Oran à l’instar des cités de Ceuta et Melilla restées Espagnoles depuis 1494 eu égard à leur forte population d’origine ibérique. D’autant que la France conservait la base de Mers-El-Kébir si les "accords" étaient respectés par les "putschistes d'Oujda" et surtout les bases d'Essais Atomiques du Sud.

J-F PAYA

 

DOCUMENT CORROBORANT NOTRE ENQUETE

 

Article ’’Le Soir D’ALGERIE’’


COMMÉMORATION DU CINQUANTENAIRE DE L’EMG Le pouvoir, les troupes et la légalité révolutionnaire

 

L’état-major général (EMG) a voté contre les accords d’Evian. C’est loin, certes, d’être une révélation mais il importe toujours que des acteurs de la Révolution en fassent le rappel. Parmi ceux-là, le commandant Azzedine qui reste l’un des rares à tordre le cou aux usurpations historiques.


Sofiane Aït-Iflis - Alger (Le Soir) - On ne reparle pas de la création de l’état-major général comme d’une épopée au-dessus des critiques. Cela se vérifie à chaque fois que la mémoire est sollicitée pour témoigner de cet épisode de la guerre de Libération nationale. Cela a été précisément le cas, hier, au forum d’ El Moudjahid qui a abrité une commémoration du cinquantenaire de la création de l’EMG et où le commandant Azzedine a relaté la vérité historique telle que vécue. Non seulement cela mais aussi la vérité historique dans ses prolongements futurs, ses implications post-indépendance. Il en ressort, en définitive, que l’état-major général, dirigé à l’époque par Houari Boumediene, s’est inscrit, dès sa mise sur pied, dans la logique de la prise de pouvoir. Aussi ce dernier s’était-il attelé à gripper la machine du Gouvernement provisoire de la république algérienne (GPRA) et à sectionner les cordons de cohésion du Conseil national de la révolution algérienne (CNRA). En fait, plus prosaïquement, l’état-major général, dès sa création, activait à couper l’herbe sous le pied des structures intérieures de la Révolution, c’est-à-dire les wilayas de l’intérieur, et ce, dans la perspective de mettre main basse sur le pouvoir une fois l’indépendance acquise. Et cette logique du pouvoir a indiqué à l’EMG de se mettre en porte-à-faux avec le GPRA qui, lui, était favorable à la négociation — des accords d’Evian — pour l’indépendance nationale. Il vota contre ces accords, témoigne le commandant Azzedine. Cependant, il fera contre mauvaise fortune bon cœur, en ce sens qu’il ne tenta point de saborder le processus. Le commandant Azzedine dut démissionner, en 1960, de l’EMG en pleine réunion du CNRA. Lui, légaliste, s’opposait au congrès de Tripoli. Un congrès qui n’avait pas lieu d’être, encore moins de se tenir à l’étranger, d’autant que les textes du CNRA, de la Révolution, donc, attestaient qu’après le congrès de la Soummam en 1956, le prochain congrès devait se tenir, après l’indépendance sur le sol de l’Algérie libérée. «J’ai retiré mes billes du jeu, car j’étais légaliste», a témoigné le commandant Azzedine qui, au passage, a expliqué que la crise entre l’EMG et le GPRA est véritablement née à Tunis pour éclater avec fracas à Tripoli. C’est à Tripoli que l’EMG et ses partisans détruisirent le CNRA et égorgèrent le GPRA. L’EMG, fort de l’armée des frontières qu’il a structurée et des appuis internationaux qu’il s’est assuré, a organisé et réussi la prise de pouvoir. Même la réunion des Wilayas II, III, IV, la Zone autonome d’Alger et les Fédérations de Tunisie, Maroc et France du 25 juin 1962 à Zemmoura n’y a rien pu contre l’EMG. L’initiative fut inopérante devant le forcing de l’EMG. Le journaliste Mohamed Abbas qui pioche de ce côté-ci de l’histoire, a attesté lui que «l’Algérie n’est toujours pas sortie de l’ère EMG», ceci même s’il encense quelque peu feu Houari Boumediene à qui il reconnaît l’intelligence d’avoir assis son action politique sur des programmes. Mohamed Abbas a considéré aussi que les années 1980 ont accouché de l’anti-EMG, en ce sens, dit-il, qu’il y eut remise en cause des projections de l’EMG, version Boumediene. Mais visiblement, ce n’était qu’un interlude, puisque Abbas soutient que le pays est toujours sous l’ère de l’EMG. Plus clairement, il s’est opéré une réappropriation du pouvoir par les l’EMG, dans sa conception originelle, sinon par sa déclinaison présente, en l’occurrence l’armée.
S. A. I.

http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2010/01/21/article.php?sid=94570&cid=2

 

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PAR JEAN FRANCOIS PAYA   cercle Algérianiste du Poitou

RETOUR JEAN FRANCOIS PAYA ORAN 5 JUILLET 1962

 

 

29 mars 2011

JEAN PAUL ROBERT

Triste nouvelle pour la grande famille des oranais, des pieds noirs !

Ce matin, Jean-Paul ROBERT est décédé.

         Il se battait depuis 1 an et demi contre une sale maladie avec la même farouche énergie qu'il avait mise à Oran (rue Herzog à Miramar), à Grenoble puis à St Cyprien (66) pour défendre notre cause, notre Algérie Française. 

         Il a été un homme d'exception, un homme d'honneur, capable d'aller jusqu'au bout de ses idées. Sa famille a toujours été très importante pour lui et ses petits enfants garderont l'image d'un papy exceptionnel.

          Soyons près d'eux, au moins par la pensée, Vendredi 1er avril à 10h30 à l'église de St Cyprien-Village.

Qu'il repose enfin en paix et qu'il rejoigne ceux qui comme lui se sont battus pour que vive notre Algérie Française !

Au revoir Jean-Paul !

 

 

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 Jean-Paul août 2010

C'était mon cousin.

Françoise CIRERA NAL

 

 

 

         Mon ami et camarade de combat Jean Paul Robert s'est éteint ce matin à six heures. Jean Paul, Rocky pour les intimes membre du commando Franck à Oran, était un des plus farouches défenseurs de notre cause. Réservons lui nos prières.
René
.

 

         Tu as vécu ta maladie avec un courage admirable. C'est un réconfort de penser que dans ton sommeil tu vas désormais connaître le repos. Nous savons tous qu'un jour la vie se terminera pour chacun d'entre nous, alors c'est pourquoi je ne te dis pas ADIEU, mais AU REVOIR.

Je ne t'oublierai pas, toi mon voisin de la rue Herzog d'Oran.

 

A JEAN-PAUL ROBERT DIT ROCKY
 
C'est un homme d'honneur, de courage et de bravoure
Qui vient de nous quitter, victime d'un mal incurable,
Qui lui a fait entamer le compte à rebours
Et l'a conduit vers une sortie inexorable.

Il faisait partie de ces très jeunes résistants
Qui se sont bravement battus, au péril de leur vie,
Contre ces abominables suppôts de Satan
Qui ont bradé notre belle province, notre Algérie.

Après l'exode, il sera un fervent militant
Pour défendre l'honneur de notre communauté.
Fidèle à ses convictions et à ses engagements,
Il mettra tout son cœur pour qu'éclate la vérité.

Jean-Paul Robert, ton nom restera bien gravé
Dans notre cœur et notre mémoire, toi vaillant guerrier
Qui, là-bas et ici, tu t'es tant sacrifié
Pour soutenir notre cause avec ténacité.

Que le Seigneur t'accueille en son royaume,
Et te donne la place de choix que tu mérites.
Repose en paix, très cher compatriote.

Jean-Paul Samson

SAINT CYPRIEN 2007

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18 décembre 2011

CANASTEL

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         L’origine du nom de Canastel  près d’Oran, vient de sa proximité avec le  village de Kristel duquel il n’est éloigné que d’une dizaine de kilomètres. Avec le temps est parvenu jusqu’à nous les deux noms: le vrai et sa déformation. Le même nom a été aussi donné à une pointe de terre, nommée  Ahmeur Dekenah (pente rouge) ou Cabo Rojo (cap Rouge ou cap Roux), d’autres disaient Cabo rousso.  Si bien que l’on trouve dans le prolongement en venant d’Oran, la pointe de Canastel, Kristel, la pointe de l’aiguille, le Cap Ferrat, le cap-Carbon puis près du fort de la pointe, le village d’Arzew qui ferme la boucle à l’Est de cette presqu’île, annonçant les fameuses plages de Damesme, Saint Leu et  Port aux Poules. Canastel, un nom évocateur qui sentait bon le jasmin et les effluves iodés de l’air marin vit le jour sur un bras de terre qu’enserre la mer où des constructions à l’architecture chatoyante furent édifiées par des colons français, espagnols, et italiens qui voulaient se ménager un lieu de repos loin d’Oran, de son tumulte et son vacarme.

        Un groupe d’entrepreneurs décida un jour de bâtir un lotissement au bord des falaises de Canastel, situé, on le sait, sur la côte, à l’est d’Oran, à côté du fort du même nom. Les terrains à concéder se trouvaient sur un plateau dominant des falaises à pic à une altitude de 200 mètres. Il a été créé au cours de l’année 1930, écrit Eugène Cruck en 1939, par trois de nos concitoyens, MM Rico, Dordé et Soler qui n’hésitèrent pas à immobiliser une petite fortune, là où il n’y avait qu’un plateau couvert de broussailles, et de genêts odorants. 

        Avec une superficie de trente hectares, les bâtisseurs n’ont pas hésité à prévoir un tiers de la surface  soit dix hectares de voies de communication. Les boulevards avaient une largeur prévue de seize mètres et les rues une largeur de douze mètres et devaient être entièrement empierrée. L’alimentation en eau avait été prévue au début des travaux. Ce précieux liquide, choisi parmi les sources les plus saines et les plus appréciées de la région avait été amené sous pression depuis la ferme Chambaret située à trois kilomètre de là.

        Les communications avec Oran étaient assurées par une route goudronnée de 6 kilomètres. Le climat de Canastel méritait une mention particulière: sec l’hiver, frais l’été, il devait son caractère favorable à l’altitude des falaises qui en bannissait toute humidité. Le brouillard, aussi bien que le siroco, y était inconnu. 

        A Canastel, les bouquets de pins parasols existant rajoutés aux nouvelles plantations, assuraient un paradis de fraîcheur pendant les températures caniculaires de l’été. Très rapidement apparaissent dans ce lieu huppé, pour les riches et les nantis, de luxueuses constructions comme Le “Grand hôtel” de 30 chambres dont une façade s’élève à pic à 200 mètres au-dessus de la mer, inauguré en 1925. Il possédait une vaste terrasse d’où l’on pouvait admirer la baie d’Oran.  La magnifique vue que l’on avait du haut de son promontoire, et sa proximité de la ville faisait que ce lieu de rêve était très fréquenté par la haute société oranaise, et les notables de passage. La station « Climatérique» recevait les «Hiverneurs» de France et de l’Est algérien.   A côté du Casino des Falaises se trouvaient le tennis, les restaurants “la Guinguette”, “Bagatelle” et quelques villas. Le Casino était un endroit réputé......pouvaient-on lire sur  les guides  Thiolet de 1937. 

        Un excellent restaurant, de style mauresque, était devenu le rendez-vous des promeneurs et des gourmets. A ce restaurant fut adjoint un hôtel moderne de la Société Rico-Dorde-Soler avec tout le confort contemporain, téléphone et installations dernier cri. La proximité de la montagne des Lions et des escarpements de Kristel permettait l'organisation d’excursions aussi intéressantes que faciles et  sans danger. 

        Les falaises proches étaient d’un excellent attrait pour la communauté Oranaise avide de calme et de tranquillité. Un chemin sécurisé assurait l’accès aux plus petites calanques. Les entrepreneurs de ce lotissement avaient mis à la disposition du public un beau tennis au sol en ciment élastique, des portiques de gymnastique, des balançoires et tous les agrès indispensable à la jeunesse Oranaise. Un garage pouvant contenir cinquante voitures avait été construit et un distributeur automatique d’essence avait été installé sur la place. L’approvisionnement en produits frais était assuré, notamment en pain à raison de deux fournées quotidiennes.    Les nouvelles constructions y étaient d’autant plus aisées que la pierre et le sable se trouvaient en abondance sur place, l’usine d’Arcole, toute proche, fournissant la chaux et le ciment.

        En 1942, avec le débarquement des armées alliées à Oran, les Américains subjugués par la beauté du site s’y installèrent. Ces derniers, arrivés par voie maritime, débarquèrent au lieu-dit La Farge sur lequel ils construisirent une usine qui allait fournir du ciment à tous les chantiers de la région durant de longues années. 

        Canastel était très prisé par les adeptes de la chasse et de la pêche. Le gibier constitué de sangliers, de lièvres et de bécasses faisait affluer les amateurs de chasse. On raconte que les parties organisées duraient parfois plus d’une semaine et pouvaient mobiliser tous les habitants de la localité. 

        Le panorama, qu’on découvrait du bord de la falaise, était splendide et les couchers de soleil y revêtaient un caractère d’une beauté inoubliable. Les pêcheurs à la ligne des quartiers de Gambetta, de Saint -Eugène et des quartiers populaires préféraient les rochers à demi immergés qui longeaient la côte oranaise au pied des falaises de Canastel et plus près de la Cueva del Agua (la cova lagua), pour la variété de leurs poissons. Encore que, la déverse des égouts de la ville attirait une variété particulière de poissons; les mulets. Les plus débrouillards pêchaient au loin en barques «faites-maison» : les Botes à ventre arrondi ou les Pasteras à fond plat.

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Canastel vue sur la mer

 

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Papier à entête du comité

 

Comité d'Erection du Sanctuaire de Canastel

 

Oratoire Sainte-Thérèse

 

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1962 Doc Danièle Lopez

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Retour Villes et Villages d'Oranie.

18 septembre 2011

LE HERISSON

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Comme un homme politique ne croit jamais ce qu'il dit, il est étonné quand il est cru sur parole.Charles de Gaulle

          Lors des journées du 5° SALON du SAVOIR-FAIRE PIED-NOIR organisé entre 26 et 28 Aout dernier, Monsieur Gabriel Mène, président de l’USDIFRA, avait pris l’initiative d’inviter à cette manifestation l’ensemble des présidentiables à l’Élection présidentielle de 2012, ou leurs représentants. Seul le Front National a répondu présent.

          Ce 5° salon USDIFRA, était pourtant l’occasion de faire le point pour savoir qui était qui et ce qu’il pouvait valoir en regard d’une communauté franchouillarde de la tête à leurs pieds…noirs, laissée pour compte depuis ½ siècle bientôt.

          Pourquoi ? Simplement parce que seule Madame Marine Le Pen (de l’ensemble du lobby politique sensé représenter la France, notre France) a eut l’élégance, la correction et la courtoisie de répondre par sa présence à l’invitation du Président Gabriel Mène

          Dans un plaidoyer  écouté dans un silence de cathédrale par les présents, silence interrompu souvent par des applaudissements mérités, le président de l’USDIFRA  a souhaité la bienvenue à nos hôtes de prestige et a ouvert les débats  non sans rappeler l’urgence du besoin d’unité de notre communauté.

          Il a invité tous les repliés de départements Français que nous ( Pieds-noirs) sommes devenus par la volonté d’un vieux Tartarin, à la réflexion (au terme de 50 années d’exil sur le non-respect des engagements pris et confirmés dans le négationnisme par ses successeurs),lesquels clairement poussent les Pieds-Noirs au travers du discours du président de l’USDIFRA à penser à une alternative sérieuse pour 2012.

          Monsieur Mène a insisté une nouvelle fois pour que les engagements soient tenus, avant de laisser la parole à notre « Marine Nationale », j’ai failli écrire « Notre Marianne nationale retrouvée »  sous les applaudissements nourris de l’assistance.

          Cette grande dame contrairement à ce que prétend cette lavette de Laurent Ruquier (France 2, dans « On n’est pas couchés), ne se tourne pas vers des cons quand elles a parle, mais vers des vrais Français lesquels n’émargeront jamais à  40.000 € par mois, comme lui .C’est lui qui fait rire les cons qui l’écoutent complaisamment.

          Elle a réalisé une prestation de haut niveau, en annonçant les mesures qu’elle comptait prendre si elle était élue et  n’a pas manqué au passage de tirer les oreilles des politiques de toutes tendances, qui s’engraissaient et vivent comme des nababs aux dépens dela France. Ellen’a pas manqué de souligner que 50 ans après, pieds-noirs et harkis étaient toujours victimes de promesses largement oubliées depuis. Mais elle a rappelé aussi, messieurs les journalistes habitués aux rubriques « des chiens écrasés », que les pieds-noirs et les harkis pouvaient compter sur elle.

          Son compagnon dans la vie, Monsieur Louis Aliot, pied-gris de naissance par sa maman, née à Bab-El-Oued, avocat de talent s’il en est, au barreau de Perpignan, a lui aussi parlé avec conviction et netteté de son engagement en matière de mémoire (celle qui fait défaut à certains historiens soi-disant de renom mais surement atteints d’amnésie) et d’actions à mener pour nous faire entendre et que raison nous soit enfin rendue. La balle est encore dans leur camp pour plus très longtemps,  pour être précis : jusqu’aux 22 Avril et 6 Mai 2012.

          A mon modeste avis, la Damoiselle de Saint-Cloud  par son aisance, son  talent inné, sa conviction, son à propos des termes employés, alliés à son élégance et à sa plastique, sont des atouts derrière lesquels peuvent courir tous les autres  candidats présidentiables (Masculins et féminins), avec leurs têtes de constipés (d’où leurs luttes…intestines, ceci expliquant cela).

          À la fin de son intervention et après un tonnerre d’applaudissements, le « Pied-noir » d’or leur  a été remis à Marine ainsi qu’à Louis Aliot, A noter que Maître Gilbert Collard, qui nous a honoré de sa présence appréciée a été appelé sur l’estrade et applaudi, lui aussi, par l’assistance entière. Monsieur Mène lui a remis la médaille officielle du salon.

          Le Président de USDIFRA a ensuite remercié chaleureusement (aidé en cela par la nombreuse assistance présente)  Marine Le Pen, Louis Aliot, de suivre cette ligne séduisante qu’elle a développé,  pour l’espoir qu’ils représentent non seulement et naturellement aux yeux des laissés pour compte  que nous sommes depuis les Accords d’Evian, mais aussi à ceux des Français qui souffrent du chômage, qui plient sous le poids des impôts, sur l’abaissement prémédité des futures retraites, du sectarisme pratiqué à leur égard et par contre du favoritisme dont jouissent ceux des fuyards des pays arabes qui se massent à nos frontières qu’ils pourraient bien franchir sous peu. Notons au passage que les deux supports journalistiques du Languedoc-Roussillon : Le Midi Libre et L’indépendant, en parlant du 5° salon du SFPN organisé  par USDIFRA (Union Syndicale de Défense des Intérêts des français d’AFN), avaient écrit dans leur édition du 28 Aout 2011, je cite : « Les pieds-noirs flattés par le FN». 

          Messieurs les « Journalistes  », sachez que les Pieds-noirs n’ont pas besoin  de flatteries ni de brosse à reluire, ni de ragoteurs de votre acabit,  mais seulement du respect des engagements pris parla France, leur propre pays (ne vous en déplaisent), le 19 Mars 1962 à Evian et… de journalistes honnêtes, indépendants  et fiers de faire ce beau métier.

          Il est grand temps que quelqu’un se décide, enfin, à donner un grand coup de pied dans cette fourmilière .

          Que constatons-nous en effet et qu’apprenons-nous depuis quelques jours à travers bon nombre d’émissions politiques et grâce à des déclarations un peu tardives hélas?

          Simplement que les loups camouflés  sous la houppelande des bergers ,toutes tendances confondues,  qui nous  gouvernent toujours, se font remettre des mallettes, bourrées d’euros ou de dollars (au noir, si j’osais) puisqu’elles proviennent d’Afrique soit disant pour alimenter les campagnes électorales. Ne serait-ce pas plutôt de maisons de campagne qu’il faudrait sous-entendre ?.. Bref !

          Depuis des décennies, nous avons été et sommes encore, dirigés par des profiteurs des largesses de la République, de leurs positions privilégiées, aidés en cela par des conseillers financiers qui ne s’oublient pas au passage.

         En suivant, abordons un sujet qui gêne aux entournures. Ceux, visés se reconnaîtront  : les profiteurs de renom et connus dela Franceentière.

          Notre organigramme politique, se compose de  577 députés, 343 sénateurs (il y en a seulement 100 pour tous les Etats-Unis), 30 ministres et secrétaires d’état.

          J’ai lu quelque part (car je fouille Google et wikipédia avec à propos et sans oublier de citer mes sources) que si l’on leur baissait leur salaire mensuel de seulement 1 000 €, (et ils auraient encore de quoi bien vivre) on ferait 950 000 € d'économie chaque mois, soit : 950 000 € X 12 = 11 400 000 € par an.

          Et si on leur supprimait quelques voitures de fonction, chauffeurs, cuisiniers (surtout aux sénateurs qui aiment bien manger, en plus ce sera bon pour leur santé, ils sont trop gras), etc. les économies seraient encore plus substantielles.

          Imaginez que l’on se contente somme aux USA de seulement 100 sénateurs en France, quelles économies on ferait, 243 salaires de sénateurs avec tout le train de vie qui va avec, ce serait Byzance.

          Bref, en installant un ou deux économistes de talent (1 ministre et 1 secrétaire d’étât) et non pas des toutous soumis à leurs pépères ou à leurs mémères, mais seulement à la raison, je vous fais juges des économies que pourraient faire réaliser à la France, ces experts impartiaux. (de 11 à 15 millions d'euros par an supplémentaires.

          Les solutions existent et sont simples, il suffit de réfléchir. Mais moi, petit mammifère sans importance, j’ai un avantage sur les crânes d’œuf de Bercy, grassement payés, je ne sors pas d’X ou mieux encore de l’ENA, Ecole Nationale des Anes que je supprimerais, faisant là aussi de grosses économies.

          En supprimant les énarques, on supprimerait toutes leurs « énarqueries » qui sont budgétivores. Il ne suffit que de regarder autour de soi pour constater les dégâts causés par cette caste laquelle au delà de leur famille politique respective, se tutoient  et s’entendent comme larrons en foire.

          Regardez comme ils sont nombreux tant au gouvernement que parmi les candidats à la présidentielle et à d’autres élections, tous des énarques.

          Il faut en finir aussi avec ces subventions dela CAFaux circoncissions des enfants musulmans,  aux associations islamistes, aux casernes désaffectées  transformées en mosquées, Pouvez-vous imaginer que dernièrement j’ai pu lire que les Français seraient bientôt autorisés à pouvoir faire du tourisme à Marseille.

          Notre France, celle de nos héros historiques, est devenue un pays de pleutres et de lâches, vivement que des Jean Moulins se réveillent et foutent ces déchets qui refusent de s’intégrer, à la mer tout comme voulait le faire avec Gaston Deferre. Allez, suffit pour aujourd’hui, mais je reviendrai à la charge, je ne renonce pas facilement.

LE HÉRISSON  VOUS  SALUE BIEN

TOUJOURS A VOTRE SERVICE

 LE HERISSON

 

De tout cœur avec La France et tous ceux qui chantent « La Marseillaise » Liberté, égalité, fraternité ! Paroles vaines, funestes même, depuis qu'elles sont devenues politiques; car la politique en a fait trois mensonges. Louis Veuillot

 Retour coups de cœur.

 

 

 





15 octobre 2011

LA VERITE SUR LE 17 OCTOBRE 1961

Rappel AVMAJ octobre 2012

hoax

POUR METTRE FIN A LA PROPAGANDE DU PARTI COMMUNISTE ET DU PARTI FLN DE FRANCE

L'histoire vraie sur les évènements du 17 octobre 1961 que les partis de gauche persistent à déformer et que les gaullistes de l'UMP, cautionnent, encore en 2011, alors que le chef d'Etat, De Gaulle, était seul à pouvoir donner des ordres à la police de France et à son préfet de police à Paris, Maurice Papon. 

La bataille de Paris du 17 octobre 1961

Par Maurice Faivre Historien de la guerre d’Algérie, vice-président de la Commission française d’histoire militaire

          Sous le titre : le massacre du 17 octobre 1961, un article de l’encyclopédie en ligne Wikipédia fait le point de cette bataille qui a opposé 25.000 manifestants « algériens », fermement encadrés par le FLN, à 1.658 policiers et gendarmes engagés par le préfet Maurice Papon. Cet article affirme que 32 à 325 manifestants ont été tués, des dizaines jetés à la Seine, en particulier au pont St Michel, 11.700 interpellés et tabassés, dont un certain nombre dans la cour de la Préfecture de Police.

          L’auteur se réfère essentiellement aux ouvrages de Jean-Luc Einaudi (la bataille de Paris, le Seuil, 1999), de Jean-Paul Brunet (Police contre FLN, Flammarion, 1999), de Raymond Muelle (7 ans de guerre en France, Grancher, 2001) et à l’article de Paul Thibaud dans l’Express du 11 octobre 2001. Quatre autres auteurs sont cités (Sylvie Thénault, Jim House et Neil Macmaster, Linda Amiri et Benjamin Stora) et 6 réalisateurs de films. D’emblée, on notera que le chiffre de 32 tués est celui de Brunet, et 325 celui d’Einaudi.

Il apparaît ainsi que des sources importantes sont ignorées :

- un 2° livre de JL Einaudi : Octobre 1961, un massacre à Paris, Fayard, 2001,

- un 2° livre de JP Brunet : Charonne, lumières sur une tragédie, Flammarion, 2003,

- un article du colonel Raymond Montaner : la manifestation du FLN à Paris le 17 octobre 1961, dans la revue Guerres mondiales et conflits contemporains de 2002,

- le livre de Rémy Valat : Les calots bleus et la bataille de Paris, Michalon, 2007.

- les articles de Catherine Segurane: le 17 octobre 1961 : Essai de dénombrement des morts, et La propagande à l’œuvre, dans Agoravox d’octobre 2010.

          Professeur émérite d’Histoire à l’Université de Paris IV, JP Brunet est connu comme un auteur rigoureux. Il est le seul à avoir exploité toutes les archives, en particulier de la PJ, et à en avoir fait une critique historique, ce qui n’est pas le cas d’Einaudi, ni de Paul Thibaud, ni de Sylvie Thénault. Pris à parti de façon polémique par JL Einaudi, JP Brunet a consacré deux chapitres de son 2ème livre à la manifestation du 17 octobre. Il souligne à nouveau les violences inadmissibles (1)  des policiers, confirme les vengeances exercées par des policiers « activistes », mais estime que sur 75 morts conduits à l’Institut médico-légal (IML), la majorité est imputable au FLN.

          Examinant cas par cas la liste des 325 noms, il confirme son évaluation de 32 tués : 14 certains (2)  8 vraisemblables, 4 probables et 6 possibles. Il avait précisé dans l’Histoire d’octobre 2001 : 30 morts en comptant large. Dans son Histoire de la guerre d’Algérie (1992), Benjamin Stora corrige son évaluation de centaines de victimes, et ne parle plus que de dizaines.

          JP Brunet estime que les 246 morts signalés par Geronimi, correspondent aux 308 cadavres (dont 60 douteux) examinés à l’IML en 1961 : 141 sont enregistrés avant le 17 octobre, et 72 après le 19. Il en est de même des 109 décès du Service des successions musulmanes, dont 55 ont eu lieu avant le 17 octobre, et 22 sans date de décès déterminée. Dans son mémoire de maîtrise, Pierre Brichard, qui a étudié les listes de ce Service, en attribue une trentaine à la répression policière. Le séminariste Grange ne confirme pas la mort des neuf corps couchés à l’entrée du Palais des sports, et Linda Amiri, ayant eu accès aux archives de la Fédération de France du FLN, dément le matraquage des détenus dans la cour de la Préfecture de Police (ce que confirme Montaner).

          Une seule noyade, au pont St Michel, a fait l’objet d’un constat. Au total, en septembre et octobre 1961, 34 cadavres ont été retirés de la Seine et des canaux, qui ne paraissent pas imputables à la répression de la manifestation. Vidal-Naquet reconnaît que le FLN n’hésitait pas à tuer et à jeter des cadavres dans la Seine.

          Le professeur Brunet dénonce dans l’exploitation de cette affaire un mythe forgé pour les besoins d’une cause militante. Admirateur de Mao et de Pol Pot, l’historien du dimanche Einaudi se révèle un hagiographe du FLN, mouvement à visées totalitaires. On pourrait en dire autant d’autres auteurs.

          Catherine Segurane observe les moyens employés pour faire croire à des centaines de meurtres :

- jouer sur les dates en ajoutant au 17 octobre les mois d’octobre et novembre,

- prétendre à un grand nettoyage destiné à faire disparaître les preuves,

- présumer la culpabilité des policiers,

- inventer des légendes d’épouvante de la population.

           Un des premiers instruments de cette mythologie macabre est un tract anonyme du 31 octobre attribué à un groupe de policiers républicains, qui rappelle les procédés du parti communiste et de la CGT. On y évoque les cadavres jetés dans la Seine, les pendus du bois de Vincennes et les Algériens arrosés d’essence et brûlés. D’autres bobards citent les fosses communes imputées à la police, les enterrements clandestins par la famille, les corps jetés par avion dans la mer.

          Historien de la guerre d’Algérie, vice-président de la Commission française d’histoire militaire, il me semble qu’il faut replacer cette bataille dans la stratégie générale du FLN, qui après avoir perdu les batailles d’Alger et des frontières, et se sentant humilié par les fraternisations de mai 1958, a décidé le 28 août 1958 de transporter la guerre en territoire français, et ordonné à ses commandos de combattre furieusement l’ennemi.

          Cette décision faisait suite à la volonté, proclamée dès 1955, d’exterminer les messalistes, considérés comme des traîtres, en Algérie et en métropole (3) Ces deux décisions se sont traduites par le massacre en métropole d’au moins 3.957 nord-africains, 150 Européens, 16 militaires et 53 policiers (le Monde du 20 mars 1962), auxquels s’ajoutent 48 harkis. Ces actions terroristes expliquent, sans les excuser, l’exaspération des policiers et les excès auxquels ils se sont livrés.

          Quant à la décision de réagir, par une manifestation pacifique, au couvre-feu imposé le 6 octobre par la Préfecture de Police, elle n’a pas été approuvée par toutes les instances du GPRA. Mohamed Harbi écrit dans le Monde du 5 février 1999 : « ce qui a joué dans le déclenchement de la manifestation du 17 octobre, ce sont plutôt des enjeux internes, voire des ambitions personnelles…On était proche de la fin…Ce sont déjà des luttes pour le pouvoir dans l’Algérie indépendante ».

          Les arrestations opérées le 17 octobre avaient été précédées d’opérations de démantèlement des groupes armés du FLN en région parisienne. Selon le Service de coordination des Affaires algériennes (rapports des 1er et 4 décembre), 205 armes à feu, 8 bombes, 26 plastics, 106 grenades et obus ont été saisis en deux fois ; 91 responsables de groupes armés ont été arrêtés, 2.545 militants politiques transférés en Algérie. Les liaisons internes ont été rompues et la Fédération de France du FLN a suspendu les attentats. Pour le présent, conclut ce rapport, la bataille de Paris ne tourne pas à l’avantage du FLN.

Maurice Faivre, le 10 octobre 2011

 

 


1 « inadmissibles mais secondaires », déclare de Gaulle, qui selon Messmer partage avec le gouvernement la responsabilité de la répression

2 C’est le chiffre retenu par le colonel Montaner, ancien chef de la Force de police auxiliaire.

3 Réf. Jacques Valette, La guerre d’Algérie des messalistes, L’Harmattan, 2001.

 

complément d'article corroborant les faits énoncés :

 

Publié par  Manuel Gomez le 23 octobre 2016

Article d'ETUDES COLONIALES

Article du FIGARO


RAPPEL DU NOMBRE DE FRANCAIS VICTIMES CIVILES DU TERRORISME FLN

Chiffres officiels arrêtés au 19 mars 1962 

Français d'Algérie de souche européenne : 2788 tués - 7541 blessés - 875 disparus

Français d'Algérie de souche arabe ou berbère : 16378 tués - 13610 blessés - 13296* disparus 

Total : 19166 tués - 21151 blessés - 14171* disparus 

Le nombre réel de disparus algériens de souche arabe ou berbère le plus probable est estimé à 50.000, les statistiques officielles ne prenant en compte que les déclarations faites auprès des autorités françaises. 

RAPPEL DU NOMBRE FRANCAIS DE VICTIMES CIVILES DU FLN ET LA REPRESSION DE L'ETAT FRANCAIS APRES LE 19 MARS 1962, EN VIOLATION DES ACCORDS D'EVIAN 

Estimation selon les sources historiques les plus fiables

Français d'Algérie de souche européenne : entre 10.000 à 25.000 tués et disparus

Français d'Algérie de souche arabe ou berbère : 80.000 à 150.000 tués et disparus 

NOMBRE DE VICTIMES D'ATTENTATS FLN EN FRANCE METROPOLITAINE 

Chiffres officiels arrêtés au 23 janvier 1962

Français civils de souche européenne : 150 tués - 649 blessés

Français de souche arabe ou berbère : 3957 tués - 7745 blessés

auxquels il faut ajouter : 16 militaires tués et 140 blessés

53 policiers tués et 279 blessés 

Total des victimes du terrorisme FLN en France métropolitaine : 4176 tués - 8813 blessés 

**************

EFFECTIFS ENGAGES ET PERTES MILITAIRES FRANCAISES  -

MONUMENT DU QUAI BRANLY 

Sur la première colonne défilent les noms et prénoms des 23.000 Soldats et Harkis, classés par année et par ordre alphabétique, Morts pour la France entre 1954 et 1962 en Algérie et entre 1952 et 1956 au Maroc et en Tunisie, avec, pour seules autres mentions, le prénom et l'âge au moment de la mort. Sur la deuxième colonne défilent des messages rappelant la période de la guerre d'Algérie et le souvenir de tous ceux qui ont disparu après le cessez le feu, ainsi que le texte suivant : « 1 343 000 appelés ou rappelés, 405 000 militaires de carrière ou engagés, près de 200 000 supplétifs ont servi sur les différents théâtres d'opération d'Afrique du Nord :

- Algérie : du 30 octobre 1954 au 2 juillet 1962

- Maroc : du 1er juin 1953 au 2 mars 1956

- Tunisie : du 1er janvier 1952 au 20 mars 1956 »

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19 octobre 2011

LES 20 ANS D'ALLO EN ARLES 2011

          Les anciens du lycée Lamoricière d'Oran (ALLO) viennent de se réunir les 1 et 2 octobre 2011 en Arles à l'occasion du 20ème anniversaire de l'association présidée par Jean FUMAROLI.

          Cette réunion à laquelle assistait une centaine d'anciens du lycée, pour la plupart d'entre-eux accompagnés de leurs épouses, voire de leurs enfants et même petits-enfants, a commencé le vendredi 30 septembre à la résidence Maeva Club Camargue par une soirée de retrouvailles à la bodega du domaine. 

          Le samedi 1er, les membres de l'association se sont retrouvés pour l'indispensable A.G. tandis que les épouses se rendaient au Musée Arles Antique pour une visite passionnante. La soirée de gala a permis de resserrer encore des liens amicaux indéfectibles autour d'une excellente table sur laquelle la bouteille d'eau était largement dominée par des vins et un champagne succulents, choisis et livrés par le Président lui-même. Un orchestre, dirigé par un ancien du Lycée, a entrainé sur la piste des couples qui n'avaient rien perdu de leur virtuosité de jeunesse ... jusqu'à fort tard ! 

          Dimanche matin les congressistes étaient guidés brillamment dans les rues de la ville pour y découvrir les incomparables monuments témoins d'une importante présence romaine. L'après-midi commençait par un gigantesque méchoui chez le Bachaga Boualem à Mas Thibert pour se poursuivre jusqu'à l'heure inévitable de la séparation, sans oublier une tombola riche en lots de qualité. Et, geste très sympathique du bureau d'ALLO, chacun est reparti avec, en souvenir de cet anniversaire, une assiette personnalisée avec les armes de l'école en son centre. Ardaillon était représenté par Jean Candela et son épouse Josiane. 

Pour tous renseignements sur l'association prendre contact avec le Président.

 jeanfumar@numericable.fr

Ce week-end amical a donné lieu à plusieurs séries de photos:

Photos de Claude Nal

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Photos de Henri Lafite:

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12_Georges_Descat 13_Georges_Garraud

14_Hueber___Larmande 15_Les_Larmande_et_Hueber

16_MMes_Podesta___Fumaroli 17_Paul_Caillon___Madame

18_Paul_Podesta

19_Potier 20_Poulet__les_deux_

21_Ren__Biscaldi

22_Ren__Farinacci 23_Rodriguez___Nal

24_Rosas___garson 25_Sarramegna

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Retour "A.L.L.O."

 

 

13 juin 2011

COMMEMORATION 2011 DU 5 JUILLET 1962

 

Compte rendu de la commémoration du 5 juillet QUAI BRANLY

 

Ce 5 juillet à 11 H30 environ 60 personnes étaient réunies devant le mémorial national de la guerre d'Algérie  pour rendre hommage aux Ornais enlevés, massacrés le 5 juillet 1962 Sur la colonne centrale  quelques noms  de victimes oranaises défilent. Les inscriptions ont été faites à la demande des familles concernées.

 

Les anciens combattants de l'Union Nationale des Parachutistes, de l'UNC, avec leur président Hugues Dalleau,  du CNC  avec Roger Holleindre sont présents.

 

Monsieur Renaud BACHY, président de la mission interministérielle aux rapatriés, Monsieur Yves Sainsot, président de l'ANFANOMA,  Monsieur Jean-Pierre Seroin  président de la MAFA, Madame Montero qui a eu son mari et son frère enlevés le 5 juillet , Mlle TUYERAS  de l'ANIFOM, la présidente de l' association contre le terrorisme, Nicole Ferrandis, présidente de l' association des familles des victimes du 26 mars sont également présents.

 

A 11H30, Gérard Garcia, président des Amis d'Algérianie et organisateur de la cérémonie prend la parole et   rappelle les circonstances  de ce massacre. Puis des fleurs sont déposées par les participants puis tout à tour les gerbes des amis de l'Algérianie par G. GARCIA  et celle  et de la mission interministérielle  par le Président Renaud BACHY et Hugues DALLEAU, président de l'UNC Une minute de silence, les drapeaux s'inclinent, chacun se souvient. La Marseillaise, puis le chant des Africains clôturent cette émouvante cérémonie Rendez-vous est pris pour l'année prochaine, le 5 juillet 2012 à 11H30.

 

Le monument du quai Branly. Voilà l’ennemi, il ne faut pas en parler, pendant ce temps, les sénateurs et les députés  de gauche s’activent pour faire enlever les noms. La droite  ne fait rien, elle sait que certaines associations de rapatriés sont hostiles à ce monument. Bientôt beaucoup seront contents, sauf les familles de victimes. Mais qui pense à elles ?

 

Enlever le nom des victimes serait les tuer une deuxième fois, mais qui s'en soucie?

*

 5 JUILLET 2011 QUAI BRANLY MEMORIAL GUERRE D ALGERIE.

gérard garcia président des amis de l algérianie pendant l'hommage aux victimes du 5 JUILLET

Gérard Garcia président "Des Amis de l'Algérianie" pendant l'hommage aux victimes.

*

 gerbes 5 juillet PARIS le président de la mission interministérielle et le président de l'unc pour l'une et l'autre par le président de l'association organisatrice les amis d'algérianie

Les 2 gerbes déposées

par Le Président de la Mission Interministérielle et le Président de l'U.N.C. pour l'une

et par le Président de l'Association organisatrice "Les Amis d'Algérianie" pour l'autre.

*

3

Les anciens combattants l'UNP, l 'UNC et CNC.

*

4

Le président de la mission  interministérielle  aux rapatriés et le président de l'unc s' inclinent devant la colonne centrale du mémorial de la guerre d'algérie,le début de la liste des personnes enlevées dont notamment celles du 5 juillet figure sur cette colonne. 

*

5

Sonnerie aux morts.

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RAPPEL DU DEROULEMENT DE LA COMMEMORATION

Association des Amis d’Algérianie.

EN MEMOIRE DES ORANAIS MASSACRES

LE 5 JUILLET 1962

 Une messe sera célébrée le Dimanche 3 juillet 2011 à 10 h 30

 Chapelle Saint Mathieu, 30 rue Vanneau, 75007 PARIS, Métro Vanneau

 Par Son excellence Monseigneur Pierre BOZ, Exarque Patriarcal des Melchites Catholiques, Seront associées à cette cérémonie toutes les victimes françaises civiles et militaires de la bataille d’Algérie Française

 La Cérémonie du Souvenir le Mardi 5 juillet 2011 à 11h30, heure du début du massacre.

 Au Mémorial National de la guerre d'Algérie Quai Branly, Paris 7ème

 (Allocution, recueillement, dépôt de gerbes, chants patriotiques)

 

Seront associées à cet hommage les populations civiles et militaires victimes de massacres ou d’exactions commis pendant la bataille d’Algérie Française et après le 19 mars 1962, dont les premiers noms sont déjà inscrits sur la colonne centrale du mémorial.

 quaibranly

 

Nous vous espérons très nombreux afin que nul n’oublie.

 

Nous remercions les associations d’Anciens Combattants de venir accompagnés de leurs drapeaux. Les fleurs sont bienvenues.

 

ENFIN

La Fédération

Comité de Liaison des Associations Nationales de Rapatriés (CLAN-R)

Membre du Comité de la Flamme

Ravivera la Flamme sous l’Arc de Triomphe

Le 5 juillet à 18h30.

En hommage aux victimes civiles d’AFN et aux Harkis, et particulièrement

En hommage aux victimes des massacres du 5 juillet 1962 à Oran et aux disparus

Des gerbes seront déposées par le CLAN-R

L’association Nationale des Rapatriés Oranais - A.N.R.O, membre du Clan

L’Union Nationale des Combattants Supplétifs d’Afrique du Nord- U.N.C.S.A.F.N, membre du Clan

Pour la première fois, au nom de l’Etat, une gerbe sera déposée par M.Renaud Bachy, Président de la Mission interministérielle aux Rapatriés

 

Arc

Rendez-vous à 17H30 en haut des Champs Elysées

 D’autres Cérémonies du Souvenir

*

PEROLS (34)

 

En présence de nombreuses Associations

dont

 

ADIMAD - RNFAA

Dépôt de gerbe

5 juillet 2011

11 h 00

Cimetière de Pérols Hérault
*

PERPIGNAN

MUR DES DISPARUS

Messe et dépôt de gerbe

5 juillet 2011

15 heures

*

RIS ORANGIS

Dépôt de gerbe

5 Juillet 2011

11 heures

CIMETIERE Entrée Principale

*

ANTIBES

Messe

5 juillet 2011

18 heures

Eglise du Sacré Cœur

Rue Chaudon Antibes
*

D'autres rendez-vous

 

AMIENS - 3 JUILLET 11 HEURES CIMETIERE Saint Pierre

AIX EN PROVENCE - 5 JUILLET 11 HEURES CIMETIERE SAINT PIERRE

HYERES - 5 JUILLET 9 H 30 CIMETIERE ch. de la Ritorte

LYON - 5 JUILLET 18 H 30 MONUMENT AUX MORTS D’ORAN

MARIGNANE - 5 JUILLET 10 HEURES CHAPELLE ST JOSEPH

MARIGNANE - 5 JUILLET 11 H CIMETIERE SAINT NICOLAS

MARIGNANE - 5 JUILLET 11 H 15 STELE DES FUSILLES CIMETIERE SAINT LAURENT IMBERT

MARSEILLE - 5 JUILLET 17 H MONUMENT DES MOBILES HAUT CANEBIERE

MARSEILLE - 5 JUILLET 19 H BASILIQUE DU SACRE CŒUR AVENUE PRADO

NICE - 5 JUILLET 10H30 STELE DES REFUGIES SQUARE A. LORRAINE

NICE - 5 JUILLET 11 HEURES EGLISE ST PIERRE D ARENE RUE DE France

PAU - 5 JUILLET 18 HEURES CIMETIERE URBAIN

TOULON - 5 JUILLET 17 HEURES PORTE DITALIE

TOULON - 5 JUILLET 18 HEURES CATHEDRALE DE TOULON

AJACCIO - 9 JUILLET 11 HEURES STELE DES FRANCAIS D’ALGERIE LA PARATA LES SANGUINAIRES

 

Retour aux commémorations du 5 JUILLET 1962.

 

 

 

 

 

 

 

 

2 avril 2017

"LE SERMENT DE L'ORANE"

CLAP DE FIN.

Le 14 mai 2017

Chers Amis,

le rideau est tombé pour la dernière fois sur "Le Serment de l'Orane".

Plus loin le compte-rendu que m'a inspiré cette dernière représentation à Menton le 14 mai 2017.

Je suis heureux d'avoir apporté ma modeste pierre à la sauvegarde de la mémoire de l'Algérie Française !

C'était le seul but de ce travail qui m'a obligé à surmonter de grandes difficultés au sein d'un milieu que je ne connaissais pas. Mais qui m'a donné d'immenses satisfactions.

Le résultat montre que rien n'est impossible avec de la volonté certes, mais essentiellement avec le soutien de ceux qui contribuent par leur amitié, leur amour, leur générosité, à la réussite.

J'ai été admirablement entouré et encouragé. Soyez-en remerciés, vous qui à Marseille, au Pontet, à Quint-Fonsegrives, à Cassis, à Port-Vendres, au Pradet, à Menton, mais aussi vous qui à distance, ne pouvant pas assister aux représentations m'avez fait bénéficier de vos encouragements et de vos conseils.

J'ai reçu d'admirables messages de sympathie reproduits sur le site dont l'adresse est rappelée ci-dessous.

Ces quelques années compteront parmi les plus belles de mon existence de PIEDS-NOIRS. Vive le théâtre. Vive "Le Serment de l'Orane". Vive l'Amour et l'Amitié en Piednoirie !

Je vous embrasse

Claude Nal 04 91 82 01 37 c.nal@orange.fr www.jh-dhonneur.fr

Bande annonce sur YouTube "Le Serment de l'Orane" DVD sur commande

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"Le Serment de l'Orane"

Compte-rendu de la Représentation du 14 mai 2017 à Menton

Pour sa onzième représentation "Le Serment de l'Orane" a bénéficié d'un cadre exceptionnel. C'est la ville de Menton qui lui a servi de décor et c'est dans sa salle Saint-Exupéry, au style incomparable, que la Mairie l'a accueilli. Le ciel dont la pureté azur et la mer d'huile, qui murmurait sur la plage, nous ont rappelé avec une insistance langoureuse nos rivages de l'Algérie Française. Grâce à ce décor, en ce 14 mai 2017 les acteurs et les spectateurs n'avaient aucun effort à faire pour se replonger dans les années 1961-1962 évoquées dans la pièce.

De plus Menton, dont le calme ambiant est envoutant, est une cité particulièrement accueillante à l'image de ses habitants. L'accent des Alpes Maritimes et l'accent Pieds-Noirs se sont mêlés pour que la troupe se sente chez elle et qu'elle donne le meilleur d'elle-même. Un moment passé à la terrasse d'un café, en bord de mer, avec Idris et ses parents Jean-Claude et Sandrine - nos deux premiers rôles - le samedi matin, en est le plus beau témoignage. Le calme apaisant éclairé par le beau sourire d'un enfant de sept mois présageait d'une belle représentation pour le lendemain. Le dimanche après-midi le présage est devenu réalité.

Cette impression de beauté, de sérénité et de fête douce, nous l'avions déjà éprouvée avec mon épouse Françoise au mois de février, lorsque nous avons préparé la venue de la troupe. Le Théâtre Saint-Exupéry, ancien temple protestant, nous est apparu d'emblée comme le cadre idéal pour notre pièce. Avec Madame Andrée Gucher, responsable de la bonne tenue des lieux, mais également régisseur son et lumière particulièrement compétente, les essais ont été rapides et efficaces. Autour de ce lieu magique, objet principal de notre visite, les problèmes divers de communication, de restauration, d'accueil du public et d'intendance, ont été vite réglés, grâce à l'aide particulièrement efficace et souriante de Madame Colette Porcel qui était à nos côtés sans faillir depuis la toute première évocation du projet, quelques mois plus tôt dans la belle ville de Dalias, au sud de l'Espagne. Cerise sur le gâteau, nous avons eu le plaisir d'assister  à une magnifique fête du citron qui donne chaque année un éclat particulier à la belle ville de Menton, et qui aurait eu tout autant sa place de l'autre côté de la Méditerranée dans l'un des départements français de notre jeunesse.

Cette visite de préparation et de mise au point a été également l'occasion de rencontrer nos partenaires qui ont entraîné dans leur sillage de nombreux amis. Ainsi, Madame Michèle Soler, Présidente du Cercle algérianiste de Nice - Alpes Maritimes, Monsieur Jean-Claude Simon, Président des Amitiés Oraniennes - Écho de l'Oranie, Monsieur François Alarcon, Président de la Maison du Pied Noir et ses amis de Menton, nous ont permis lors de nos rencontres de bien finaliser le projet.

Il ne restait plus qu'à concrétiser !

Commençait alors  un long travail de communication basé sur  l'affichage, la distribution de flyers, e-mailing, articles d'annonce dans l'Écho de l'Oranie, relais de la radio locale RF Méditerranée, de Nice matin, et bien évidemment le bouche à oreille - base du "téléphone Pieds-Noirs".

Les inscriptions enregistrées méthodiquement par Patrick et Annie de Tourtier commençaient à affluer lentement mais sûrement pour atteindre un très bon remplissage de la salle au moment de la représentation.

Les acteurs arrivés sur place le 13 mai découvrent  le théâtre et en prennent rapidement possession. Ils installent les décors, font les adaptations nécessaires, mettent au point l'utilisation des moyens son et lumière avec la régisseuse et, avec leur grand professionnalisme habituel, répètent jusqu'à l'heure du repas du soir. Le rendez-vous est fixé au restaurant "L'exocet" où le Président des Amitiés Oraniennes - l'Écho de l'Oranie, attend les acteurs pour leur offrir un excellent repas, avec vue sur la Méditerranée.

Tôt le dimanche, les dernières mises au point se font sur scène. Répétitions d'autant plus importantes que la dernière représentation date de plus d'un an au Théâtre Lacydon de Marseille.

A quinze heures précises, le Metteur en scène Gilles Galiano lance la représentation. Comme les dix fois précédentes l'entrée se fait en musique avec l'un des thèmes offerts par Christian Roure, sur la projection de mon crédo :

"Ne pas oublier - Défendre la vérité - Transmettre"

Le prologue et les trois actes vont s'enchaîner avec des moments de fougue et d'émotion ponctués par quelques sourires. Le public est particulièrement attentif et réactif. Preuve que les acteurs sont au maximum de leur art.

Après "le serment" final et le chant des Africains, Gilles Galiano présente les acteurs qui reçoivent une magnifique ovation pour la qualité de leur prestation. Il n'oublie pas de remercier mesdames Fanny Subra, pour son travail de costumière-maquilleuse et Andrée Gucher pour son accueil et sa compétence. La présentation du petit Idris, aux bras de ses parents, ajoute un brin d'émotion. Pour lui c'est une première sur scène. Gageons qu'il y en aura beaucoup d'autres.

Je termine cette "onzième" en remerciant les représentantes de la Mairie et nos partenaires avant d'aller saluer quelques amis et personnalités du monde Pieds-Noirs qui m'ont fait l'honneur de venir assister à cette représentation.

C'était la dernière ! La série commencée en 2012 s'achève définitivement.

Onze représentations, plus de mille cinq cent spectateurs. La vie de la pièce portée par mon épouse Françoise, par Gilles Galiano, et par une troupe admirable a été pour moi une indicible satisfaction.

"Le Serment de l'Orane" appartient à la communauté des Français d'Algérie, ma communauté, celle de ma famille et de mes amis. Communauté composée de gens exemplaires qui ont su surmonter les pires difficultés pour  construire malgré une adversité indigne. Il s'y trouvera peut-être un "repreneur" pour que la pièce ait une deuxième vie. En attendant, le DVD est à votre disposition.

"Dans notre cœur et ... dans celui de nos enfants, il y aura toujours L'ALGERIE FRANCAISE"

Claude NAL


 

Le 2 février 2017

            Les Amitiés Oraniennes - L'Echo de l'Oranie - le Cercle algérianiste de Nice et des Alpes Maritimes et la Maison du Pied Noir de Menton et de leurs amis vous proposent d'assister à la 11ème représentation de la pièce de Claude NAL

Inscription Menton

Menton salle Saint Exupéry mai 2017

Télécharger le bulletin d'inscription

Le Serment de l’Orane à Menton - Salle Saint-Exupéry dimanche 14 mai 2017 à 15 heures.

            Les premières réservations sont en cours d'enregistrement. Le Théâtre Saint-Exupéry ne fait que 200 places. Nous ne pourrons pas aller au-delà. Ne tardez pas !

            Pour ne pas être pris de court, si vous avez l'intention de vous joindre à nous, merci de répondre à ce message pour une pré-inscription, qui devra être confirmée dès que possible avec votre règlement.

            Les chèques reçus seront remis à l'encaissement à partir du 10 mai 2017. Si vous êtes déjà inscrit, merci de diffuser l'information auprès de votre entourage.

Bien cordialement.

Claude Nal 04 91 82 01 37

c.nal@orange.fr   www.jh-dhonneur.fr

Bande annonce sur YouTube "Le Serment de l'Orane"


 

Le 5 février 2016

Prochaines représentations 


Marseille au Théâtre du Lacydon le dimanche 13 mars 2016 à 15h (modalités de réservation à venir). 


Fos-sur-Mer Théâtre de Fos - Centre culturel Marcel Pagnol Av René CASSIN - 13270 Fos-sur-Mer le dimanche 20 mars 2016 à 15h

 

Annonce Fos 01

 

Flyer fos 04

1

Bulletin d'inscription pour Fos-sur-Mer.

Renseignements - 04 91 82 01 37 ou lesermentdelorane@numericable.fr Site Internet www.jh-dhonneur.fr 

 


Nice : Théâtre Francis GAG le dimanche 9 octobre 2016 à confirmer (modalités de réservation à venir).


Bande annonce sur YouTube "Le Serment de l'Orane" et sur RPNI

QUELQUES APPRECIATIONS AU FIL DES REPRESENTATIONS

B. L. (Le Pradet)

... J'espère que le "Serment de l'Orane " poursuit son aventure, il restera pour moi un si bon souvenir! Avec toute mon amitié.

A.De T.

Chers Amis, merci de nous tenir au courant de la continuité de cette pièce si brillante, émouvante et VRAIE. Oui, la PIECE, pour nous restera gravée à vie, quelle expérience ! quel plaisir ! quelle satisfaction de voir tous ces gens applaudir, contents et tout et tout !!!.

 J-L. T.

Après avoir vu la pièce "Le Serment de l'Orane", on se sent plus fort ! C'est une pièce qui donne de la force aux bâtisseurs. Ca regonfle, ça fait gagner des années. C'est une leçon de vie.
Je suis fier d'avoir vu cette pièce et d'être Pieds-Noirs. Je ne vais pas planter 300 citronniers, comme je le prévoyais, mais 400 !
Tout le monde doit la voir. En particulier les "non Pieds-Noirs". C'est une leçon d'histoire, comme racontée au coin du feu. Il est impossible qu'elle passe à la télé, mais elle devrait être jouée dans les écoles.
Je serais resté une heure de plus sans problème. Je veux la revoir.  Si elle passe dans le coin, j'amènerai 15 personnes. Toi qui lis ces lignes, si tu doutes, vas voir la pièce.
Les acteurs, formidables,  communiquent le contenu de la pièce et l'émotion qu'elle contient comme s'ils avaient vécu les évènements en vrai.
C'est formidable. C'est extra. C'est incroyable. Impossible de faire mieux
Merci Claude d'avoir écrit cette pièce.
 
A. D.

Un mot tout d'abord pour vous  féliciter (évidemment aussi toute la troupe et tous ceux qui ont contribué à ce succès) pour cette belle prestation au Pradet ;  c'est vraiment très encourageant et formidable de permettre ainsi de garder et de transmettre la mémoire d'un énorme morceau de notre vie. J'espère que vous allez tirer partie de ce franc succès pour ne pas vous arrêter en si bon chemin.

N. B.

... Actuellement Président de l'Amicale Bônoise du Var. Je n'ai qu'une chose à vous dire.........B R A V O. Vous avez su nous rajeunir en nous plongeant dans cette tragédie de la perte de notre pays. Je n'ai pas manqué de parler de cette pièce à tout mon entourage. Et sachez, que je serais toujours à vos cotés...

E. D.

Après la représentation du 19 avril 2015 à Béziers,
Bonjour Monsieur Nal ! Je vous félicite pour votre pièce. C'était vraiment stupéfiant. J'ai pleuré ! J'ai trouvé ça super, super, et je tenais à vous en informer.
Tenez-moi au courant des endroits où vous irez la jouer parce que si je connais des gens dans le coin je les informerai.
Franchement, vous méritez tous nos remerciements pour cette page d'histoire très, très, très émouvante. Je vous remercie.
C'était , avec beaucoup de plaisir.

A. et J. G.

Mon épouse et moi-même avons vu la pièce "Le Serment de l'Orane" à Béziers. Nous avons été touchés et émus. Nous tenons à vous en féliciter.

M-P R.

Merci pour cette représentation d’intense émotion qui a réveillé en nous de douloureux souvenirs mais si réels. Félicitations aux comédiens.

C. et A. L.

C'est avec émotion et plaisir que nous avons apprécié "le serment de l'Orane" à Port-Vendres. Une belle mise en scène, et des acteurs bien dans leur rôle. Le contact avec les acteurs a été très chaleureux.
L'émotion et les larmes de notre accolade resteront longtemps dans nos mémoires
Des  moments de souvenirs qui nous transportent en arrière, notre jeunesse insouciante, les bons moments, mais aussi les mauvais qui ont suivi ce départ vers l'inconnu...

V. De B.

Cher Monsieur, je vois que vous n'avez pas lâché l'affaire et que votre pièce à un considérable succès. Je souhaite longue vie pour "le serment de l'orane".
J'ai bien entendu vu votre pièce à Marseille et j'en ai toujours un souvenir merveilleux.
Cordialement.

M. L.

Mes très Chers Amis,
Voilà déjà deux semaines que nous avons eu la grande joie de voir votre pièce à Quint-Fonsegrives, dans les environs de Toulouse. Quel plaisir de voir de si jeunes acteurs interpréter cette pièce, comme si on était « là-bas » ma parole !! Que de souvenirs 50 ans après… Aussi quelques larmes ont coulé, mais je peux vous assurer qu’il ne passe pas un jour sans que dans la commune ou au téléphone les gens m’en parlent encore... Aussi j’invite tous mes compatriotes Pieds-Noirs et Patos, si le désir les prenait de vous faire venir chez eux, à y aller, car cette pièce doit être connue et vue par de nombreux Pieds-Noirs...
Bravo à toi, mon très cher ami d’avoir écrit cette si belle pièce très émouvante, mais tellement vraie. Je ne terminerai pas sans parler de la fin « avec tout le public debout chantant le Chant des Africains à en faire trembler les murs » et les longues minutes d’ovations à ton égard et pour toute ta troupe dont tu peux être fier.
Un mot aussi pour ta charmante Françoise qui s’est donnée sans compter.

M. E. (Mostaganem)

Cher Monsieur Nal, j’ai assisté le 29 septembre 2013 à la représentation de votre pièce de théâtre « Le Serment de l’Orane », au Centre de loisirs de Quint-Fonsegrives (31). En quelques minutes, nous avons oublié que nous étions dans une salle, et nous sommes repartis 51 ans en arrière dans notre beau pays qu’était l’Algérie : une belle leçon d’histoire, des projections magnifiques, et une troupe d’acteurs formidables !
Vous avez relevé un énorme défi en résumant ces années difficiles de la fin de l’Algérie Française sous forme de pièce de théâtre, et c’est une réussite ! Tout y était : les acteurs qui se sont immergés dans cette difficile histoire avec enthousiasme, une touche d’humour bien distillée, et surtout la conquête d’un public qui majoritairement avait vécu ces évènements parfois tragiques en direct. L’émotion grandissante dans le public était palpable, et le final magnifique ! Nous ne nous attendions pas à chanter en chœur avec toute la troupe réunie sur scène… mais je n’en dirai pas plus, car mon témoignage a surtout pour but de susciter la curiosité des futurs spectateurs qui je l’espère seront nombreux.
Je ne dévoilerai pas davantage de détails sur ce très beau spectacle. Simplement j’encourage vivement tous ceux qui liront ce message à y assister en famille, entre amis, toutes générations confondues… Cette œuvre réhabilite ce sentiment d’injustice longtemps enfoui dans nos mémoires. Elle permet aussi à ceux qui ne connaissaient pas notre Histoire de mieux comprendre la souffrance et le courage des «Pieds-Noirs», obligés de s’exiler loin de leur terre natale sans espoir de retour ! Mais cette pièce a aussi le mérite de prouver la solidité des liens qui continuent à unir notre communauté malgré les nombreuses années déjà écoulées !

S. C-A.

A mes collègues et amis Présidents des Cercles Algérianistes
La soirée du 12 avril 2013 restera marquée dans nos coeurs pour la joie, le bonheur, la nostalgie, le message d'espoir que l'ensemble des participants a ressenti en écoutant la pièce de Claude NAL "Le Serment de l'Orane".
Dans le cadre prestigieux du Château de Fargues, au Pontet - près d'Avignon - la salle comble a fait une ovation à l'auteur, au metteur en scène et aux comédiens; puis debout, tous ont chanté ensemble "Le Chant des Africains"...
Maintenant la pièce va suivre son chemin lumineux vers la gloire, avant qu'un ou plusieurs Festivals ou Congrès l'inscrivent à leur programme...

V. E.

Je reviens du Théâtre de Ste Marguerite (Marseille) où nous avons assisté à la pièce de Claude Nal qui était jouée pour la première fois en public, elle retrace l'histoire de la guerre d'Algérie vue à travers des étudiants, très émouvant de voir se dérouler notre drame en direct par des jeunes acteurs qui étaient à la hauteur.
Bravo Claude et Françoise pour cette pièce dont le sujet nous est cher, et n'avait pas encore été traité au théâtre.

Pour d'autres appréciations voir le site Internet  


 Le 25 septembre 2015

1 AU PRADET

 

2 Affiche Pradet

 

3 Flyer Pradet

 

           

Le Serment de l’Orane

représentation du dimanche 25     octobre 2015 à 14h30

à l'Espace des Arts du Pradet

Bulletin d'inscription

Réservation pour     ........... personne(s) x 15€ = .................   

au nom de     M/Mme.............................................................

Courriel :     ...........................................................................

Et/ou     tél  (pour confirmation)     :......................................

Règlement     par chèque, à l'ordre de: Amicale des Oraniens du Var

à adresser accompagné de ce bulletin à :

Madame Andrée BUTON - Amicale des Oraniens du Var

Allée Fernandel -     Résidence La Coupiane - Tour 10

83160 La Valette-du Var

   Si vous êtes handicapé, ou accompagné d'une personne handicapée, merci de le mentionner ici, pour que nous essayons de vous faciliter l'accès au théâtre.

 Le 16 avril 2015

 

Le Serment de l'Orane à Béziers-2

 

Le 19 février 2015

Flyer Béziers ZZ 2

Marseille, le 17 février 2015

j'ai le plaisir de confirmer que la pièce "Le Serment de l'Orane", sera jouée avec l'aimable concours de la Mairie de Béziers, au ZINGA ZANGA de Béziers, le dimanche 19 avril 2015 à 15 heures,

Cette représentation est organisée par plusieurs associations Pieds-Noirs du Languedoc-Roussillon parmi lesquelles "La Croix du Sud" de Valras-Plage, les Cercles Algérianistes de Béziers, Montpellier, Narbonne et Sète.

Toutes les autres associations regroupant des membres de la communauté Pieds-Noirs peuvent, si elles le souhaitent, appuyer cette initiative.

Nous vous seront reconnaissant de bien vouloir réserver vos places en utilisant le bulletin, ci-joint.

 


Le Serment de l’Orane

Réservation obligatoire

Inscription de ........... personne(s) x 15€ = ...............

au nom de M/Mme.............................................................

Tél  (pour confirmation) :..................................................

et/ou courriel : ...................................................................

Règlement par chèque joint, à l'ordre de:

Cercle Algérianiste du Biterrois

Règlement accompagné de ce bulletin à adresser :

Cercle Algérianiste du Biterrois - CS 10715 - 34350 VENDRES

avant le 12 avril 2015


Dans l'espoir de voir notre communauté continuer à se rassembler autour de cette pièce, et ainsi me conforter dans l'idée de

"Ne pas oublier - Défendre la vérité - Transmettre"

Claude NAL 04 91 82 01 37 claude.nal@numericable.fr

 


Le 04 novembre 2013

Après les cinq premiers succès de l'année

auquels ont assisté près de six cents personnes

la prochaine représentation de la pièce de théâtre

Le Serment de l'Orane

aura lieu, à l'initiative de ANRO-France,

à l'Atelier des Arts de MArseille 9ème

133, avenue de MAzargues

le samedi 30 novembre 2013 à 15h30

C’est pour bientôt ! Inscrivez-vous .... et si vous l'avez déja vue, faites-le savoir à vos amis

C'est la dernière de l'année 2013 !

 

Flyer Anro-2marseille 2013

Pour tous renseignements et réservations

téléphoner au 06 12 19 48 72 ou écrire à anro-france@laposte.net 

Claude NAL

Merci de consulter la pièces jointe et le site www.jh-dhonneur.fr

Si vous participez au prochain Congrès national du Cercle Algérianiste, à Perpignan, nous pourrons nous rencontrer au "Forum algérianiste du Livre" les 9 et 10 novembre où je serai présent pour y dédicacer mon roman "Un jeune homme d'honneur" et présenter la pièce "Le Serment de l'Orane".


Le 17 septembre 2013

Acteurs serment de l'Orane

Mesdames, Messieurs, Chers Amis,

Durant les derniers mois de l'année 2013, nous vous proposons plusieurs représentations de la pièce "Le Serment de l'Orane".

Entre  décembre 2012 et juin 2013, plus de trois cents personnes ont assisté au spectacle. Peut-être en avez-vous fait partie ?

Nous espérons atteindre le millier de spectateurs avant la fin de l'année.

Les réservations sont ouvertes pour les deux prochaines représentations qui se feront

- à Quint-Fonsegrives - près de Toulouse (dimanche 29 septembre à 14h30),

- à Cassis (dimanche 6 octobre à 14h30) .

- les représentations suivantes seront précisées dans un prochain message.

AFFICHE pour quint fonsegrive

INVITATION AU SPECTACLE DE QUINT FONSEGRIVE

            Vous trouverez, aussi sur le site www.jh-dhonneur.fr les informations nécessaires à votre réservation pour l'un de ces spectacles. Nous espérons vivement votre présence.

            Nous comptons également sur vous pour informer les membres de votre famille et vos amis qui habitent à proximité des lieux de représentation.

            La pièce qui raconte la fin de l'Algérie Française vécue par un groupe d'étudiants oranais, a pour objectif de "Ne pas oublier", de "Défendre la vérité" et de "Transmettre". Il est donc bien entendu que tous sont les bienvenus : amis Pieds-Noirs et Harkis, métropolitains, enfants et petits-enfants.

Présentation résumée :

            A la fin de l’année 1961, Jean-Pierre, président de l’association des étudiants d’Oran, et les membres de son bureau vivent les derniers mois de l’Algérie Française, qui se meurt. Au milieu d’évènements où s’entremêlent attentats du F.L.N, réactions de la population et de l’O.A.S., couvre feu et perquisitions, enquêtes des Renseignements Généraux, ils vivent dans l’angoisse.

            Ils échappent miraculeusement à l’horrible journée du 5 juillet 1962 avant de se retrouver à Marseille où ils font le serment de rester fidèles aux valeurs de leurs aïeux. En prologue, un professeur d’histoire fait un exposé destiné aux étudiants – mais aussi aux spectateurs – sur l’histoire du Nord de l’Afrique depuis la création de Carthage jusqu’à l’arrivée des Français en 1830.

Au plaisir de vous accueillir bientôt et avec nos meilleures salutations.

Les comédiens.

Pour toute information, contacter directement l'auteur M. Claude Nal au 04 91 82 01 37


Le 30 mai 2013

Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Après les premiers grands succès à l'Atelier des Arts de Marseille et au Château de Fargues à Avignon - Le Pontet, souligné par le journal "La Provence", "Le Serment de l'Orane" revient à Marseille au célèbre THEÂTRE MAZENOD

Théatre Mazenod du 15 juin 2013

Nous avons le plaisir de vous annoncer l'ouverture des réservations pour la représentation du 15 juin au Théâtre Mazenod. Vous pouvez à partir d'aujourd'hui retenir vos places en tenant compte des informations précisées ci-dessous. Merci et à bientôt.

Claude Nal
www.jh-dhonneur.fr


Le 23 avril 2013

Une soirée au Château au Château de Fargues, à Avignon-Le Pontet

Jouer « Le Serment de l’Orane » dans le cadre médiéval du Château de Fargues ne pouvait être qu’un rêve. Or, ce rêve s’est concrétisé le 12 avril 2012 entre 20 heures et vingt deux heures, au début d’une nuit printanière.

Monsieur Alain Cortade maire du Pontet, avait demandé à Monsieur Denis Bergé, responsable du Service Culturel du Château, d’accueillir le Cercle Algérianiste du Grand Avignon et des Pays de Vaucluse pour une représentation dans la magnifique salle Tinel. Ce théâtre parfaitement équipé, de la loge confortable jusqu’aux moyens techniques modernes de la régie, dispose d’une scène qui offre aux acteurs des conditions d’expression idéales.

La troupe dirigée par Gilles Galiano, admirablement reçue par les membres du Cercle Algérianiste et par l’équipe du Château, a pu répéter et affiner son jeu pour donner, le moment venu, une représentation « haut de gamme ».

Les spectateurs, confortablement installés dans des fauteuils moelleux, ont pu apprécier le jeu des acteurs dans ses moindres nuances, grâce à une excellente acoustique. Des travées pleines à craquer, sont monté de nombreux applaudissements qui ponctuaient de larges plages de silence, d’attention et d’émotion.

Le final et la présentation des artistes par le metteur en scène, ont laissé éclater de véritables ovations. La communion entre les acteurs, pour la plupart issus de familles françaises d’Algérie, et le public, où se côtoyaient plusieurs générations de Pieds-Noirs, et de sympathisants de notre communauté, était tellement forte que les deux heures de spectacles ont paru très courtes à beaucoup de personnes.

Cette belle réussite que nous devons, pour une grande part à Madame Suzanne Clément-Averso, et à  Messieurs Jean-Pierre Risgalla et Jean-Pierre Cerruti, dirigeants du Cercle, bien secondés par Monique Cassar et Gilbert Emerit pour l’intendance et par Germain pour la technique, permet d’envisager l’avenir du Serment de l’Orane avec sérénité et une certaine ambition. De nombreux commentaires positifs et un article élogieux de La Provence en sont la preuve.

Tous nos amis Français d’Algérie, du Maroc et de Tunisie peuvent maintenant s’appuyer sur cette troupe pour « Se souvenir – Défendre la vérité – Transmettre ». Nous pouvons ouvrir notre valise remplie de milliers de souvenirs et en montrer le contenu à tous ceux qui veulent savoir ce qu’étaient nos belles régions du Nord de l’Afrique, et qui veulent comprendre les bienfaits de la présence française dans nos anciens départements africains et dans nos colonies passées. Bienfaits dont bénéficient aujourd’hui les populations de ces pays devenus indépendants.

Pour ma part, je suis un auteur comblé. Félicitations aux comédiens et merci à tous mes vrais amis dont la présence et les encouragements m’ont permis de remettre à leur juste place les critiques stériles et nauséabondes de certains faux amis, Pieds-Noirs marseillais, qui se complaisent dans la division. Les donneurs de leçons ne peuvent que me stimuler dans la quête d’un futur apaisé pour la communauté Pieds-Noirs unie… Ma communauté !

Bien entendu toutes les associations et amicales  Pieds-Noirs peuvent apporter leur concours à la diffusion de la pièce et organiser des représentations. Il n’y a aucune exclusive et plusieurs projets sont en cours de concrétisation à Marseille, Aix en Provence, Fonsegrives, Cassis (voir le site www.jh-dhonneur.fr pour les détails).

La prochaine représentation aura lieu à Marseille, au Théâtre Mazenod, le 15 juin 2013 à 20 heures.

Claude Nal

04 91 82 01 37  Claude.nal@numericable.fr

Le cercle d'Avignon au Pontet-Compte rendu

 


Le 09 avril 2013

Madame, Mademoiselle, Monsieur,

            Nous vous rappelons que vendredi prochain, 12 avril 2013 à 20 heures, nous donnerons la deuxième représentation de la pièce "Le Serment de l'Orane" au Château de Fargues, à Avignon-Le Pontet.

              Cette pièce nous fait revivre la fin de l'Algérie Française entre décembre 1961 et juillet 1962 comme l'ont vécu des jeunes gens qui avaient notre âge à ce moment-là. Ces jeunes gens étaient nos parents ou nos amis Pieds-Noirs.

            L'auteur a écrit cette pièce guidé par trois principes : "ne pas oublier" - "défendre la vérité" - "transmettre". Le Cercle Algérianiste du Grand Avignon et des Pays de Vaucluse a choisi de mettre cette représentation à son programme de l'année 2013, parce que ces préoccupations sont aussi les siennes.

            La Mairie du Pontet et la Direction de l'Espace Culturel ont décidé d'apporter leur soutien à cette manifestation dans le cadre du Château de Fargues.

            Si vous n'avez pas réservé vos places, il est encore temps de le faire. Si vous l'avez fait, vous pouvez inviter vos proches et vos amis à partager cette soirée avec vous et avec nous.

            Les réservations peuvent se faire par téléphone aux numéros suivants : 04 90 86 85 80 ou 04 90 88 45 37, ainsi que par courriel : cerclealgerianiste-gdavi@orange.fr

            Règlements par chèque à l'ordre du Cercle Algérianiste d'Avignon : 10€ par personne. Envoyer à Madame Monique CASSAR - 13, rue de la Nesque - 84000 Avignon.

            Nous vous remercions de votre prochaine participation.

Les acteurs du "Serment de l'Orane"


Le 20 janvier 2013

L’association « COUP DE THEATRE »

envisage une représentation de la pièce

« Le Serment de l’Orane » de Claude NAL

le samedi 15 juin 2013 (à 20 heures environ)

au Théâtre MAZENOD

88, rue d’Aubagne

13001 MARSEILLE

Métro Notre Dame du Mont - Parking Cours Julien

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 Le théâtre Mazenod est l'un des plus vieux théâtres de Marseille. Créé en 1934, il a vu passer sur sa scène les plus grands acteurs et comédiens français (Fernandel, Charpin, Raimu).

Avant de confirmer la location du théâtre,

nous ouvrons du 15 janvier au 15 février 2013 une liste de pré-réservation pour 240 places.

Pour vous inscrire sur cette liste, envoyez un message à claude.nal@numericable.fr en indiquant le nombre de personnes susceptibles d'être intéressées et l’adresse à laquelle la confirmation devra être envoyée (nom, prénom, e-mail ou téléphone ou adresse postale).

Pré-inscription également possible par téléphone au 04 91 82 01 37

Impérativement avant le 15 février 2013.

Pour des informations complémentaires sur la pièce voir le site www.jh-dhonneur.fr 


Le 19 décembre 2012

Le serment

Madame, Mademoiselle, Monsieur.

2012 !  L'année du cinquantième anniversaire de l'exode des Français d'Algérie, marquée par de nombreuses commémorations organisées par nos associations, ou avec la participation de quelques municipalités sympathisantes, se termine. Je souhaitais vivement que la pièce que j'ai écrite, "Le Serment de l'Orane" soit jouée avant la fin de cette année et elle l'a été puisque la "Première" s'est déroulée dimanche dernier, le 16 décembre 2012 à "L'Atelier des Arts" dépendant de la Mairie du 5ème secteur de Marseille.

Cette représentation, aboutissement d'une année d'efforts continus, a été possible grâce au dévouement opiniâtre de mon épouse Françoise et du metteur en scène Gilles GALIANO, qui m'ont accompagné et qui m'ont aidé à surmonter des difficultés nombreuses et variées.

Progressivement, du dédale des castings et des rencontres inopinées, ont émergé quelques comédiens qui ont décidé de nous accompagner. Pour la plupart, ils sont des jeunes gens, issus de nos familles, qui ont décidé d'apprendre et de comprendre comment la terre d'Algérie, la terre de leurs ancêtres, avait pu imprégner leur vie d'un ensemble de traditions, de principes, de valeurs dont ils mesuraient mal la profondeur. Ils sont arrivés jusqu'à moi, comme sortis d'un tamis magique qui n'aurait laissé passer que des âmes nobles, au sens où l'entendent les "Pieds-Noirs". Mon ami Gilles GALIANO, lui même né à Oran dans les derniers jours de l'Algérie Française, m'a appris que toutes ces merveilleuses rencontres n'étaient rien d'autre que des "rendez-vous de la vie". Souvent à l'origine de ces rendez-vous, il y avait l'aide amicale de "l'Echo de l'Oranie", du journal "Les Nouvelles" des Anciens du Lycée Lamoricière d'Oran, du journal du "Cercle Algérianiste" et de nombreux  sites Internet créés et alimentés avec abnégation et dévouement par des amis de notre communauté (Le coin du Popodoran, Oran des années 50, Denisdar, le site de Jean-Claude Pillon ... entre autres ....)

A partir de ce moment-là, les filles : Eve, Françoise, Sandrine, Stéphanie, comme les garçons : Amine, Charles-Henri, Eugène, Jean-Christophe, Jérôme, Patrice et Vincent nous ont apporté l'enthousiasme, la curiosité, et la volonté de faire aboutir un projet, qui devenait le leur et celui de leur famille, même si quelques uns d'entre-eux n'étaient pas directement concernés par une histoire qui semblait appartenir à d'autres, mais qui est en réalité une partie de l'histoire de la France et une partie de l'histoire de l'Algérie. Ils ont beaucoup travaillé avec, en point de mire, cette date du 16 décembre 2012, figée depuis longtemps avec Marie-Christine ALEMAN, Directrice de  "L'Atelier de Arts", elle-même algéroise d'origine. Et cet immense travail, ponctué par les problèmes de la vie, a été accompagné de merveilleux moments de détente autour des mets de "chez nous" préparés par Françoise NAL, qui se faisait un plaisir de raconter et d'expliquer inlassablement notre histoire sous tous ses aspects à des comédiens qui devenaient tout doucement ses élèves, voire ses enfants adoptifs.

J'ai regardé travailler cette "équipe" avec admiration, car je connaissais la difficulté du texte que je lui avais confié, et avec affection, parce que chacun d'eux s'est donné sans compter pour défendre une cause empreinte d'amour et d'amitié qui était devenue la sienne.

Tout ceci a abouti à cette magnifique première représentation qui m'a comblé pour de nombreuses raisons. Rien n'est parfait, mais l'œuvre était finie et présentable au public pour la première fois. Les décors étaient en place, les bruitages bien enregistrés. L'auteur et le metteur en scène pouvaient enfin se contenter d'admirer. A ce moment-là, sur le coup de dix-huit heures, nous nous trouvions entre une fin et un début. La fin de la préparation, le début d'une belle aventure. Délicieux moment !

Le salle, hélas trop exiguë, était comble, les comédiens piaffaient d'impatience. L'histoire, l'angoisse, l'émotion, les larmes et les sourires sont bientôt passés de la scène à la salle comme par enchantement. Quel bonheur de sentir cette communion ! Cette salle debout, où mon rêve de voir des Pieds-Noirs unis était enfin réalisé, même si ce n'est que partiellement, me comblait de joie. Peu importe les associations auxquelles ils appartenaient, le message répété à longueur d'années par Monseigneur Jean-Pierre Ellul se concrétisait en même temps que le serment était prononcé par nos frères, nos enfants ou petits-enfants. Le triple message de la pièce prenait forme tout naturellement :

 "Ne pas oublier" - "Faire connaître la vérité à tous et la faire accepter" - "Transmettre les belles valeurs que nous avons reçues".

Merci à tous. Merci à Monsieur Guy TEISSIER, Député-Maire du Secteur et à son Adjoint Jacques VISCONTI qui le représentait. Merci à vous spectateurs et amis. Merci infiniment à vous "mes comédiens" qui avez concrétisé mon rêve. Merci à toi Gilles, mon complice. Merci à mon épouse Françoise. Merci à tous ceux qui y ont cru et qui m'ont aidé ou encouragé.

Maintenant, nous pénétrons  la période du développement. Nous allons jouer ou faire jouer cette pièce partout où l'on voudra bien nous accueillir. Nos détracteurs, ceux qui ne nous aiment pas, ceux qui nous dénigrent depuis cinquante ans, ce qui mentent en parlant de notre histoire, n'y pourront rien. Ils représentent la faiblesse des sentiments et du comportement. Ils se sont placés du mauvais côté de la morale, de l'honnêteté et de l'honneur. Ils ne m'intéressent pas.

Je demande à toutes les Mairies de nous faciliter l'accès à leurs théâtres. J'espère que nos associations et tous les Français d'Algérie apporteront leur contribution à ce projet. Amis Pieds-Noirs ne dites pas que vos enfants ne s'intéressent pas à notre histoire. Amenez-les assister au "Serment de l'Orane" où ils verront de merveilleux jeunes gens porter haut et fièrement nos belles couleurs.

Je me permets de reproduire, ci-dessous, l'appréciation, publiée sur FaceBook, de mon ami André TRIVES auteur du livre "Le Berger de Mostaganem".

Nous avons apprécié cette pièce écrite pour nous avec des mots incrustés dans notre mémoire. Félicitations à Claude Nal d'avoir su écrire avec tact et humanité le triste parcours des années 61/62. Le serment de l'Orane prononcé par les jeunes acteurs à la fin de la pièce nous a envahi d'émotion et a merveilleusement clôturé ce spectacle de 2 h que l'on n'a pas vues passer.

Je vous salue bien amicalement.

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Claude Nal
www.jh-dhonneur.fr


 


Affiche de fin de casting pour les rôles masculins

Voir l'affiche_en pdf

Chers amis

Je vous ai annoncé en début d'année le lancement de ma pièce de théâtre "Le Serment de l'Orane".À ce jour, Gilles GALIANO, metteur en scène, et Jean-Paul BALLESTER, conseiller artistique et scénique, ont réalisé la préparation indispensable aux premières représentations qui sont programmées pour la fin 2012.

Plusieurs acteurs ont été sélectionnés mais quelques rôles restent à pourvoir. Les rôles restant à pourvoir conviendraient bien à des jeunes gens issus de familles Pieds-Noirs.

CASTING pour la pièce de théâtre « Le Serment de l’Orane »

Auteur M. Claude NAL Metteur en scène M. Gilles GALIANO

            Pour compléter notre troupe à Marseille nous recherchons des comédiens amateurs ayant si possible une expérience de la scène, pour la mise en œuvre d’une pièce relatant les derniers mois de “ l’Algérie Française “ replacés dans un contexte historique vécus par un groupe d’étudiants.

            La pièce sera jouée dans plusieurs villes du sud de la France dans le cadre des manifestations  de commémoration du cinquantenaire de l’exode des Pieds-Noirs.

Hommes et Femmes de 18 à 30 ans

Merci d’envoyer cv + photos par courriel à Metteur en scène  gigal13@gmail.com ou Auteur claude.nal@numericable.fr

Le serment de l'Orane


Article posté le 26 Novembre 2011

Madame, Monsieur,

          Nous y pensons tous ! Cinquante ans après, nous n'oublions pas cette triste année 1962, et de nombreuses initiatives sont prises pour commémorer cet anniversaire douloureux. 

          Pour ma part j'ai voulu participer à ce rassemblement des cœurs et de la pensée en ravivant la flamme du souvenir par un écrit. J'ai créé une dramatique ayant pour thème l'Algérie et son histoire.

          Il s'agit d'une pièce de théâtre en trois actes "Le Serment de l'Orane" qui met en scène de jeunes étudiants Pieds-Noirs témoins de la fin de l'Algérie Française. Ils revivent l'évolution du nord de l'Afrique depuis ses plus lointaines origines jusqu'à la journée tragique du 5 juillet 1962 à Oran et l'exode forcé qui suivit l'abandon des départements français d'Algérie. 

          Je souhaite vivement que cette pièce soit jouée en 2012 et qu'elle contribue à notre communion et à la sauvegarde de la mémoire qui nous lie indéfectiblement à l'Algérie Française. 

          Pour cela, je suis à l'écoute de toute proposition concernant la mise en œuvre, la production ou la mise en scène de cette pièce. A cet effet vous trouverez, en document joint, une présentation que vous pouvez diffuser à toute personne de votre entourage susceptible de s'intéresser à cette création pour en permettre la représentation sur scène. Le livret peut être remis aux professionnels, ou amateurs passionnés, qui en formuleront la demande en me contactant. 

          Je vous remercie de votre aide et j'espère vous rencontrer à l'occasion d'une future représentation, ou très bientôt si vous êtes vous-même directement intéressé.

Bien cordialement.

Claude Nal 04 91 82 01 37
www.jh-dhonneur.fr 

LE SERMENT DE L'ORANE

Présentation générale 

La pièce est un raccourci en trois actes de l’existence, durant 132 ans, de l’Algérie Française vue et vécue par quelques étudiants oranais. 

Les périodes allant de l’antiquité à 1830, puis la période 1830-1960 sont évoquées en quelques dialogues. 

L’année 1961 est résumée sur l’une de ses journées qui donne le ton sur les événements, entre la première tuerie du F.L.N. (Front de Libération Nationale) le 1er novembre 1954, et fin 1961, année de résistance symbolisée par l’O.A.S. (Organisation Armée Secrète). 

La fin de la présence française et le début de l’indépendance sont matérialisés par la journée des massacres du 5 juillet 1962 à Oran.

 L’exode des Français d’Algérie et les premiers pas des étudiants rapatriés en métropole sont la base du troisième acte qui voit une première réunion se tenir à Marseille où a lieu la reprise des activités étudiantes. 

La pièce prend fin sur « le serment de l’Orane ». Son titre découle directement du nom de la ville d’Oran (Wahran, là où viennent boire les lions). 

Les lieux : 

Les deux premiers actes se déroulent dans la salle dont dispose l’Association Générale des Etudiants d’Oran (A.G.E.O.) dans une annexe de la mairie d’Oran.

La salle est meublée sobrement :

-                      Une armoire bibliothèque, un bureau avec trois chaises,

-                      des équipements de bureau et un téléphone

-                      Quelques chaises contre un mur, une table basse couverte de revues.

-                      Au mur une carte de France avec l’Algérie, une carte du bassin méditerranéen et un blason de la ville d’Oran; 

Le troisième acte se déroule à Marseille, dans un local mis à disposition des membres de l’A.G.E.O. rapatriés par des amis étudiants marseillais. 

ACTE 1 

De l’extérieur, parviennent les échos des évènements habituels de la guerre d’Algérie : attentats du F.L.N., ripostes de l’O.A.S. et de la population, bouclages et perquisitions des Gardes Mobiles et arrestations de résistants, fusillades et plastiquages, manifestations et contre-manifestations … 

A l’intérieur du local de l’Association Générale des Étudiants d’Oran, entretiens entre plusieurs personnes d’opinions différentes, rappels sur l’histoire du nord de l’Afrique depuis l’antiquité, évocation du bilan de la présence française en Algérie depuis 1830, commentaires sur les évènements, visite de policiers inquisiteurs. 

ACTE 2 

Le 5 juillet 1962 :

Les massacres à Oran – 1500 morts et des milliers de disparus.

Le silence de l’armée.

La fuite désespérée.

Le tout vécu de l’intérieur du local de l’A.G.E.O. 

ACTE 3 

Courant juillet-août 1962: les étudiants qui sont intervenus dans les actes précédents se retrouvent à Marseille dans un local mis à disposition par un étudiant métropolitain qui vient les aider. Sont alors évoqués : l’exode, l’accueil lamentable de la ville, le projet de réorganisation de l’association, les modalités de reprise des études, les formalités administratives et la constitution des dossiers, l’entraide. 

La pièce se termine sur le serment de l’Orane : « se battre, entreprendre, bâtir, être des exemples,  réussir dans l’honneur », suivi du chant des Africains. 

Les jeunes gens en cercle, se tenant par la main font la première partie du serment entre eux, puis se tournent vers la salle en ouvrant le cercle mais toujours main dans la main et scandent les derniers mots du serment, puis enchaînent sur la chanson devenue l’hymne des Français d’Algérie dans le but de la faire reprendre en chœur par le public.

Les personnages 

Jean-Pierre  Garcia : Président de l’association

Nicolas Dorval : Un étudiant oranais – Trésorier de l’association – Victime du Plan Simoun.

Monsieur (ou madame) Bensoussan : Professeur d’histoire et de géographie du lycée.

Bouziane : Un musulman partisan d’une forme d’indépendance associée non violente.

Pasquini : Un membre des R.G. en mission et son adjoint Mermesse

Alain Deloret : Vice-président de l’association.

Le sergent René Pascal : Un sous-officier, en garnison à Oran.

Brigitte Ruiz: Une jeune fille, étudiante, Secrétaire de l’association.

Michel Desrues : Etudiant oranais en vacances qui fait ses études en fac à Toulouse.

Marc : Etudiant marseillais.

Alain : Etudiant rapatrié.

Charles (alias Raoul) : Etudiant rapatrié.

 


INSULTES SUR FACEBOOK

            Comment pouvons-nous être si différents les uns des autres ! D'un côté je bénéficie de l'amitié beaucoup de gens et de l'autre je reçoie les insultes de Madame Andrée Gl.

            Je suis allé sur sa fiche Facebook et je suis heureux de ne pas être de ses amis ! Mais elle m'oblige à répondre à son insertion calomnieuse qui peut avoir été lue par quelques centaines de P.N. dans son groupe Diaspora Pieds-Noirs.

Voila donc ma réponse:

L'INSULTE

Attention aux exploiteurs de tous poils qui n'ont aucun scrupule à se servir de nous, le peuple PN et notre tragédie, pour essayer de décrocher pognon et gloire ...
Aprés le petit romancier à l'eau de rose qui est allé jusqu'à s'inventer un clone (Yvette, admiratrice enthousiaste, en pamoison devant les livres de son romancier chéri qui lui a redonné le goût de vivre),

voici maintenant un auteur qui va exploiter la tragédie oranaise du 5 juillet pour en faire une pièce de théatre (pièce grandiloquante se terminant par le Chant des Africains chanté en choeur par les artistes et par le public !).

Par décence, et par respect envers nos morts, je me fais un devoir de boycotter tout ce qui a trait à cette pièce et à son auteur Claude Nal.

MA REPONSE

Madame Andrée Gl …

            Je ne connais pas votre identité complète. Je vous appellerai donc Madame Gl (comme vous le faites vous même sur votre fiche Facebook).

            Un ami m’a transmis le message ci-dessus (que vous avez affiché sur votre groupe Facebook "Diaspora Pieds-noirs" et sur votre fiche), par lequel vous vous permettez de m’insulter en me traitant d’exploiteur sans scrupule ! Savez-vous que ceci peut être puni par la loi ? Vous ne m’avez pas écrit directement (ce que vous auriez pu faire puisque mon adresse figure sur tous mes messages - vous qui prétendez ne pas aimer ceux qui attaquent par derrière !). Vous avez distillé votre venin par le biais de ce que l’on appelle un « réseau social » - appellation bizarre quand on l’utilise pour dénigrer et insulter. J’ai hésité à relever vos propos et à y répondre parce que vous ne méritez que l’indifférence, mais comme l’information circule, je pense que mes amis n’auraient pas compris que je ne réagisse pas et ceux qui ne me connaissent pas auraient pu penser que vous aviez raison (c'est d'ailleurs le cas de deux de vos amies qui ont dit "aimer" ce que vous avez écrit). Voici donc, Madame Gl, quelques remarques que m’inspire votre texte :

            Tout d’abord, vous êtes exceptionnelle ! Ne vous réjouissez pas ! Exceptionnelle, non par vos qualités, dont j’ignore si vous en avez, mais par le fait que sur plusieurs milliers d’envois vous êtes la seule à avoir pris une position négative et insultante. Vous êtes donc l’exception qui confirme la règle. Cela ne mérite évidemment pas des félicitations. Pourquoi avez-vous cette attitude alors que tous les autres ont des réactions positives, voire pas de réaction. Peut-être êtes-vous ce que l’on appelle une « Pieds-Noirs » rouge ? Ce qui expliquerait que vous utilisiez le mot « peuple » comme si nous n’étions pas, nous, ceux que vous n’aimez pas, issus de ce peuple. Nous serions « les exploiteurs », ceux qui aujourd’hui n’ont aucun scrupule à décrocher « pognon » et « gloire », comme nous n’avions, avant, aucun scrupule à exploiter le peuple arabe en Algérie, « les colons richissimes » que nous étions tous – sauf vous bien sûr !

            Qu’avez-vous fait en Algérie ? Que faites-vous aujourd’hui en France, en dehors de cracher sur ceux qui ont le courage d’écrire et de défendre leur communauté et son passé ? Peut-être avez-vous fait, et faites-vous encore, des choses éminemment intéressantes, voire courageuses ? Je ne vous connais pas (même si le vocabulaire de votre fiche en dit long sur vous !), et c’est l’une des choses qui me distinguent de vous, je ne critique pas les gens que je ne connais pas. Je leur pose des questions courtoisement et j’exprime, le cas échéant, mon désaccord avec respect. Le problème avec vous, c’est que vous ne me connaissez pas, que vous n’avez apparemment pas lu ce que j’ai écrit et que vous n’avez pas vu la pièce que vous critiquez puisqu’elle n’a pas encore été jouée. Vous pouvez parfaitement ne pas être d’accord avec mes écrits, mais encore faudrait-il que vous les ayez lus, et encore faudrait-il que vous manifestiez votre désaccord respectueusement. Je me demande d’ailleurs comment vous pouvez utiliser des mots comme « décence » et « respect » dont vous ignorez le sens.

            Je vais essayer, Madame, de vous donner quelques repères :

            En Algérie, à Oran plus précisément, j’ai opté pour la défense de l’Algérie Française, à laquelle j’ai apporté une très modeste contribution dans le cadre du monde étudiant. J’ai été écarté, comme beaucoup de mes amis, de ma ville et expédié manu-militari, en application du plan Simoun (si vous en ignorez l’existence sachez que c’est expliqué dans de nombreux livres de Pieds-Noirs).

            J’ai ensuite eu l’idée, saugrenue sans doute, de servir mon pays, les armes à la main, pour « porter haut et fier » son drapeau, ses valeurs et son honneur.

            En France, qui n’était plus la métropole, j’ai refait ma vie du mieux possible sans me considérer comme une exception.

            J’ai essayé, chaque fois que je l’ai pu, d’apporter ma contribution à l’économie de mon pays et de la ville qui m’a accueilli en y prenant des responsabilités.

            Il m’a semblé également naturel, et heureusement nous étions et nous sommes encore nombreux à le faire, de participer à la défense de ma communauté – je veux parler des Pieds-Noirs, pas rouges mais bleu-blanc-rouge.

            CLAUDE MANIF

Sur ce dernier point, il est fort probable que nous ayons manifesté ensemble. N’étiez-vous pas avec-nous :

  • · Au congrès du Cercle Algérianiste 2010 à Béziers, à la suite duquel j’ai fait une longue réponse (un peu comme celle-ci) à un article calomnieux du Midi Libre (que vous trouverez encore sur le site Popodoran). Et au congrès de Perpignan en janvier 2012 à huer le nom de de Gaulle ?
  • · Aux manifestations d’Istres en 2011 et d’Aix-en-Provence en 2012 pour protester contre la FNACA et les projets de glorification de la date du 19 mars 1962 ?
  • · Aux manifestations de Nîmes et de Marseille 2012 pour combattre les congrès à la gloire du FLN organisés par ses amis de gauche, toujours présents ?
  • · Aux journées commémoratives de Sète, de Nîmes et de Marseille ?
  • · Et je suis loin d’être exhaustif …

            Il y en aura d’autres en 2012, à Marseille, à Nîmes, à Port-Barcarès ... Je suis persuadé que nous nous y retrouverons puisque vous êtes défenseur du peuple Pieds-Noirs.

            Dans pratiquement toutes ces manifestations, savez-vous qu’il y a des écrivains Pieds-Noirs (il en existe des centaines) ? Vous savez, ces profiteurs qui s’enrichissent sur votre dos ? Eh bien ! Il y a des gens du peuple qui achètent leurs livres, qui parlent avec eux pendant des heures du passé et qui découvrent une multitude de choses qu’ils ignoraient sur leur propre pays, parce que ces écrivains ont passé un temps considérable à faire des recherches (pour certains des années) afin de laisser une trace positive pour leurs compatriotes et leurs descendants. En même temps que cette trace, ils apportent des éléments de vérité aux journalistes et aux politiques ignares qui avec votre aide nous vilipendent et nous insultent. Je vous signale au passage qu'il y en a dans votre groupe ! J'espère qu'ils vont le quitter !

            Bien sûr, nous nous enrichissons ! Vous n’ignorez pas, Madame, vous qui savez tout, que les droits d’auteur sur un livre sont de l’ordre de 5% à 7% (avant déduction des impôts et charges) et qu’ils ne sont pratiquement jamais payés ! Vous n’ignorez pas, bien sûr, que l’auteur Pieds-Noirs qui va dédicacer son livre à l’occasion d’une manifestation, paye ses frais de déplacements et souvent la table que les organisateurs lui louent !

            Je vous fais une proposition : j’ai écrit un livre « Un jeune homme d’honneur » (eh oui ! il y a des titres qui s’imposent à nous) paru en mai 2010 chez Jacques-Marie Laffont. Je n’ai pas reçu un seul centime de mes droits d’auteur deux ans après ! Eh, bien ! Si vous parvenez à me faire payer ces droits, je vous cède une commission pour vos bonnes œuvres auprès des gens du peuple dont vous vous occupez certainement, Madame l'Administratrice !

            Ah, oui ! Il reste la « gloire », qui accompagne le « pognon » - vous avez quand même un sacré vocabulaire – après laquelle nous courrons tous avec nos écrits. Nous, nous appelons ça : l’estime et l’amitié ! Les gens qui nous lisent, à quelques exceptions près, dont vous êtes, nous témoignent estime et amitié (allez voir sur le site de mon livre les témoignages de lecteurs !).

            J’espère d’ailleurs que certains de mes amis, lecteurs ou auteurs, qui verront passer votre message haineux vous feront savoir ce qu’ils pensent de vous et de vos propos. J'espère qu'ils seront nombreux à quitter votre groupe en n'admettant pas vos insultes.

            Je vais essayer de vous envoyer ce message directement par Facebook mais par sécurité, et pour information générale, je vais le transmettre à quelques amis pour qu’ils le diffusent. J’espère qu’il vous parviendra directement ou indirectement.

            Maintenant, puis-je rêver ? Peut-être le transmettrez-vous à ceux à qui vous avez transmis votre message initial (un peu comme un droit de réponse !).

            Puis-je être fou ? Peut-être être-vous intelligente et présenterez-vous des excuses à tous ceux que vous avez tenté de salir ? Dans tous les cas envoyez-moi votre adresse de courriel pour que je vous retire de mes correspondants où vous figurez probablement, incontestablement par erreur.

            Habituellement, j’utilise une formule de politesse à la fin de mes écrits, mais aujourd’hui je confesse qu’aucune ne me vient à l’esprit. Claude Nal.

Retour Claude Nal

30 novembre 2011

LA FACE CACHEE DE LA LUNE

HERISSON étoile  3

Comme un homme politique ne croit jamais ce qu'il dit, il est étonné quand il est cru sur parole. Charles de Gaulle

Ne nous oubliez... pas  nous....... NON PLUS.

 

Alors que les médias rappellent quotidiennement l’enlèvement de 8 ressortissants Français quelque part dans le monde et que des comités de soutien se créent fort justement pour réclamer leur libération, nous Pieds-noirs, rappelons également que depuis le 19 Mars 1962, par la volonté maléfique et satanique d’un Président de notre France d’alors, manipulateur pourri d’orgueil et de suffisance , cela fera au 19 Mars 2012, 18251 jours , que des milliers de Français d’Algérie ont été enlevés dans l’indifférence générale sans que les « bonnes consciences » de ce monde qui détournaient pudiquement leur regard, n’aient élevé la moindre protestation pour nous défendre et nous soutenir. Nous ne les oublierons pas elles aussi.

          Hier soir, j'avais achevé un article intitulé : Le HERISSON PERPLEXE et DUBITATIF.

        La nuit favorisant la réflexion, je décide, ce matin, de changer radicalement mon thème  des deux ou trois jours consacrés à la rédaction de ce dernier.

        Dans cet article, je reprenais un commentaire du 15/12/2010, dans lequel je disais que nous, Français, étions de braves gens et vivions  dans un beau pays accueillant pour ceux qui fuient leurs pays, sauf l'exception qui confirma la règle (nous) en 1962.

        Je me dois d'ajouter  à cette évidence que nous Pieds-noirs, avons été d'une naïveté impardonnable. Faisons notre mea culpa.

        Effectivement depuis le mois de Mai 1958 (mois des anniversaires, d'abord le mien:25 ans, ensuite, le 13 Mai, nous Français d’Algérie, hostiles à l’investiture  de Pierre Pflimlin, jugé favorable à des négociations avec les partisans de l’indépendance, nous nous étions soulevés et obtenu du général Salan qu'il  lançât un appel au général de Gaulle. Belle bande de cons que nous étions, en vérité !!!

         On pensait que ce dernier pouvait être « le défenseur d’une Algérie française». Tu parles !

         Grâce à notre soulèvement et à l’épuisement des forces politiques, ce parjure voyou fut amené à former le gouvernement par le président de la République d'alors : René Coty.

        Il devint président du Conseil, le dernier de la IVe République et ensuite Président de la république, le 8 Janvier 1959 en succédant à Mr René Coty  qui venait de lui ceder sa place, ce jour-là..

        En ce qui concerne la guerre d'Algérie, de Gaulle suscita d’abord de grands espoirs parmi les Français d’Algérie, auxquels il déclara à Alger le 04/06/58 « Je vous ai compris ». Ce jour-là, il se garda bien de promettre quoi que ce soit. Il ne reprit ni le mot d'ordre d'« intégration » ni le slogan « Algérie française ». Ce n'est qu'à Mostaganem (département d'Oran), que deux jours plus tard, le 6.Juin, il osa dire : « Vive l'Algérie française ».

        Après nous avoir promis la lune, il fit tout et son contraire de ses promesses. C'est cela la face cachée de la lune, titre de cet article que je vous prie de ne pas oublier et de lancer à la face des historiens merdiques qui nous entourent, aux hommes politiques de même nature, mais surtout de faire connaître à notre descendance pour que, ELLE, n'oublie pas .

         Et, ironie de l'histoire, notre France en nous lâchant et en nous livrant au couteau de ces bouchers, a fait de l'Algérie du 5 Juillet 1962, un pays envié fournisseur de pétrole dont elle regorge grâce au travail de la France et des pieds-noirs.

        Comparez le prix des carburants aujourd'hui en Algérie avec celui que nous déboursons ici grâce à cet escogriffe étoilé, à la mémoire duquel les Algériens envisagent de dresser un monument.

         (Actuellement, 0.22€ le Super / 0.13€ le diésel ) Qui dit mieux ?)

        Quant aux pays méditerranéen, libérés de toute tutelle tyrannique, leur trop plein (pas d'essence) mais de racaille de « Coupe-jarrets, fainéants, bons à rien, suceurs de roues et d'avantages gratuits que nous, sujets Français, attendons depuis des décennies, et  n'en bénéficions pas » pullulent maintenant et se groupent à nos frontières, en attendant que les autres en provenance d'Espagne (passée à la droite hier) arrivent renforcer, en France, leurs prétentions.

        Ces émigrants d'un nouveau genre , débarrassés de la tutelle étouffante de leurs dirigeants, se précipitent dans notre accueillant pays à qui mieux mieux, pour se regrouper en clans malfaisants, fouteurs de merde et font tout pour bien « niquer » la France et le faire savoir par des attitudes, des chansons, des chaines de TV complaisantes, des exigences vestimentaires, alimentaires, des constructions de mosquées. Même les éleveurs porcins devront s'accoutumer à leurs exigences.

         Bref ! Ils veulent halaliser notre pays et réussiront probablement sans une prompte réaction nationale, collective, salutaire et chrétienne.       

        Pauvres de nous, s'ils venaient à gagner sans combattre. Ils n’acceptent pas « le qu'on dira-t-on »,  et rétorquent : »Pourquoi le con di raton et pas le con di Français »

        Cette France-là, en outre, est responsable directe de l'assassinat du 76e jeune soldat Français tué  en Afghanistan. Elle fourre son nez partout où çà pue et ou çà bouge, sauf là où ce serait d'utilité et de salubrité publique : chez nous, ici, en France,

        Cette malheureuse jeune victime du « non-devoir, de la vassalité et de l'allégeance de nos dirigeants aux Américains », n'avait que 25 ans. Il était un glorieux légionnaire de 1re classe, Goran Franjkovic, du 2e régiment étranger de génie (2e REG) de Saint-Christol (Vaucluse)  commune française, située sur le Plateau d'Albion  et n'était arrivé que depuis dix jours sur ce théatre d'opérations extérieures. Quand on connaît la Légion, on connaît la signification de la valeur de cette distinction de « 1re Classe » et la mise en application de sa devise : « Va où tu veux, meurs où tu dois » 

        Il serait lamentable qu'aux yeux de nos dirigeants actuels, ceux de nos enfants qui servent de chair à canon puissent être remplacés  par une kyrielle d' intégristes en provenance justement de ces pays où nous jouons la mouche du coche et  rien d'autre.

        Les valeurs qui nous étaient propres, sous Clemenceau  distinguaient notre pays du reste de l’Europe. Il est vrai que nous étions sous la 3e République et que ce Président-là, était surnommé LE TIGRE. Nous n'avons que des tigres de papier maintenant.

        En outre,  nous avons fini par perdre le sens des valeurs morales, et maintenant on en rajoute une couche avec l'institution de l'union officielle en Mairie des couples gays de même sexe. C'est quoi cà ? Où allons-nous ? Notre décadence ne vous effraie pas ? Nous tombons bien bas      

         Mais comprenez bien, à travers mes lignes, que certains  Français  se prenant pour des coqs Gaulois et ne sont que des poules mouillées (récupération obligeant toujours), je prends tous les paris que les partis politiques qui se disputent la première place dans les sondages, se battront pour se faire voir en tête des gays-prides, parader et être vus en tête de ces cortèges. Que miseria !

         Je me  fais violence pour mettre des formes dans mes expressions, car je suis poli, sauf quand je me hérisse, me met en boule ou qu'on me casse les c... Il (Une personne qui se reconnaîtra, si elle me lit), appréciera qu'ayant écouté ses conseils, j'use d'un langage châtié.

        Enfin ceci n'est qu'un des aspects  de la kyrielle de problèmes de notre société décadente sous l'œil complice et impavide des partis politiques qui nous entourent encore..... Jusqu’à Mai 1982, lesquels pensent que les apports de voix d'où qu'elles viennent, si elles leur permettent  d'atteindre le bût qu’ils se sont fixé, importent peu, pourvu qu'elles soient en leur faveur.

         Oh oui, les susnommés s’élèvent comme un seul homme contre les injustices, la haine raciale, ethnique ou religieuse. C’est bien et nous sommes pour, quand ces dispositions ne sont pas prises à sens unique.

        Mais la réciprocité n’est pas de mise et reste une vue de leur esprit. A nos yeux, cette réciprocité devrait avoir  trois sens : L'Egalite, la Liberté et la fraternité, sur fonds Bleu, Blanc, Rouge et non pas celle qui dit : Liberté, égalité, fraternité ! Paroles vaines, funestes même, depuis qu'elles sont devenues politiques ; car la politique en a fait trois mensonges.(Louis Veuillot)

        Le 15/12/201, disais-je, j'avais fait un rêve qui disait à peu de choses près que les Rapatriés  que nous étions, sommes, et resterons jusqu'à la fin de notre existence, des enfants de tous pays, comme le chantait si bien notre chantre Enrico, et de ce fait nous savons « tendre nos mains meurtries, semer l'amour et donner la vie » et cela quelle que soit notre ethnie ou notre confession religieuse.

        Y aura-t-il un jour un politique a claouis bien en place, pour s'élever contre cette décadence ?

        Mais  nous avons  la chance  de posséder dans nos rangs, un historien authentique non pas de métier, mais de classe et bien de chez nous. Un homme qui connait notre passé sur le bout des doigt et en parle avec une authenticité émouvante, lors de ses conférences écoutées religieusement par notre communauté P.N, conférences qui  démontent impitoyablement  les théories des historiens de pacotille qui modifient sur ordres, venus d'en haut,, les données sacrées de notre belle histoire. Cet historien  porte des initiales sacrées, les mêmes que celles de notre Seigneur Jésus Christ.

        Ce gaillard ne craint que Dieu, mais pas le diable.

        Allez mon J...C..., continue sur ta lancée et tu verras qu'avec ton aide précieuse qui nous montre la route à suivre pour parvenir au bout de cette revanche tant attendue et qui nous est due, notre communauté fera bloc autour de nos vaillants dirigeants d'Associations. Nous croyons encore en le jugement de Dieu qui ne manquera pas d’intervenir.

        Un autre ami (Merci Edgard) me dit, je le cite : «  Gardons espoir car la vérité commence à sortir pour ce fait. Il n'y a qu'à lire  valeur actuelle No 3910 semaine du 3 au 9/11 » Ce journal mérite toute notre attention car il « PARLE VRAI » le  FRANCAIS.

        Quelques politiques de notre connaissance peuvent préparer leurs mouchoirs. Valeurs Actuelles intitule l'un de ses derniers articles : « UMP, la course au vote pied-noir ». Diable, ils savent que les PN ont voté pour Sarkozy, lors de la dernière présidentielle, ce qui explique la différence de voix entre lui et sa concurrente Ségolène.(Voir tableau plus bas).

        Un membre important de l'UMP admet même que notre vote ferait basculer le résultat de la prochaine Présidentielle.  

        Nous avons l’obligation et le devoir de nous unir et de nous rassembler autour d’un projet de réhabilitation non plus de l'histoire que fut celle d' avant 1962,  mais celle qui pourrait bien changer la vision actuelle et nous la rappeler ( car elle est chère à notre mémoire), dès le 6  Mai 2012.     

        Nos trois millions de voix se doivent de se porter sur celui ou celle qui nous rendra  réparation et justice de ce que le vent de l'histoire,  nous a volé et qui doit nous être rendu par une incontournable et juste indemnisation, et un important « pretium doloris inchiffrable » sans oublier l’acte de repentance, non envers les Bouteflika et consorts, mais envers des vrais Français pour la diaspora que nous subissons encore par notre essaimage aux quatre vents.

        Je ne crois pas que ce rêve soit irréalisable ou utopique ! Nul déraciné, spolié, humilié, meurtri dans ce qu’il aimait, ne pourra admettre qu’il existe encore des dissensions, des rivalités de clocher, des situations « cloche-merlienne », ou accepter passivement que l’on continue à nous prendre pour des moutons (nous aussi) dans les hautes sphères.

        Rassemblement ou ralliement pour le rétablissement de la vérité sont impératifs pour l’œuvre gigantesque que nous avons accompli, avant notre exode forcé,  tant circulent dans nos veines, le sang, et les gènes  de nos parents, grands-parents et arrières grands-parents et ce que nous devons faire cinquante  ans après, pour rester en adéquation avec eux.

        Nous apporterons notre aide totale sans hésitations ni murmures pour relever notre France et  le  futur de notre pays à la personnalité que nous aurons choisie et jugée digne de recevoir notre appui électoral. Et chez nous  pas une de nos voix ne fera  défaut à cette personne..

        Je vais m'arrêter non sans rappeler le résultat final de la dernière élection présidentielle du 6 Mai 2007(source Wikipédia) laquelle doit nous faire réfléchir intensément.

 

Voix

% Exprimés

  M.  Nicolas  SARKOZY

18 983 138

53,06

  Mme  Ségolène  ROYAL

16 790 440

46,94

Différence =....2 192 598      6,12 %       

        L'apport et l'union de nos 3.000.000 de voix  représente plus que ces 2 192 598  voix de différence entre Nicolas et Ségolène, différence qui comme dit plus haut, a permis au Président actuel de l'emporter, séduits que nous avions été par ses promesses mirifiques et fallacieuses diaboliquement préméditées de ce descendant en ligne indirecte de celui qui se  prenait pour  un aigle royal et n'était qu'un oiseau de mauvais augure.

        Mais chats échaudés craignant l'eau froide, on ne nous y reprendra plus.   Et avant de faire confiance à l'un des candidats, il nous faudra autre chose que des promesses. Ils connaissent tous le coût de nos suffrages et ce que cela pourrait leur coûter si leurs promesses n'étaient encore et une fois de plus qu'un coup d'épée dans l'eau. Et cela n'est pas une prévision, mais une VRAIE PROMESSE.

En politique internationale, les coups d'épingle répétés finissent par engendrer des coups de canon. Gustave Le Bon

LE HÉRISSON FRANCHOUILLARMENT         VOUS  SALUE BIEN            ET TOUJOURS A VOTRE SERVICE.

Retour coups de cœur.

16 décembre 2011

DIEU REGARDE LA TERRE ET PLEURE

        En Mars ou Avril 2005, j'avais écrit  pour moi cette lettre comme une sorte de remerciement intime à Dieu, pour m'avoir aidé à m'en sortir dans des moments pénibles que j'avais traversé pour cause de grave maladie, et où, suivant pronostic médical, mes jours étaient comptés.

        En 2008, j'ai écrit mon livre « Il était une fois notre là-bas » ou  « le beau ciel à jamais perdu » et j'ai pensé que cette lettre avait sa place dans ce livre, me disant « in peto » que Dieu méritait que cette confession que j'avais faite pour lui, je la  rende publique à un moment où les gens commençaient à se prosterner devant des idoles malfaisantes( l'argent , luxure, égoïsme, attitudes sexuelles contre nature que même les animaux réprouvent, serments ou promesses passés au poste « pertes et profits, surtout profits ». J'en ai donc fait l'épilogue de ce bouquin.

Dieu regarde la terre et pleure

        La photo ci-dessus, Dieu regarde la terre et pleure que j'avais placé en tête de mon épilogue, a du plaire à l'auteur du PPS reçu le 24 Novembre écoulé, Puisqu'il nous conseille fort joliment de cliquer sur la larme qui coule sur sa joue gauche et les commentaires qui s'affichent sont très beaux et prennent aux tripes et cette photo méritait bien cet hommage supplémentaire, d'où qu'il vienne. 

        Ma confession citée plus haut, Je l'avais faite pour rétablir les évènements en leur contexte. C’est très difficile de parler de Dieu, d’Allah ou de Yahweh (Nom hébreux du dieu unique) malgré ce qui a été dit , écrit sur lui et sur son existence selon les croyants, toutes religions confondues. 

        Pourquoi ? Parce chacun est persuadé de le connaître suivant la conception qu’il se fait de son image et c’est faux !  Nous le connaissons mal et même si nous le connaissions un tant soi peut, savons- nous ce qu’il ressent quand il regarde vers nous et qu’il constate ce que  nous faisons de notre existence et du peu de cas que nous faisons d’une vie humaine, d’une vie qu’il a voulu pour nous et envoyé sur terre sous forme d’un ange, par l’intermédiaire de nos géniteurs. 

        Non, personne ne le sait et beaucoup d'entre nous s'en moquent puisque pour faire taire certains de ces bébés qui pleurent toujours pour une excellente raison, on les insère dans une machine à laver qui les tue et les fait taire à jamais. Ah ! Docteur Guillotin, que n'êtes plus parmi nous. 

       Dans notre « Pater » de chaque soir, nous ânonnons : « Pardonnez-nous nos offenses, comme nous pardonnons..... » Mais tuer un enfant sans défense, nous ne pouvons pas pardonner et vous -même, avec la dévotion et le profond respect que nous vous portons, vous refusez à le faire et c'est normal. J'en suis chrétiennement convaincu. 

        On a écrit de belles choses sur Dieu avec pour racine et dénominateur commun la  Bible ou le Coran. Mais que de sang et de misères n’a-t-on pas répandu en son nom et soi-disant sous son couvert suivant l’interprétation que l’on faisait de son message. 

        On a écrit aussi des inepties, des blasphèmes et des négations sur sa réalité. Mais les fidèles que nous sommes savons «  séparer le bon grain de l’ivraie » 

        De cette  incompréhension sont issues les croisades, les guerres de religion, les différentes croyances qui nous entourent et la naissance de l’extrémisme, de l'intégrisme  et du fanatisme  aveugle. 

        La Bible  et les 10 commandements confiés à Moïse à notre intention, sont là, depuis des lustres. Œcuméniques, ils  nous guident  et illuminent notre parcours sur terre, que chacun suit selon sa foi. 

         Dieu est amour car il possède toutes les qualités qui nous font défaut, il est la perfection. Cet être de lumière est invisible, pourtant il est là pour tous, quelle que soit la manière de l’honorer et le vénérer, pourvu que chacun en son âme et conscience soit en paix avec lui-même.

        A partir de ce dogme, Dieu est la vie en trois personnes. C’est le grand mystère de la Sainte Trinité. 

        Quand viendra l’heure de la rencontrer, cela ne se fera que si nous l’avons honoré sur  terre où, à chaque instant, il se manifeste de façon diaphane et invisible pour nous protéger  et nous guider vers le bien.( même et y compris les athées). 

        Visitez n'importe quelle partie du monde aujourd'hui. Parlez aux gens quelle que soit leur religion. Ils savent qu'il n'y a jamais eu un homme comme Jésus de Nazareth. Il est la personnalité sur laquelle nous nous appuyons pour compter le temps qui passe depuis plus  de 2.000 ans. Quelle meilleure preuve unanime de la reconnaissance de Dieu. 

        Mon modeste exemple n’est qu’une preuve de plus de son existence. Au crépuscule de ma vie, j’ai été frappé par le mal du siècle, je veux parler du cancer du poumon. 

        Les analyses, les scanners et la radiologie étaient unanimes  dans leurs diagnostics  Il était des plus graves qui soient.  Rares sont ceux qui en réchappaient. 

       J’ai prié dans ma tête, beaucoup prié jusqu’à sentir presque sa présence à mes côtés. Je lui ai demandé de me permettre de mener à son terme, une mission sur laquelle je travaille depuis 20 ans. 

Après de longs mois de séances pénibles de chimio thérapie, mes médecins m’ont jugé apte à subir une opération chirurgicale qui consistait en l’ablation d’une partie du poumon. 

        Après l’opération, quelques heures plus tard, je me suis réveillé en prières  en salle de réanimation et j’ai su dès cet instant que seul Dieu, avait pu guider le scalpel du chirurgien,  grâce auquel il  m’avait permis de continuer  à vivre.

        J'ai compris ce jour-là, que j’avais une dette envers lui et que je devais m'investir dans l'aide à mes semblables. J'ignorais encore comment et  j'ai cherché et  j'ai trouvé. 

        Je crois que Dieu m'a conseillé, vu mon caractère et certaines dispositions que j'ai  toujours eu, surtout dans notre « Là-bas » de m'occuper de ceux qui avaient besoin de lui.

        A partir de là, et en 2005, j'ai  regardé autour de moi, et j'ai découvert une organisation apolitique (ce que je voulais pour rester mon libre arbitre). J'y ai adhéré et ai constaté par la suite que mon choix était le bon, tant la conviction et la  solidarité de ses membres est visible et tangible. Leurs  actions et leur aide sont appréciées par notre communauté entière et détestés par les officines de recouvrement qui se gavent sur notre dos. 

        Nous sommes des déracinés exilés malgré eux, tels des troupeaux qu'on emmène aux alpages  pour y passer l’été. Mais les nôtres auront duré ½ siècle et nous sommes toujours traités comme ces animaux qui attendent passivement  leur dernier voyage vers les abattoirs. 

        La seule chose que nous ayons en commun avec ces bestiaux, c'est cette  mise aux alpages. Quant aux abattoirs, c'est un autre problème et c'est probablement ces gens-là qui iront avant nous.

        Quelle erreur d'appréciation et quel manque de vision de ces instances politiques,  héritières des idées d'un bourreau digne du procès de Nuremberg et qui  nous gouvernent encore mais plus pour longtemps.

        Jusqu'à ce jour.  Les repliés que nous sommes, avons été victimes expiatoires d'une décolonisation sauvage par la volonté de bêtes malfaisantes mais investies à l'époque d'un pouvoir qui les aveuglait. A l'exception de Monsieur François Mitterrand, en 1997, personne ne s'était penché  sur notre sort. N'oublions pas.

Le triomphe des démagogies est passager, mais les ruines sont éternelles. (Charles Péguy)

Pierre Salas.

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